Le Mercredi 18 Août 2004 par Gandalf
Dans le sud, et surtout près de la méditérranée, il y a de ces derbys qui feraient trembler le sol, et s'envoler tout un tas d'oiseaux rares. C'est le cas d'un Marseille-Nice, avec en prime un combat chez les Aiglons, maitres de la promenade des Anglais. Après avoir ainsi déchiquetter du Dogue dimanche dernier, l'on nous propose de venir à bout d'un essin de rapaces aux ailes blessées. Mais comme l'on dit chez nous, il vaut mieux se méfier de l'eau qui dort, et des animaux blessés car ce sont généralement les plus dangereux, étant dans un état des plus critiques. Tel est pris qui croyait prendre, et hop c'est alors le desastre, ocis par un animal blessé, c'est alors tout un peuple qui gronde. L'orage et le Mistral à côté de ça, ça fait office de fillette à poupée, en gros ça en devient ridicule à souhait.
Voilà pourquoi il faut adopter un esprit de guerrier - comme à chaque match d'ailleurs - et montrer son côté sombre, le côté obscur de la force. Les niçois savent ce que c'est que de se montrer fort même dans l'adversité, depuis trois ans qu'ils sont dans l'élite, là où les rapaces tels que les aiglons ont joué au vautour en attendant le bon moment pour faire tomber de nombreuses têtes comme celle de l'OM au stade du Ray il y a deux ans. D'ailleurs Meité doit encore s'en souvenir avec une belle expulsion comme il peut en avoir l'habitude. A cette époque là, Nice venait de monter de L2 et l'OM redressait la barre avec à son bord le Parrain, un capitaine de Concorde au charisme excéptionnel. Depuis beaucoup de choses ont changé, et le Concorde s'est craché entrainant dans sa chute l'essin d'Aiglons.
C'est un Gernot Rohr quelque peu désabusé qui se présente à nos yeux aujourd'hui. Lui le chef de troupes, le Roi des Aiglons à défaut de reine des abeilles. Il a beau ne pas butiner son miel, et chercher du pollen, il a tout fait pour enrhumer, et allergiser ses adversaires, tout en pollénisant l'élite de ses tactiques aux allures de Muraille de Chine. Enfin une vrai me direz vous, après avoir tester celle en porcelaine de Limoges des vignobles aquitains. Malheureusement pour lui, le fer de lance de son attaque Laslandes s'en est retourné chez lui boire un petit coup de rouge, alors que Pépitau est parti il y a peu rejoindre les lionceaux plus au nord. Le régulateur du jeu (pour peu qu'il y en ait), j'ai nommé Everson s'est lui aussi expatrié à l'étranger pour un grain de sel alors qu'il y a peu Nice en démandait des pépites d'or bien salées. Pour remplacer ce petit monde des aiglons enchantés, des Casimir sont arrivés, tel que Vahirua, alors là je dis "advienne que pourra", en compagnie de Linz dont le jeu de tête ferait merveille.
L'ossature de l'aiglon quant à elle reste sensiblement identique. La colonne vertébrale est forgée dans un ancien métal mais toujours aussi dur, José Cobos le plus vieux joueur de L1 avec ses 35 ans, de Noël Pamarot, et de Samy Traoré. Les ailes et les pates sont faites de marbre, téllement beaucoup s'y sont cassés les dents pour le fendre en deux. Bigné, Roudet, Varrault, et un autre milieu les composent. Enfin, le bec sanglant de l'aiglon, bien qu'encore frèle par sa jeunesse est composée de Vahirua et Linz. Reste ainsi à voir ce que donne un vol de rapaces façe aux marseillais, surtout quand on sait que Gernot dit "Roaaarrr" quand il s'enerve, est un adepte des tactiques défensives, sans jeux mais complexes à déchiffrées pour l'adversaire. Les dogues comparés aux rapaces paraissent ridicules à côté de la troupe d'aiglons de chasse.
Façe aux blessés, d'autres blessés et des absents. Lundi, l'Anis Go a du composer avec un groupe restreint du aux absences des internationaux (Pedretti, Barthez, Luyindula, Beye, Meité et N'diaye) des blessés (Déhu), ou encore des remises en forme (Mido). On s'y perdrait dans toutes les absences, mais là où les aiglons blessent par un manque de confiance en eux, l'avion marseillais manquera peut être de Kerozen, et donc de force pour Samedi, ou encore de réglages techniques dans le dédale de fils(Et Icare?? lui qui voulait voler ba tiens). Malgré deux victoires sans constétations aucune...ah si, de la part des entraîneurs adverses arguant d'un "arbitrage maison" ou encore d'un "les expulsions je n'ai pas envie de les commenter on à l'habitude ici maintenant"...il ne faut pourtant pas s'enflammer loin de là. La flamme qui brûle est eternelle tant qu'on l'alimente, un peu comme la flamme Olympique, la notre étant Olympienne, mais il faut voir à ne pas se brûler ses propres ailes...
L'entrainement va donc servir en conséquence pendant le restant de la semaine, et les internationaux reviendront jeudi pour combler le manque du moment. Des associations seront sûrement essayées, et des parades testées pour parer à toute éventualité. Puis si tout se passe bien, José les laissera peut être se promener sur Nice, là où les anglais sont passés, ça ne pourra que rappeler des souvenirs aux joueurs. Et samedi verrons nous probablement la même équipe titulaire que précédemment contre des dogues appeurés. Et si l'on pouvait y apposer une certaine manière dans le jeux, ça n'en serait que plus appréciable pour les yeux des spéctateurs, mais faire tout de même attention à ne pas sombrer seulemennt dans le style. On sait tous que l'adage veut que...
Trop de style tue le style. Il faut donc prendre ses précautions, mais l'inverse vaut aussi. Quand on a aucun style, et qu'on ne joue que sur une certaine puissance, il y a un moment où tout casse. Une aile d'avion par exemple peut resister à la pression ambiante, mais passé un certain cap, il n'est plus possible de tenir, et on s'expose à de possibles dégâts irréversibles sur la coque. En d'autres mots, nos propres ailes (imaginaires soient-elles) pourraient tomber en lambeaux à force de trop s'appuyer sur la puissance. Mais gardons notre confiance en nos garagistes, et nos mécaniciens et ingénieurs, pour qu'ils réussissent là où d'autres ont péché.
Nous, tout ce que l'on demande ce n'est qu'à s'envoler, et que les joueurs le fassent pour nous en brillant sur le carré vert. Et quitte à voler, autant voler au dessus des aiglons et à leur être supérieurs. Les blessés vont vouloir se relever, mais il faudra quant à nous les enfoncer encore plus quitte à y laisser une ou deux plumes, tant que ce n'est pas un OM déplumé que l'on retrouve de retour de Vol aux alentours de 19h sur la promenade des marseillais...
Voilà pourquoi il faut adopter un esprit de guerrier - comme à chaque match d'ailleurs - et montrer son côté sombre, le côté obscur de la force. Les niçois savent ce que c'est que de se montrer fort même dans l'adversité, depuis trois ans qu'ils sont dans l'élite, là où les rapaces tels que les aiglons ont joué au vautour en attendant le bon moment pour faire tomber de nombreuses têtes comme celle de l'OM au stade du Ray il y a deux ans. D'ailleurs Meité doit encore s'en souvenir avec une belle expulsion comme il peut en avoir l'habitude. A cette époque là, Nice venait de monter de L2 et l'OM redressait la barre avec à son bord le Parrain, un capitaine de Concorde au charisme excéptionnel. Depuis beaucoup de choses ont changé, et le Concorde s'est craché entrainant dans sa chute l'essin d'Aiglons.
C'est un Gernot Rohr quelque peu désabusé qui se présente à nos yeux aujourd'hui. Lui le chef de troupes, le Roi des Aiglons à défaut de reine des abeilles. Il a beau ne pas butiner son miel, et chercher du pollen, il a tout fait pour enrhumer, et allergiser ses adversaires, tout en pollénisant l'élite de ses tactiques aux allures de Muraille de Chine. Enfin une vrai me direz vous, après avoir tester celle en porcelaine de Limoges des vignobles aquitains. Malheureusement pour lui, le fer de lance de son attaque Laslandes s'en est retourné chez lui boire un petit coup de rouge, alors que Pépitau est parti il y a peu rejoindre les lionceaux plus au nord. Le régulateur du jeu (pour peu qu'il y en ait), j'ai nommé Everson s'est lui aussi expatrié à l'étranger pour un grain de sel alors qu'il y a peu Nice en démandait des pépites d'or bien salées. Pour remplacer ce petit monde des aiglons enchantés, des Casimir sont arrivés, tel que Vahirua, alors là je dis "advienne que pourra", en compagnie de Linz dont le jeu de tête ferait merveille.
L'ossature de l'aiglon quant à elle reste sensiblement identique. La colonne vertébrale est forgée dans un ancien métal mais toujours aussi dur, José Cobos le plus vieux joueur de L1 avec ses 35 ans, de Noël Pamarot, et de Samy Traoré. Les ailes et les pates sont faites de marbre, téllement beaucoup s'y sont cassés les dents pour le fendre en deux. Bigné, Roudet, Varrault, et un autre milieu les composent. Enfin, le bec sanglant de l'aiglon, bien qu'encore frèle par sa jeunesse est composée de Vahirua et Linz. Reste ainsi à voir ce que donne un vol de rapaces façe aux marseillais, surtout quand on sait que Gernot dit "Roaaarrr" quand il s'enerve, est un adepte des tactiques défensives, sans jeux mais complexes à déchiffrées pour l'adversaire. Les dogues comparés aux rapaces paraissent ridicules à côté de la troupe d'aiglons de chasse.
Façe aux blessés, d'autres blessés et des absents. Lundi, l'Anis Go a du composer avec un groupe restreint du aux absences des internationaux (Pedretti, Barthez, Luyindula, Beye, Meité et N'diaye) des blessés (Déhu), ou encore des remises en forme (Mido). On s'y perdrait dans toutes les absences, mais là où les aiglons blessent par un manque de confiance en eux, l'avion marseillais manquera peut être de Kerozen, et donc de force pour Samedi, ou encore de réglages techniques dans le dédale de fils(Et Icare?? lui qui voulait voler ba tiens). Malgré deux victoires sans constétations aucune...ah si, de la part des entraîneurs adverses arguant d'un "arbitrage maison" ou encore d'un "les expulsions je n'ai pas envie de les commenter on à l'habitude ici maintenant"...il ne faut pourtant pas s'enflammer loin de là. La flamme qui brûle est eternelle tant qu'on l'alimente, un peu comme la flamme Olympique, la notre étant Olympienne, mais il faut voir à ne pas se brûler ses propres ailes...
L'entrainement va donc servir en conséquence pendant le restant de la semaine, et les internationaux reviendront jeudi pour combler le manque du moment. Des associations seront sûrement essayées, et des parades testées pour parer à toute éventualité. Puis si tout se passe bien, José les laissera peut être se promener sur Nice, là où les anglais sont passés, ça ne pourra que rappeler des souvenirs aux joueurs. Et samedi verrons nous probablement la même équipe titulaire que précédemment contre des dogues appeurés. Et si l'on pouvait y apposer une certaine manière dans le jeux, ça n'en serait que plus appréciable pour les yeux des spéctateurs, mais faire tout de même attention à ne pas sombrer seulemennt dans le style. On sait tous que l'adage veut que...
Trop de style tue le style. Il faut donc prendre ses précautions, mais l'inverse vaut aussi. Quand on a aucun style, et qu'on ne joue que sur une certaine puissance, il y a un moment où tout casse. Une aile d'avion par exemple peut resister à la pression ambiante, mais passé un certain cap, il n'est plus possible de tenir, et on s'expose à de possibles dégâts irréversibles sur la coque. En d'autres mots, nos propres ailes (imaginaires soient-elles) pourraient tomber en lambeaux à force de trop s'appuyer sur la puissance. Mais gardons notre confiance en nos garagistes, et nos mécaniciens et ingénieurs, pour qu'ils réussissent là où d'autres ont péché.
Nous, tout ce que l'on demande ce n'est qu'à s'envoler, et que les joueurs le fassent pour nous en brillant sur le carré vert. Et quitte à voler, autant voler au dessus des aiglons et à leur être supérieurs. Les blessés vont vouloir se relever, mais il faudra quant à nous les enfoncer encore plus quitte à y laisser une ou deux plumes, tant que ce n'est pas un OM déplumé que l'on retrouve de retour de Vol aux alentours de 19h sur la promenade des marseillais...