Le Vendredi 29 Octobre 2004 par Gandalf
Vendredi matin, Joselito se lève. Il est 7h30 et sa mère s'approche de lui tout en lui sussurant des mots doux. Il se lève et part se débarbouiller aussitôt après avoir refait son lit. Ni une ni deux, il prépare son petit déjeuner: Au menu, chocolat chaud et tartines de pâte chocolatée, pour ne pas dire du Nutella. D'un coup retentit alors la sonnerie, ce n'était pas celle du téléphone ni de l'entrée juste le portable qui annonçait le départ imminent pour la fac. Sac sur le dos, il ne lui reste plus qu'à enfiler les chausssettes et les chaussures...Il commence toujours par la chaussette gauche puis la droite avant d'utiliser le même procédé pour ses chaussures...
Quelques heures plus tard, vers 12h30 pour rendre plus précise la situation, Joselito sort des cours, où il vient d'apprendre la théorie de la chute des corps, des corps en mouvement, mais aussi des stratégies commerciales, et autres placements en bourse. Tout n'est qu'affaire de sensations, de calme d'esprit mais aussi de jugeotte. Et c'est là que le bas blesse concernant notre chère élève car jusqu'à présent, c'est plus la chance que ses qualités tactiques qui l'ont aidé dans ses contrôles continus mais aussi aux partiels blancs. Pourtant, il voudrait bien forcer le destin, réussir alors que beaucoup commencent à douter de lui...à commencer par lui même sans que personne ne le sache. Mais un problème se pose à lui, et pas des moindres malheureusement, c'est qu'il s'étend beaucoup dans ses oraux et écrits au lieu d'aller vers la cible et enfin faire ce qu'il faut, comme il devrait le faire...
D'ailleurs pour analyser la situation, nous le retrouvons au café de la gare près pour le départ...vers le stade. Ici, pas d'Orient(ation) Express, pas de Cow Boy, d'Indiens juste Josélito et le bar man. Nous le retrouvons donc en position peu flatteuse, avec une mine fatiguée et son crâne dégarni, commandant un verre de Panaché à celui-ci... A noter qu'il venait juste de finir un Monaco des plus légers juste avant...Morceaux choisis...
-Bonjour Josélito, qu'est ce que je te sers aujourd'hui?
-Ooooh...Euh...Un Monaco s'il te plait.
-Tu ne m'as pas l'air en forme que t'arrive-t-il?
-Je ne sais pas, un petit coup de déprime je pense... La pression est forte, mais je ne sais comment m'en débarasser. Je n'arrive pas à me relacher et comme je veux bien faire, je foire tout...
-Si tu commençais déjà par te concentrer sur ton sujet José au lieu de te chercher une excuse de pression. Tous les deux, nous savons combien c'est dur mais au bout d'un certain temps, tu es sensé avoir accumulé assez d'experience dans ta vie pour savoir comment évacuer le tout, et enfin agir comme il se doit pour réussir...
La discussion continua encore pas mal de temps, mais vous l'aurez compris, le sujet de l'épanchement oral était de ceux qui pourraient en facher plein et en destabiliser pas mal. Seuls ceux qui agissent au lieu de parler réussissent ou au moins, peuvent se targuer de pouvoir le faire, mais ce n'était pas le cas de notre petit Josélito. Un jour viendra où il comprendra, si ce principe oté ne lui était pas, il pourrait peut être enfin trouver la solution à tous ces maux. La clef n'est jamais loin et fatalement sous son propre nez mais Joselito le découvrira-t-il bien assez tôt? C'est la question à la fiscalité gagnante si ce n'est pour dire un million que l'on se pose. Tout le monde le sait, les échéances arrivent bien vite car trois dissertations sur table sont programmées dans le cursus qu'il suit. A commencer par la première ce soir, suivie de deux autres une semaine plus tard sur la capitale et ses fantaisies... Aucun droit à l'erreur ne sera accordé, ce sera donc à quitte ou double en espérant que ce soit des qualités tactiques qui en ressortent plus qu'une hypotétique chance...
Plus que la chance ou ses propres démons se dresse maintenant un autre mur, ainsi qu'une porte mais cette fois pas de clef miracle, juste la Clef Deshamps... Lui aussi n'est pas dans la situation qu'il aurait souhaité voici quatre dissertations plus tôt, à la différence près que lui est discret, malin et qu'il a un style bien à lui, et ceci personne ne peut lui oter... ce n'est pas comme les principes de Josélito. Style inimitable et inimité jusqu'à présent, il a réussit à se hisser au plus au niveau l'année passée en atteignant la finale du concours académique, et en finissant troisième de son cursus. La première place de major de la promo s'est envolée dans le sprint final mais il ne se décourage pas pour autant. Depuis, beaucoup de choses ont changé comme ses affaires personnelles. Fini le temps des bières pressions, il roule maintenant au champagne de grande qualité.
Stylo plume Saviola qui déssine des courbes chatoyantes, Effaceur Chevanton qui t'efface tout ce qu'il veut sur papier vert, Crayon noir Kallon, ou les prémices d'une perle noire, Maicon où l'equerre et ses angles droits bien précis et pour finir Perez le ciselard... Toutes ces petites marques copyrightées sont venues s'ajouter à la trousse bien fournie de Sieur Deschamps. Qui dit effectif renouvelé en bonne partie dit généralement adaptation... Là où Josélito a tout renouvelé en marques françaises connues, Sieur Didier a lui fait dans l'exotique bien reconnu. Deux façons de tout changer distinctes mais avec une approche différente, mais pour autant est ce différend? Dans les résultats actuels, il ne faut pas s'y tromper les deux sont au même niveau de calcul mais comme je le faisais remarquer le style diffère totalement... L'un doute et fait douter les autres tandis que l'opposé existe avec un doute aussitôt transformé en euphorie pour ceux qui le notent bien que le résultat soit toujours en anicroche...
Le DST se rapproche, fini l'alcoolisme; Josélito se doit de rentrer. Tout penaud, il tente de se montrer fort devant l'assemblée pour ne pas paraître désabusé mais c'est sans compter sur l'intelligence extérieure qui n'est pas dupe. Lui qu'on croyait pouvoir enfin s'analyser et tenter de trouver des solutions retombe dans son petit monde personnel et enfin de compte, pour le moment, rien n'a changé. Il paraitraît que Luyindula sera encore le titulaire en compagnie du presque même dix de départ dans sa trousse (de secours?). Des changements auraient pu surgir mais il semble que l'on ne puisse pas changer les tétus, ou du moins la solution au miracle proposé n'est pas encore arrivée. Seul petit moment d'espoir; la rentrée de la plûme Pedretti dans les affaires du petit José... Meité quant à lui, n'ayant pas fait dans la finesse, mais plutôt dans le carton se retrouve sur le bas côté pour regarder le DST du soir.
Soudainement, vint une image devant les yeux de Josélito, carré vert, pelouse tout y passe et ç'est là qu'il se dit..."Le bonheur est dans le près"...Espérons qu'il ne le soit pas du côté des champs si vous voyez ce que je veux dire.
Gandalf
PS: J'ai beaucoup fait dans la personnification et autres stratagèmes. Ne voyez pas ceci comme une critique d'Anigo mais je parlais seulement des malaises d'un groupe entier à travers Josélito. Merci et bonne lecture.
Quelques heures plus tard, vers 12h30 pour rendre plus précise la situation, Joselito sort des cours, où il vient d'apprendre la théorie de la chute des corps, des corps en mouvement, mais aussi des stratégies commerciales, et autres placements en bourse. Tout n'est qu'affaire de sensations, de calme d'esprit mais aussi de jugeotte. Et c'est là que le bas blesse concernant notre chère élève car jusqu'à présent, c'est plus la chance que ses qualités tactiques qui l'ont aidé dans ses contrôles continus mais aussi aux partiels blancs. Pourtant, il voudrait bien forcer le destin, réussir alors que beaucoup commencent à douter de lui...à commencer par lui même sans que personne ne le sache. Mais un problème se pose à lui, et pas des moindres malheureusement, c'est qu'il s'étend beaucoup dans ses oraux et écrits au lieu d'aller vers la cible et enfin faire ce qu'il faut, comme il devrait le faire...
D'ailleurs pour analyser la situation, nous le retrouvons au café de la gare près pour le départ...vers le stade. Ici, pas d'Orient(ation) Express, pas de Cow Boy, d'Indiens juste Josélito et le bar man. Nous le retrouvons donc en position peu flatteuse, avec une mine fatiguée et son crâne dégarni, commandant un verre de Panaché à celui-ci... A noter qu'il venait juste de finir un Monaco des plus légers juste avant...Morceaux choisis...
-Bonjour Josélito, qu'est ce que je te sers aujourd'hui?
-Ooooh...Euh...Un Monaco s'il te plait.
-Tu ne m'as pas l'air en forme que t'arrive-t-il?
-Je ne sais pas, un petit coup de déprime je pense... La pression est forte, mais je ne sais comment m'en débarasser. Je n'arrive pas à me relacher et comme je veux bien faire, je foire tout...
-Si tu commençais déjà par te concentrer sur ton sujet José au lieu de te chercher une excuse de pression. Tous les deux, nous savons combien c'est dur mais au bout d'un certain temps, tu es sensé avoir accumulé assez d'experience dans ta vie pour savoir comment évacuer le tout, et enfin agir comme il se doit pour réussir...
La discussion continua encore pas mal de temps, mais vous l'aurez compris, le sujet de l'épanchement oral était de ceux qui pourraient en facher plein et en destabiliser pas mal. Seuls ceux qui agissent au lieu de parler réussissent ou au moins, peuvent se targuer de pouvoir le faire, mais ce n'était pas le cas de notre petit Josélito. Un jour viendra où il comprendra, si ce principe oté ne lui était pas, il pourrait peut être enfin trouver la solution à tous ces maux. La clef n'est jamais loin et fatalement sous son propre nez mais Joselito le découvrira-t-il bien assez tôt? C'est la question à la fiscalité gagnante si ce n'est pour dire un million que l'on se pose. Tout le monde le sait, les échéances arrivent bien vite car trois dissertations sur table sont programmées dans le cursus qu'il suit. A commencer par la première ce soir, suivie de deux autres une semaine plus tard sur la capitale et ses fantaisies... Aucun droit à l'erreur ne sera accordé, ce sera donc à quitte ou double en espérant que ce soit des qualités tactiques qui en ressortent plus qu'une hypotétique chance...
Plus que la chance ou ses propres démons se dresse maintenant un autre mur, ainsi qu'une porte mais cette fois pas de clef miracle, juste la Clef Deshamps... Lui aussi n'est pas dans la situation qu'il aurait souhaité voici quatre dissertations plus tôt, à la différence près que lui est discret, malin et qu'il a un style bien à lui, et ceci personne ne peut lui oter... ce n'est pas comme les principes de Josélito. Style inimitable et inimité jusqu'à présent, il a réussit à se hisser au plus au niveau l'année passée en atteignant la finale du concours académique, et en finissant troisième de son cursus. La première place de major de la promo s'est envolée dans le sprint final mais il ne se décourage pas pour autant. Depuis, beaucoup de choses ont changé comme ses affaires personnelles. Fini le temps des bières pressions, il roule maintenant au champagne de grande qualité.
Stylo plume Saviola qui déssine des courbes chatoyantes, Effaceur Chevanton qui t'efface tout ce qu'il veut sur papier vert, Crayon noir Kallon, ou les prémices d'une perle noire, Maicon où l'equerre et ses angles droits bien précis et pour finir Perez le ciselard... Toutes ces petites marques copyrightées sont venues s'ajouter à la trousse bien fournie de Sieur Deschamps. Qui dit effectif renouvelé en bonne partie dit généralement adaptation... Là où Josélito a tout renouvelé en marques françaises connues, Sieur Didier a lui fait dans l'exotique bien reconnu. Deux façons de tout changer distinctes mais avec une approche différente, mais pour autant est ce différend? Dans les résultats actuels, il ne faut pas s'y tromper les deux sont au même niveau de calcul mais comme je le faisais remarquer le style diffère totalement... L'un doute et fait douter les autres tandis que l'opposé existe avec un doute aussitôt transformé en euphorie pour ceux qui le notent bien que le résultat soit toujours en anicroche...
Le DST se rapproche, fini l'alcoolisme; Josélito se doit de rentrer. Tout penaud, il tente de se montrer fort devant l'assemblée pour ne pas paraître désabusé mais c'est sans compter sur l'intelligence extérieure qui n'est pas dupe. Lui qu'on croyait pouvoir enfin s'analyser et tenter de trouver des solutions retombe dans son petit monde personnel et enfin de compte, pour le moment, rien n'a changé. Il paraitraît que Luyindula sera encore le titulaire en compagnie du presque même dix de départ dans sa trousse (de secours?). Des changements auraient pu surgir mais il semble que l'on ne puisse pas changer les tétus, ou du moins la solution au miracle proposé n'est pas encore arrivée. Seul petit moment d'espoir; la rentrée de la plûme Pedretti dans les affaires du petit José... Meité quant à lui, n'ayant pas fait dans la finesse, mais plutôt dans le carton se retrouve sur le bas côté pour regarder le DST du soir.
Soudainement, vint une image devant les yeux de Josélito, carré vert, pelouse tout y passe et ç'est là qu'il se dit..."Le bonheur est dans le près"...Espérons qu'il ne le soit pas du côté des champs si vous voyez ce que je veux dire.
Gandalf
PS: J'ai beaucoup fait dans la personnification et autres stratagèmes. Ne voyez pas ceci comme une critique d'Anigo mais je parlais seulement des malaises d'un groupe entier à travers Josélito. Merci et bonne lecture.