Le Mercredi 26 Juillet 2006 par drogba.14
Après un 0-0 disons malchanceux au stade Parsemain, l'OM devait s'imposer ou bien profiter des buts a l'exterieur pour pouvoir se qualifier. L'entraineur ukrainien, était conscient qu'un but marseillais obligerait Dnipro a marquer deux buts pour ne pas se faire éliminer. Dans cette optique, il n'a pas hesité a mettre en place un dispositif "frileux" avec un milieu renforcé et un seul attaquant de pointe. Cette organistaion a porté ses fruits en début de match, en destabilisant le jeu offensif olympien : l'OM n'arrivait pas a aligner 4 passes dans le camp ukrainien. La solution pour l'OM était donc le jeu long pour la vitesse de Niang, et elle s'est averée efficace avec deux occasions chaudes en première mi-temps pour ce dernier. Mais a part cela, le match n'est pas fameux pour le spectateur, et l'arbitre finit par siffler la mi-temps.
A la pause, le bilan de cette première période est mitigé : l'OM n'as pas mis ce fameux but, mais on sent l'équipe plein de potentiel pour la suite du match, l'optimisme est de rigueur.
On prend les memes et on recommence pour la deuxième mi-temps. Le match ne change pas, on est loin du football champagne. Alors que le doute commence petit a petit a s'installer chez certains supporters, c'est encore sur un long ballon et un sprint de Mamadou Niang, que l'OM se crée une occasion. Elle est cette fois enfin concrétisée par le sénégalais. 1-0. Dnipro doit mettre 2 buts pour nous éliminer, le plus dur est fait.
Et dans la foulée Niang nous fait un crochet magnifique pour centrer ensuite sur Oruma qui met une reprise impeccable. 2-0, Là c'est evident. C'est fait. Qui metterait un centime sur l'équipe de Dnipro ? 15 minutes pour mettre 3 buts, ca va être mission impossible.
Pourtant, sur deux buts, dû au manque de rigueur lors des coups de pieds arrêtes, Dnipro revient dans la partie. Et ils peuvent en mettre un troisième, qui sait ? A ce moment la une petite psychose nous envahit, nous, supporter marseillais. Et la faute du fils a papa, Thomas Deruda a une seconde de la fin, près de la surface de Carasso ne nous rassure pas. Mais heuresement le coup franc est manqué, et tout finit bien avec le coup de sifflet final. On a eu chaud, mais on n'a bien mérité notre passage au tour préliminaire de l'UEFA. On a frisé le hold-up de Dnipro.
Mais voilà, notre épopée européenne ne fait que commencer, enfin esperons-le. Que l'OM nous fasse encore rêver.
A la pause, le bilan de cette première période est mitigé : l'OM n'as pas mis ce fameux but, mais on sent l'équipe plein de potentiel pour la suite du match, l'optimisme est de rigueur.
On prend les memes et on recommence pour la deuxième mi-temps. Le match ne change pas, on est loin du football champagne. Alors que le doute commence petit a petit a s'installer chez certains supporters, c'est encore sur un long ballon et un sprint de Mamadou Niang, que l'OM se crée une occasion. Elle est cette fois enfin concrétisée par le sénégalais. 1-0. Dnipro doit mettre 2 buts pour nous éliminer, le plus dur est fait.
Et dans la foulée Niang nous fait un crochet magnifique pour centrer ensuite sur Oruma qui met une reprise impeccable. 2-0, Là c'est evident. C'est fait. Qui metterait un centime sur l'équipe de Dnipro ? 15 minutes pour mettre 3 buts, ca va être mission impossible.
Pourtant, sur deux buts, dû au manque de rigueur lors des coups de pieds arrêtes, Dnipro revient dans la partie. Et ils peuvent en mettre un troisième, qui sait ? A ce moment la une petite psychose nous envahit, nous, supporter marseillais. Et la faute du fils a papa, Thomas Deruda a une seconde de la fin, près de la surface de Carasso ne nous rassure pas. Mais heuresement le coup franc est manqué, et tout finit bien avec le coup de sifflet final. On a eu chaud, mais on n'a bien mérité notre passage au tour préliminaire de l'UEFA. On a frisé le hold-up de Dnipro.
Mais voilà, notre épopée européenne ne fait que commencer, enfin esperons-le. Que l'OM nous fasse encore rêver.