Le Mardi 24 Octobre 2006 par AlesKy
Certains se souviennent encore du bon vieux temps, dans lequel nos amis stéphanois planaient encore allègrement dans le haut du classement et où le foot business n'était pas en odeur de Saint-Étienne !
Où les poteaux carrés à jamais entrés dans l'histoire, affichaient avec dédain leur suprématie sur le carré vert, et dont les filets, persécutés, subissaient les foudres de l'attaque stéphanoise. l est loin ce temps, et ce n'est pas les fans aguerris de la première heure qui me contrediront, tentant en vain dans n dernier espoir, en revêtant un maillot vert floqué MAnuFrance, de sauvegarder l'esprit sportif. Ces collectionneurs assidues de vignettes panini, conscient qu'un choc entre l'om et Sainté n'est plus ce que c'était, mais désireux au plus profond d'eux même de retrouver les sensations de leur enfance passée.
Après une sévère déculottée contre nos chers (nouveaux) frères ennemis olympiens, les (vrais) olympiens auront à coeur, espérons le de se ressaisir et d'offrir une victoire à leurs supporters. Du moins, s'ils décident de jouer au football, et non pas mettre en scène une vulgaire partie de babi foot. Ils auront fort à faire contre des stéphanois qui à domicile ne réussissent pas forcément aux marseillais, surtout après la victoire 2-0 contre les manceaux chez eux. Ce qui je n'en doute pas décuplera leur motivation.
Deux journées footballistiques qui se suivent et ne se ressemblent pas, d'un côté un classico qui est en train de naître entre les deux olympiques, celui des quenelles contre celui du pastaga. Et un autre, plus vieux, qui opposait jadis deux cadors de notre défunte D1 (Division 1 pour les plus jeunes). Un duel réunissant donc les supporters nostalgiques de ce football d'antan, pas encore pourri par l'argent et les affaires de truquages. Ceux mêmes qui cachent bien gardé des albums panini des époques fastes de leur club, ceux où les images n'étaient pas encore autocollantes. On en vient à se demander si ce n'est pas plutôt un duel entre les meilleurs ennemis du monde, deux palmarès prestigieux de la L1, deux anciens clubs qui n'ont plus connu depuis très longtemps le goût de la victoire et dont les supporters fidèles compagnons n'ont jamais baissé les bras en ce qui concerne la question de soutenir leur club.
Deux équipes comptant parmi leurs rangs l'un des meilleurs public de France, fidèles et dévoués à leur club. Et pourtant depuis tant d'années de disette, ceux ci commencent doucement mais sûrement à grincer des dents de façon répétitive, comme une vieille habitude. On n'oubliera pas les grèves et autre coup de gueules que connaissent les marseillais en temps de crise, contribuant quelquefois à la démission de dirigeants, pendant que les stéphanois plus calmes montrent à coup de banderole leur exaspération.
Un match de coupe de la ligue, qui on espère ne sera pas aussi inintéressant que cette compétition. S'il vous plait joueurs, réveiller en vous le footballeur qui sommeil et faites nous vibrer comme avant où nous étions fier d'être marseillais. Où nous pouvions sans craindre les railleries des autres avouer notre amour pour le maillot bleu et blanc, sans se justifier d'aimer ce club. Certes gagner contre Saint Etienne ne nous rendra pas tout ça, mais faites en sorte qu'on ne s'endorme pas devant notre téléviseur.
Où les poteaux carrés à jamais entrés dans l'histoire, affichaient avec dédain leur suprématie sur le carré vert, et dont les filets, persécutés, subissaient les foudres de l'attaque stéphanoise. l est loin ce temps, et ce n'est pas les fans aguerris de la première heure qui me contrediront, tentant en vain dans n dernier espoir, en revêtant un maillot vert floqué MAnuFrance, de sauvegarder l'esprit sportif. Ces collectionneurs assidues de vignettes panini, conscient qu'un choc entre l'om et Sainté n'est plus ce que c'était, mais désireux au plus profond d'eux même de retrouver les sensations de leur enfance passée.
Après une sévère déculottée contre nos chers (nouveaux) frères ennemis olympiens, les (vrais) olympiens auront à coeur, espérons le de se ressaisir et d'offrir une victoire à leurs supporters. Du moins, s'ils décident de jouer au football, et non pas mettre en scène une vulgaire partie de babi foot. Ils auront fort à faire contre des stéphanois qui à domicile ne réussissent pas forcément aux marseillais, surtout après la victoire 2-0 contre les manceaux chez eux. Ce qui je n'en doute pas décuplera leur motivation.
Deux journées footballistiques qui se suivent et ne se ressemblent pas, d'un côté un classico qui est en train de naître entre les deux olympiques, celui des quenelles contre celui du pastaga. Et un autre, plus vieux, qui opposait jadis deux cadors de notre défunte D1 (Division 1 pour les plus jeunes). Un duel réunissant donc les supporters nostalgiques de ce football d'antan, pas encore pourri par l'argent et les affaires de truquages. Ceux mêmes qui cachent bien gardé des albums panini des époques fastes de leur club, ceux où les images n'étaient pas encore autocollantes. On en vient à se demander si ce n'est pas plutôt un duel entre les meilleurs ennemis du monde, deux palmarès prestigieux de la L1, deux anciens clubs qui n'ont plus connu depuis très longtemps le goût de la victoire et dont les supporters fidèles compagnons n'ont jamais baissé les bras en ce qui concerne la question de soutenir leur club.
Deux équipes comptant parmi leurs rangs l'un des meilleurs public de France, fidèles et dévoués à leur club. Et pourtant depuis tant d'années de disette, ceux ci commencent doucement mais sûrement à grincer des dents de façon répétitive, comme une vieille habitude. On n'oubliera pas les grèves et autre coup de gueules que connaissent les marseillais en temps de crise, contribuant quelquefois à la démission de dirigeants, pendant que les stéphanois plus calmes montrent à coup de banderole leur exaspération.
Un match de coupe de la ligue, qui on espère ne sera pas aussi inintéressant que cette compétition. S'il vous plait joueurs, réveiller en vous le footballeur qui sommeil et faites nous vibrer comme avant où nous étions fier d'être marseillais. Où nous pouvions sans craindre les railleries des autres avouer notre amour pour le maillot bleu et blanc, sans se justifier d'aimer ce club. Certes gagner contre Saint Etienne ne nous rendra pas tout ça, mais faites en sorte qu'on ne s'endorme pas devant notre téléviseur.