Le Jeudi 05 Août 2004 par Gandalf
Ambiance de scandale, danse de vandale...Rythme de coupé décalé pour peu que tu te retrouves chauve et désaxé. Chaleur insoupçonnée, qui t'acable, tu transpires, et tu te dis:Il fait trop chaud pour travailler. Il est donc décidé d'aller se prostrer dans le canapé avec le ventilo. Tu prends tes glaçons, ton Pastis (ou Ricard), et tu parts t'affaler. Tu peux enfin respirer, au son des cigales et de ton chien qui ronfle de fatigue après avoir couru derrière la baballe sous le soleil de plomb les minutes qui précédèrent. Vous l'aurez compris, c'est une de ces journées harassantes, et décalquantes pour vous, et votre entourage.
Puis vint la lumière Miraculeuse, telle une providence, une Benêt-diction comme dirait l'autre (Ah mon cher Clarki), sortir du désert qui règne en ces lieux, et trouver un point d'eau, ce Bord d'eau qui nous raffraichirait tous en quelques secondes. Tu prends donc tes béquilles petit Nigaud, ta canne de vieux et met ta tenue de messie du stade siglé bon OM...ou l'Homme de la situation en gros. Quelques kilomètres de marche plus loin, suivis par tes badauds (chien et femme), tu trouves enfin le dit lieu où l'eau règne en maîtresse. Ta bouteille de pastis à la main, tu te remplis un verre quand soudain...
Surprise sur prise, et fond de cerise grisée par la crise de chaleur...Un ami de longue date se retrouve sur ton chemin, ce n'est autre que le pharaon, Mido le Rémi, appelé plus communément "Rame, cesse de boire", suivi par un bordelais Michel Pavon, entraîneur aquitain, paquito, dans son antre du "Aie en" herbe. En Villégiature du côté de chez toi, lui aussi assêché jusqu'à la moelle, il se perd dans la contrée marine d'un ciel et blanc. Il te demande quel est le chemin le plus court pour retrouver la pelouse marseillaise, et en guise d'amitié lui ouvre un chemin tel un seigneur en levant votre canne de bois...euh béquille, pardon.
Les eaux de la mer ne s'écartent pas mais tu lui montres simplement la pancarte de bord de plage où figure Vélodrome 15km. Il t'en remercie en bon ami, et ayant encore du temps, il se dit que rester à vos côtés pour ressasser les souvenirs serait une bonne idée...Encore un de ces jours plein d'images et, d'attente pour le futur, tout semble indécis jusqu'aux derniers maux (de tête?). Cultivant son envie de grandir, après être né dans les choux (un peu comme tous les garçons), il vous raconte autour d'un petit verre en Bord d'eau, cette année qui semble charnière pour lui. Vous trinquez donc pour lui espérer bonne chance.
Devenu capitaine d'un navire aquitain en pleine dérive l'hiver dernier, il doit confirmer un certain redressement, mais sans moyens de colmater les brèches qui plombent le haut commandement. Le M(I)6 ne fournit plus son équipage en hommes forts, ni simplement en argent pour pouvoir contrôler sans soucis la situation. Seuls Fauvet, Cohade, deux jeunes pousses mousses débarquent, sans avoir la prétention de tout chambouler, accompagnés qu'ils sont par Laslandes, ancien de la maison qui revient sur ses terres. A noter il y a peu, l'arrivée d'un Grec dans le groupe, un champion du monde pour relever le niveau, et garder ce cap ci...Un défenseur bien sûr le Kapsis, pour pouvoir bétonner la muraille, non pas de chine, mais seulement de porcelaine qu'elle était.
A rajouter à cela le retour d'un ancien banni, un de ces hommes qui peut changer une situation...souvenez vous OM/Inter, ou bien encore OM/Bordeaux l'année passée...On le regretterait presque tous le Meriem aujourd'hui. Revenu dans les vignobles aquitains, il semble avoir mûri grâce à son illustre patriarche Anigo, le Moïse de l'année passée. Auteur de bons matchs amicaux, il semble retrouver le jeu qui était le sien à Sochaux, et ce n'est pas pour déplaire à Michel Pavon le fleuriste. Eduardo Costa quant à lui est passé dans l'équipe de celui qui trinque...pour peu que l'autre trinque aussi, du mal qu'il va faire en championnat. Et oui, un milieu défensif composé de Pedretti et Costa semble être ce qui se fait de mieux sur le marché français actuellement, mais seulement sur le papier, tellement on ne sait ce que cela peut donner sur un terrain en les associant. Marco Caneira est lui parti en Espagne chez le vainqueur de la coupe UEFA, Valence, pour une saison...
Tout semble coordonné côté Bordelais, mais les moyens restent plus que limités pour espérer être en tête d'affiche. La route du Pavon semble telle un Savon, on ne demande qu'à glisser dessus et se retrouver comme José avec des béquilles au fond du trou. Pour un premier match, cela semble être de la dynamite, ou peut être un pétard mouillé si vous voyez ce que je veux dire...
Il est bien beau d'avoir acheté des guerriers revanchards comme le pharaon buvant son mal être tel un Whisky coca, des Costa, des Lizarazu, mais il ne faudra faire attention auprès des arbitres; souvenez vous du chauve divin de mocheté, Mr Collina...souvenirs souvenirs dirait Johny...Et que penser du système mis en place. On espère tous un 4-4-2 mais l'équipe va commencer avec un 5-4-1 où le seul Luyindula se retrouvera quelque peu esseulé, sachant qu'il n'est pas un Drogba pour perforer une défense balle au pied...Les questions persistent donc à l'heure de voir le premier match...
Les deux marcheurs, sur bord d'eau, finissent leur verre, en présence du pharaon Mido, et se relèvent enfin. Que le temps passe vite se disent ils, la rentrée des classes étant dans trois jours. Les doutes persistent pour l'un quand pour l'autre il est surtout de doutes éphémères (pour l'instant). Ils doivent montrer que leurs choix furent judicieux, mais bon laissons leur le temps de montrer de quoi ils sont capables, et surtout José sachant qu'au fond, ce qui nous intéresse c'est le Pastis et non le Bordeaux...La nuit tombe, la chaleur aussi, l'un s'en va vers la pancarte, l'autre retourne chez lui laissant tous les deux leurs cannes, et leurs verres, tels des miraculés, sur le bord d'eau...
Puis vint la lumière Miraculeuse, telle une providence, une Benêt-diction comme dirait l'autre (Ah mon cher Clarki), sortir du désert qui règne en ces lieux, et trouver un point d'eau, ce Bord d'eau qui nous raffraichirait tous en quelques secondes. Tu prends donc tes béquilles petit Nigaud, ta canne de vieux et met ta tenue de messie du stade siglé bon OM...ou l'Homme de la situation en gros. Quelques kilomètres de marche plus loin, suivis par tes badauds (chien et femme), tu trouves enfin le dit lieu où l'eau règne en maîtresse. Ta bouteille de pastis à la main, tu te remplis un verre quand soudain...
Surprise sur prise, et fond de cerise grisée par la crise de chaleur...Un ami de longue date se retrouve sur ton chemin, ce n'est autre que le pharaon, Mido le Rémi, appelé plus communément "Rame, cesse de boire", suivi par un bordelais Michel Pavon, entraîneur aquitain, paquito, dans son antre du "Aie en" herbe. En Villégiature du côté de chez toi, lui aussi assêché jusqu'à la moelle, il se perd dans la contrée marine d'un ciel et blanc. Il te demande quel est le chemin le plus court pour retrouver la pelouse marseillaise, et en guise d'amitié lui ouvre un chemin tel un seigneur en levant votre canne de bois...euh béquille, pardon.
Les eaux de la mer ne s'écartent pas mais tu lui montres simplement la pancarte de bord de plage où figure Vélodrome 15km. Il t'en remercie en bon ami, et ayant encore du temps, il se dit que rester à vos côtés pour ressasser les souvenirs serait une bonne idée...Encore un de ces jours plein d'images et, d'attente pour le futur, tout semble indécis jusqu'aux derniers maux (de tête?). Cultivant son envie de grandir, après être né dans les choux (un peu comme tous les garçons), il vous raconte autour d'un petit verre en Bord d'eau, cette année qui semble charnière pour lui. Vous trinquez donc pour lui espérer bonne chance.
Devenu capitaine d'un navire aquitain en pleine dérive l'hiver dernier, il doit confirmer un certain redressement, mais sans moyens de colmater les brèches qui plombent le haut commandement. Le M(I)6 ne fournit plus son équipage en hommes forts, ni simplement en argent pour pouvoir contrôler sans soucis la situation. Seuls Fauvet, Cohade, deux jeunes pousses mousses débarquent, sans avoir la prétention de tout chambouler, accompagnés qu'ils sont par Laslandes, ancien de la maison qui revient sur ses terres. A noter il y a peu, l'arrivée d'un Grec dans le groupe, un champion du monde pour relever le niveau, et garder ce cap ci...Un défenseur bien sûr le Kapsis, pour pouvoir bétonner la muraille, non pas de chine, mais seulement de porcelaine qu'elle était.
A rajouter à cela le retour d'un ancien banni, un de ces hommes qui peut changer une situation...souvenez vous OM/Inter, ou bien encore OM/Bordeaux l'année passée...On le regretterait presque tous le Meriem aujourd'hui. Revenu dans les vignobles aquitains, il semble avoir mûri grâce à son illustre patriarche Anigo, le Moïse de l'année passée. Auteur de bons matchs amicaux, il semble retrouver le jeu qui était le sien à Sochaux, et ce n'est pas pour déplaire à Michel Pavon le fleuriste. Eduardo Costa quant à lui est passé dans l'équipe de celui qui trinque...pour peu que l'autre trinque aussi, du mal qu'il va faire en championnat. Et oui, un milieu défensif composé de Pedretti et Costa semble être ce qui se fait de mieux sur le marché français actuellement, mais seulement sur le papier, tellement on ne sait ce que cela peut donner sur un terrain en les associant. Marco Caneira est lui parti en Espagne chez le vainqueur de la coupe UEFA, Valence, pour une saison...
Tout semble coordonné côté Bordelais, mais les moyens restent plus que limités pour espérer être en tête d'affiche. La route du Pavon semble telle un Savon, on ne demande qu'à glisser dessus et se retrouver comme José avec des béquilles au fond du trou. Pour un premier match, cela semble être de la dynamite, ou peut être un pétard mouillé si vous voyez ce que je veux dire...
Il est bien beau d'avoir acheté des guerriers revanchards comme le pharaon buvant son mal être tel un Whisky coca, des Costa, des Lizarazu, mais il ne faudra faire attention auprès des arbitres; souvenez vous du chauve divin de mocheté, Mr Collina...souvenirs souvenirs dirait Johny...Et que penser du système mis en place. On espère tous un 4-4-2 mais l'équipe va commencer avec un 5-4-1 où le seul Luyindula se retrouvera quelque peu esseulé, sachant qu'il n'est pas un Drogba pour perforer une défense balle au pied...Les questions persistent donc à l'heure de voir le premier match...
Les deux marcheurs, sur bord d'eau, finissent leur verre, en présence du pharaon Mido, et se relèvent enfin. Que le temps passe vite se disent ils, la rentrée des classes étant dans trois jours. Les doutes persistent pour l'un quand pour l'autre il est surtout de doutes éphémères (pour l'instant). Ils doivent montrer que leurs choix furent judicieux, mais bon laissons leur le temps de montrer de quoi ils sont capables, et surtout José sachant qu'au fond, ce qui nous intéresse c'est le Pastis et non le Bordeaux...La nuit tombe, la chaleur aussi, l'un s'en va vers la pancarte, l'autre retourne chez lui laissant tous les deux leurs cannes, et leurs verres, tels des miraculés, sur le bord d'eau...