Le Vendredi 02 Février 2007 par Gandalf
L'OM, c'est une histoire d'amour, un travail de tous les jours, une pensée qui ne fait qu'un tour, mais surtout une image qui vaut le détour. Une institution dont les contours sont toujours flous et laissent à l'esprit de chacun que rien ne peut véritablement la saisir. Pourtant, Tout le monde tente de se l'approprier, se l'accaparer, c'est un phénomène qui dépasse le simple cadre du cour de la vie. Les Hommes se battent pour elle, s'entre-déchirent jusqu'à la déchirer elle-même. L'OM plus qu'un amour, une passion... une dérision.
L'OM, c'est une série culte sans fin, qui chaque année, est suivie par un nombre important de fans en folie et récolte son lot de critiques acerbes et généreuses, vacillant au cas par cas, selon la fin des épisodes, tragiques ou comiques. Portée au firmament par les uns, et descendu savamment par les autres, elle ne trouve d'écho que dans ce générique immortel: "Aux Armes" récité en chœur par tout un public, tout un monde, tout un stade.
Le PSG, c'est un éternel recommencement. Né il y a près de trente sept ans de l'idée de quelques personnalités voyant se finir l'ère du Racing, et ne pouvant laisser une aussi grande ombre dans les vestiges d'un club à l'aura perdue. Ainsi, Guy Crescent, et Pierre Etienne Guyot (Vice Président du Racing) s'associent à Pierre Bellemare pour créer un nouveau club qui sera le reflet de sa ville, un club où strass et stress s'entremêlent sans discontinuer, sans se défaire de l'ombre planant dans les têtes.
Le PSG, c'est le club de la capitale, rempli de stress et Payet (spécial dédicace à Menzo), fixant à lui seul tous les a priori de la province, cristallisant en son sein tout ce que les provinciaux détestent. A Paris et plus qu'ailleurs, le stress (et non le strass) c'est la santé, on ne se formalise pas du boulot, bien au contraire, on en accumule et on se ferait bien une cure de repos. A l'inverse, les Hommes se battent sous le coup de la fatigue engendrée et de l'énervement, tant les attentes sont immenses.
A eux deux, ils forment aujourd'hui deux fumées insaisissables se mélangeant l'une à l'autre pour prendre place dans un stade sous forme de deux vices au formes différentes et opposées, jouant à créer des contours ardus, parfois lisses arrondis au point de s'apprécier sans jamais se perdre dans le brouillard. Et oui, bien qu'opposés dans leur histoire, mais aussi dans leur caractère, ils se trouvent des points communs dans les possibilités qu'ils nourrissent, et les moments difficiles qu'ils partagent.
Comme on le sait, avoir le vice en soi, c'est savoir se montrer manipulateur, savoir créer un monde autour de soi, des rivalités pour servir son propre travail, et de ce point de vue, nul doute que bien qu'une certaine rivalité historique anime les deux, elle fut créer de toute pièce par un simple coup de briquet allumant un clope (aujourd'hui interdit dans les lieux publics)... Ainsi Bernard Tapie répète à qui veut l'entendre (les fumeurs): "c'est moi qui a tout allumé"... Mais c'est bien sûr, il fallait y penser...
Avoir le vice, c'est aussi savoir faire ses coups en douce, mais aussi en mettre plein la vue le moment venue, et parfois se retourner comme une crêpe, s'asphyxier tant la fumée que vous inhalez vous monte à la gorge.
De ce point de vue, c'est un peu ce qui est arrivé à Peguy Luyindula... Repu des inhalations de fumée versatile que concentraient l'OM et José Anigo alors entraîneur (puis promu Dirlo Sportif pour services rendus, voire pour incompétence caractérisée), il s'en est allé subrepticement avec sa paillasse tester les vertus de la chicha Parisienne chère à son cœur. Espérons pour lui que ses poumons et son cœur ne lâcheront pas en cours de route...
A lui seul il caractérise, les difficultés rencontrées en s'enivrant de ces fumées, mais aussi des exigences qu'elles procurent. Ceci dit, passer de l'une à l'autre semble devenue monnaie courante dans le milieu, et l'on ne sait plus très bien qui a fumé quoi, et quel Vice presse les (ici se cache le nom d'un "King" sauras-tu le retrouver?)... joueurs.
OM-PSG, ce sont des fumées provenant de charbons ardents que vos pieds cherchent le plus souvent à éviter, sauf si vous êtes fakir ou que ce soit. Actuellement, une fumée noire se dégage du camp des loges, et bien qu'elle soit peu enviable, elle ne présage rien de bon, car comme le disait souvent un ami à moi "Bond, Nauséabond"... Et oui, il est fort à parier que bien que l'odeur ressemble peu à celle de l'ammoniaque encore dans toutes les têtes, elle soit encore assez présente pour venir foutre le flou dans les esprits dimanche soir. Attention donc à l'effet de surprise d'une fumée aux formes détestables qui viendrait mettre en berne les espoirs locaux.
L'OM, c'est une série culte sans fin, qui chaque année, est suivie par un nombre important de fans en folie et récolte son lot de critiques acerbes et généreuses, vacillant au cas par cas, selon la fin des épisodes, tragiques ou comiques. Portée au firmament par les uns, et descendu savamment par les autres, elle ne trouve d'écho que dans ce générique immortel: "Aux Armes" récité en chœur par tout un public, tout un monde, tout un stade.
Le PSG, c'est un éternel recommencement. Né il y a près de trente sept ans de l'idée de quelques personnalités voyant se finir l'ère du Racing, et ne pouvant laisser une aussi grande ombre dans les vestiges d'un club à l'aura perdue. Ainsi, Guy Crescent, et Pierre Etienne Guyot (Vice Président du Racing) s'associent à Pierre Bellemare pour créer un nouveau club qui sera le reflet de sa ville, un club où strass et stress s'entremêlent sans discontinuer, sans se défaire de l'ombre planant dans les têtes.
Le PSG, c'est le club de la capitale, rempli de stress et Payet (spécial dédicace à Menzo), fixant à lui seul tous les a priori de la province, cristallisant en son sein tout ce que les provinciaux détestent. A Paris et plus qu'ailleurs, le stress (et non le strass) c'est la santé, on ne se formalise pas du boulot, bien au contraire, on en accumule et on se ferait bien une cure de repos. A l'inverse, les Hommes se battent sous le coup de la fatigue engendrée et de l'énervement, tant les attentes sont immenses.
A eux deux, ils forment aujourd'hui deux fumées insaisissables se mélangeant l'une à l'autre pour prendre place dans un stade sous forme de deux vices au formes différentes et opposées, jouant à créer des contours ardus, parfois lisses arrondis au point de s'apprécier sans jamais se perdre dans le brouillard. Et oui, bien qu'opposés dans leur histoire, mais aussi dans leur caractère, ils se trouvent des points communs dans les possibilités qu'ils nourrissent, et les moments difficiles qu'ils partagent.
Comme on le sait, avoir le vice en soi, c'est savoir se montrer manipulateur, savoir créer un monde autour de soi, des rivalités pour servir son propre travail, et de ce point de vue, nul doute que bien qu'une certaine rivalité historique anime les deux, elle fut créer de toute pièce par un simple coup de briquet allumant un clope (aujourd'hui interdit dans les lieux publics)... Ainsi Bernard Tapie répète à qui veut l'entendre (les fumeurs): "c'est moi qui a tout allumé"... Mais c'est bien sûr, il fallait y penser...
Avoir le vice, c'est aussi savoir faire ses coups en douce, mais aussi en mettre plein la vue le moment venue, et parfois se retourner comme une crêpe, s'asphyxier tant la fumée que vous inhalez vous monte à la gorge.
De ce point de vue, c'est un peu ce qui est arrivé à Peguy Luyindula... Repu des inhalations de fumée versatile que concentraient l'OM et José Anigo alors entraîneur (puis promu Dirlo Sportif pour services rendus, voire pour incompétence caractérisée), il s'en est allé subrepticement avec sa paillasse tester les vertus de la chicha Parisienne chère à son cœur. Espérons pour lui que ses poumons et son cœur ne lâcheront pas en cours de route...
A lui seul il caractérise, les difficultés rencontrées en s'enivrant de ces fumées, mais aussi des exigences qu'elles procurent. Ceci dit, passer de l'une à l'autre semble devenue monnaie courante dans le milieu, et l'on ne sait plus très bien qui a fumé quoi, et quel Vice presse les (ici se cache le nom d'un "King" sauras-tu le retrouver?)... joueurs.
OM-PSG, ce sont des fumées provenant de charbons ardents que vos pieds cherchent le plus souvent à éviter, sauf si vous êtes fakir ou que ce soit. Actuellement, une fumée noire se dégage du camp des loges, et bien qu'elle soit peu enviable, elle ne présage rien de bon, car comme le disait souvent un ami à moi "Bond, Nauséabond"... Et oui, il est fort à parier que bien que l'odeur ressemble peu à celle de l'ammoniaque encore dans toutes les têtes, elle soit encore assez présente pour venir foutre le flou dans les esprits dimanche soir. Attention donc à l'effet de surprise d'une fumée aux formes détestables qui viendrait mettre en berne les espoirs locaux.