Le Dimanche 04 Janvier 2004 par Jybee
Amis marseillais, la trêve est passée, et nous nous étions quitté sur une victoire marseillaise peu convainquante, dans la douleur, face à une lanterne rouge qui nous a causé bien du soucis. Mais la Baraka du jeune Gavanon sonnait comme un signe de renouveau. Un vent qui tourne. La chance qui commence à changer de coté. A point nommé pour entammer la trève, et profiter d'un repos que l'on espèrera bénéfique. Car la fin d'année, sans être catastrophique, n'a pas été très glorieuse. Hum ... Si, on peut dire qu'elle a été catastrophique. 4 victoires seulement entre la défaite à la Meinau et la victoire contre les Toulousain, c'est bien peu.
Toujours est-il que les fêtes sont maintenant passées, que nos joueurs ont reçu leur cadeaux, ont fait le plein de chocolats (nous aussi d'ailleurs), et qu'il faut se reconcentrer à nouveau sur la compétition. Et comme un symbole, c'est contre Strasbourg, chez qui la série noire avait débuté qu'elle reprend. Un symbole, donc, pour conjurer le sort et repartir du bon pied. Rendre aux Strasbourgeois la monnaie de leur pièce, et effacer tous les doutes des esprits Olympiens.
La défaite de la Meinau coincidait également avec l'annonce de la venue de Fabien Barthez sur la cannebière, et c'est sans doute là aussi une coincidence si Fabien commence à jouer contre Strasbourg sous le maillot bleu et blanc. Enfin pourrait-on dire. Car nombreux ont été les ragots, les rumeurs, les préjugés, les jugemens hatif, sur le fait que c'est cette annonce de Barthez à l'OM qui a mis le club dans cet état jusqu'à fin Décembre. Et il y avait sans un peu du vrai là dedans. Le feuilleton est aujourd'hui terminé, et Fabien a joué son premier match avec ses nouveaux coéquipiers.
Parlons en du match, puisque c'est un peu ça qui nous interesse au fond. Je ne reviendrai pas trop en détail sur son déroulement puisque la plupart d'entre vous l'on vu retransmis, mais j'analyserai plutôt la prestation Olympienne. Des Olympiens qui feront bonne figure en première mi-temps, en se créant des occasions, mais sans trouver la faille. On a l'impression de revivre le match contre Toulouse. Grosse domination dans le jeu, mais stérilité devant. Et tout le monde connait le dicton : dominer n'est pas gagner. Finalement, c'est fort logiquement que le ballon fini par rentrer au fond de la cage de Dutruel. Enfin se dit on, et heureusement surtout. Fabien Barthez n'aura eu aucun arrêt à faire, les Strasbourgeois n'ayant placé aucun tir durant ces 45 premières minutes.
Heureusement que les Olympiens ont marqué en fin de première période car s'ils ont entammé la seconde comme ils ont entammé le match, cela n'a pas duré, et ils ont vite baissé le rythme, laissant libre court aux Alsaciens, reculant sans cesse, sans vraiment montrer d'ambition offensive. On commence alors à redécouvrir le visage de l'équipe de fin d'année 2003. Et là, on commence à trembler tant on connait les difficultés qu'ont les Olympien à tenir un résultat dans ces cas là. Et ça n'a pas raté. A dix minutes de la fin, Strasbourg trouve l'ouverture, et sur quasiment leur unique frappe au but, ils parviennent à égaliser.
Dommage. Mais sans surprise tellement on y été habitué. Fabien n'aura eu aucun véritable arrêt à faire durant tout le match, et il se retrouve avec un ballon au fond de ses filets, obligé de jouer la prolongation. Les Olympiens ont du se faire remonter les bretelles car ils ont recommencé à jouer durant cette prolongation, mais toujours avec ce manque de réussite. Des frappes au ras du poteau ou sur le gardien, un face à face perdu ... Bref, on se dit que la chance n'a fait que passer.
Il fallu s'en remettre à l'épreuve des tirs aux but. Et on commence à prier la Bonne Mère. On espère tous alors que ce que Barthez n'a pu montrer durant le match, il le montre lors de cette séance cruciale. Et il s'en sort bien le bougre. Un peu plus que bien même. Après deux tirs stoppé, il se paye le luxe de frapper le dernier pénalty, et de le marquer pour donner la victoire aux siens. Aucun marseillais ne pouvait rêver meilleur retour pour Fabien, même si on a frolé la correctionnelle.
Cependant le constat est là. En championnat, ce but à dix minutes de la fin coute 2 points au classement, et c'est le genre d'erreur qu'il ne faudrait plus commettre. L'OM n'est pas encore guérit. Mais gageons que l'on est sur la bonne voie.
Sur ce, amis supporters marseillais, je rend l'antenne, en vous souhaitant à toutes et tous une très bonne année 2004 ... Meilleurs voeux, et allez l'OM ...
Toujours est-il que les fêtes sont maintenant passées, que nos joueurs ont reçu leur cadeaux, ont fait le plein de chocolats (nous aussi d'ailleurs), et qu'il faut se reconcentrer à nouveau sur la compétition. Et comme un symbole, c'est contre Strasbourg, chez qui la série noire avait débuté qu'elle reprend. Un symbole, donc, pour conjurer le sort et repartir du bon pied. Rendre aux Strasbourgeois la monnaie de leur pièce, et effacer tous les doutes des esprits Olympiens.
La défaite de la Meinau coincidait également avec l'annonce de la venue de Fabien Barthez sur la cannebière, et c'est sans doute là aussi une coincidence si Fabien commence à jouer contre Strasbourg sous le maillot bleu et blanc. Enfin pourrait-on dire. Car nombreux ont été les ragots, les rumeurs, les préjugés, les jugemens hatif, sur le fait que c'est cette annonce de Barthez à l'OM qui a mis le club dans cet état jusqu'à fin Décembre. Et il y avait sans un peu du vrai là dedans. Le feuilleton est aujourd'hui terminé, et Fabien a joué son premier match avec ses nouveaux coéquipiers.
Parlons en du match, puisque c'est un peu ça qui nous interesse au fond. Je ne reviendrai pas trop en détail sur son déroulement puisque la plupart d'entre vous l'on vu retransmis, mais j'analyserai plutôt la prestation Olympienne. Des Olympiens qui feront bonne figure en première mi-temps, en se créant des occasions, mais sans trouver la faille. On a l'impression de revivre le match contre Toulouse. Grosse domination dans le jeu, mais stérilité devant. Et tout le monde connait le dicton : dominer n'est pas gagner. Finalement, c'est fort logiquement que le ballon fini par rentrer au fond de la cage de Dutruel. Enfin se dit on, et heureusement surtout. Fabien Barthez n'aura eu aucun arrêt à faire, les Strasbourgeois n'ayant placé aucun tir durant ces 45 premières minutes.
Heureusement que les Olympiens ont marqué en fin de première période car s'ils ont entammé la seconde comme ils ont entammé le match, cela n'a pas duré, et ils ont vite baissé le rythme, laissant libre court aux Alsaciens, reculant sans cesse, sans vraiment montrer d'ambition offensive. On commence alors à redécouvrir le visage de l'équipe de fin d'année 2003. Et là, on commence à trembler tant on connait les difficultés qu'ont les Olympien à tenir un résultat dans ces cas là. Et ça n'a pas raté. A dix minutes de la fin, Strasbourg trouve l'ouverture, et sur quasiment leur unique frappe au but, ils parviennent à égaliser.
Dommage. Mais sans surprise tellement on y été habitué. Fabien n'aura eu aucun véritable arrêt à faire durant tout le match, et il se retrouve avec un ballon au fond de ses filets, obligé de jouer la prolongation. Les Olympiens ont du se faire remonter les bretelles car ils ont recommencé à jouer durant cette prolongation, mais toujours avec ce manque de réussite. Des frappes au ras du poteau ou sur le gardien, un face à face perdu ... Bref, on se dit que la chance n'a fait que passer.
Il fallu s'en remettre à l'épreuve des tirs aux but. Et on commence à prier la Bonne Mère. On espère tous alors que ce que Barthez n'a pu montrer durant le match, il le montre lors de cette séance cruciale. Et il s'en sort bien le bougre. Un peu plus que bien même. Après deux tirs stoppé, il se paye le luxe de frapper le dernier pénalty, et de le marquer pour donner la victoire aux siens. Aucun marseillais ne pouvait rêver meilleur retour pour Fabien, même si on a frolé la correctionnelle.
Cependant le constat est là. En championnat, ce but à dix minutes de la fin coute 2 points au classement, et c'est le genre d'erreur qu'il ne faudrait plus commettre. L'OM n'est pas encore guérit. Mais gageons que l'on est sur la bonne voie.
Sur ce, amis supporters marseillais, je rend l'antenne, en vous souhaitant à toutes et tous une très bonne année 2004 ... Meilleurs voeux, et allez l'OM ...