Le Mercredi 24 Mars 2004 par Gandalf
Après deux matchs où le soleil brillait, étincelait sur le Phoenix ciel et blanc, un épais brouillard est revenu mettre l'angoisse dans les esprits des supporters. A force de voler trop haut, la chute fut plus lourde pour les joueurs....Tel des faucons, les joueurs aux griffes et dents assérées et affûtées se sont englués contre la paroi collante de la BOLONIaise, pour en donner la chute du faucon noir...
A croire que tout ceci n'était qu'une passe, un rayon de soleil qui cachait l'ouragan...Est possible? Croyez vous que l'ombre va persister après cette déroute mentale plus que physique des ohémois?
Le beau temps n'aura duré qu'une semaine, comme ce ciel magnifique irradiant mes yeux la semaine précédente a Paris. Sans doute que les joueurs brillent lorsque le soleil est en place au dessus d'eux. Y aurait il une corrélation entre la météo, et les capacités des joueurs?
Quenéni bien sur. Mais nous sommes en droit de nous poser des questions, et surtout de nous remettre en question, quand ce n'est pas aux joueurs eux même de le faire.Avouons qu'hier soir, la souffrance régnait dans nos veines lorsque le quatrième but fut marqué par Frei, malgré que l'amertume prime sur nos esprits décapits.
Ce match est entamé de façon brillante pour ne pas dire étincelante. Les qualificatifs ne manquent pas à mes lèvres, tant les joueurs prenaient l'ascendant sur leurs homonymes Rennais. Mais au bout de vingt minutes, l'intensité baissait et malgré tout, sur une touche de notre Roberto Carlos capvérdien du pauvre, Mido passait le ballon a Drogba qui faisait de même de la tête pour Batlles notre Zidane du sans logis qui marquait d'un retourné Magnifique...
L'espoir d'une machine lancée arrivait dans mon esprit, où je pouvais m'entendre claironner, et crier toute la joie qui me prenait au coeur. Et pourtant, la sauce BOLONIaise se mit en marche et les Rennes se lachèrent pour passer a l'offensive. Seulement cinq minutes suffirent pour voir un but sur un coup Franc...Et cinq minutes plus tard, c'est encore le même joueur, Frei, qui marquait sur un centre dévié de la main par Meité et que Barthez ne pouvait capter...
Le spectre d'une ombre mentale me revenait alors devant mes yeux ébahits. Les joueurs lachaient encore comme deux semaines auparavant, je craignais le pire, une défaite mémorable, mais pourtant au fond de moi régnait cette lueur, celle du phoenix...Et Drogba marquait d'un but somptueux après que Mido lui eut fait un centre millimétré. La joie revenait. La deuxième mi temps revenait lorsque Frei marquait a nouveau sur un mauvais dégagement de notre cuisinière Meité. Mido remettait tout ce beau monde à 3-3 sur une percée de Drogba. Mais Frei, encore lui marquait le quatrième but fatal a l'OM sur un mauvais marquage de l'inévitable poulet aux oignons...Meité.
La messe était dite malgré les assauts répétés des remplacants du jour Marlet et Meriem. L'épais brouillard est donc revenu pour nous dire combien la route est longue. Quand une défense d'Ivoire abattait un boulot monstre en compagnie du pharaon Midas, l'autre défense d'y voir plus clair cassait toute la machine, pour ne plus rien y voir sauf le score de la défaite, et pourtant tout le monde n'est pas exempte de tout reproche.
Le ciel s'assombrit de nouveau, et l'on se remet à douter. Malgré un esprit de guerrier qui ne lâche rien, les joueurs vont devoir encore se remettre en question, et l'on sait combien il est dur de devoir rejouer contre un cador après une telle désillusion(pour le score et l'esprit de certains).
Pour Jeudi, l'Ombre Mentale plane sur les esprits ohémois, or il faudra bien s'en défaire pour voir planer le soleil plus longtemps, faire de l'Hiver de poule un été calcinant, et lui brûler les ailes. Le phoenix ne meurt jamais, il peut ressurgir a tout moment, espérons seulement que cette ombre s'envolera jeudi et que ce ne soit pas un Black Hawk Down...
A croire que tout ceci n'était qu'une passe, un rayon de soleil qui cachait l'ouragan...Est possible? Croyez vous que l'ombre va persister après cette déroute mentale plus que physique des ohémois?
Le beau temps n'aura duré qu'une semaine, comme ce ciel magnifique irradiant mes yeux la semaine précédente a Paris. Sans doute que les joueurs brillent lorsque le soleil est en place au dessus d'eux. Y aurait il une corrélation entre la météo, et les capacités des joueurs?
Quenéni bien sur. Mais nous sommes en droit de nous poser des questions, et surtout de nous remettre en question, quand ce n'est pas aux joueurs eux même de le faire.Avouons qu'hier soir, la souffrance régnait dans nos veines lorsque le quatrième but fut marqué par Frei, malgré que l'amertume prime sur nos esprits décapits.
Ce match est entamé de façon brillante pour ne pas dire étincelante. Les qualificatifs ne manquent pas à mes lèvres, tant les joueurs prenaient l'ascendant sur leurs homonymes Rennais. Mais au bout de vingt minutes, l'intensité baissait et malgré tout, sur une touche de notre Roberto Carlos capvérdien du pauvre, Mido passait le ballon a Drogba qui faisait de même de la tête pour Batlles notre Zidane du sans logis qui marquait d'un retourné Magnifique...
L'espoir d'une machine lancée arrivait dans mon esprit, où je pouvais m'entendre claironner, et crier toute la joie qui me prenait au coeur. Et pourtant, la sauce BOLONIaise se mit en marche et les Rennes se lachèrent pour passer a l'offensive. Seulement cinq minutes suffirent pour voir un but sur un coup Franc...Et cinq minutes plus tard, c'est encore le même joueur, Frei, qui marquait sur un centre dévié de la main par Meité et que Barthez ne pouvait capter...
Le spectre d'une ombre mentale me revenait alors devant mes yeux ébahits. Les joueurs lachaient encore comme deux semaines auparavant, je craignais le pire, une défaite mémorable, mais pourtant au fond de moi régnait cette lueur, celle du phoenix...Et Drogba marquait d'un but somptueux après que Mido lui eut fait un centre millimétré. La joie revenait. La deuxième mi temps revenait lorsque Frei marquait a nouveau sur un mauvais dégagement de notre cuisinière Meité. Mido remettait tout ce beau monde à 3-3 sur une percée de Drogba. Mais Frei, encore lui marquait le quatrième but fatal a l'OM sur un mauvais marquage de l'inévitable poulet aux oignons...Meité.
La messe était dite malgré les assauts répétés des remplacants du jour Marlet et Meriem. L'épais brouillard est donc revenu pour nous dire combien la route est longue. Quand une défense d'Ivoire abattait un boulot monstre en compagnie du pharaon Midas, l'autre défense d'y voir plus clair cassait toute la machine, pour ne plus rien y voir sauf le score de la défaite, et pourtant tout le monde n'est pas exempte de tout reproche.
Le ciel s'assombrit de nouveau, et l'on se remet à douter. Malgré un esprit de guerrier qui ne lâche rien, les joueurs vont devoir encore se remettre en question, et l'on sait combien il est dur de devoir rejouer contre un cador après une telle désillusion(pour le score et l'esprit de certains).
Pour Jeudi, l'Ombre Mentale plane sur les esprits ohémois, or il faudra bien s'en défaire pour voir planer le soleil plus longtemps, faire de l'Hiver de poule un été calcinant, et lui brûler les ailes. Le phoenix ne meurt jamais, il peut ressurgir a tout moment, espérons seulement que cette ombre s'envolera jeudi et que ce ne soit pas un Black Hawk Down...