Le Jeudi 22 Novembre 2007 par Le Concombre Masqué
Un des plus grand mystère de l'histoire de l'Humanité, sur lequel les frères Bogdanov planchent comme des dératés, réside dans cet incroyable enchaînement de faits qui amène exceptionnellement en ce mois de novembre une troublante coïncidence : la fin de la trêve internationale correspond à la reprise des compétitions nationales. Il se passe de ces choses, on dirait pas comme ça mais ça nous dépasse d'une force pfff...
La Ligue 1 en étant une (de compét', pas de chose hein... quoique), celle-ci reprend donc ses bons droits avec tout plein de matchs retransmis jusqu'en Ouzbékistan. Rhâââ, ses légendaires amortis du tibias à la pelle, ses non moins réputés centres en tribune présidentielle, ses passes aux caméramen et surtout son suspens haletant qui donne de le désir d'un championnat qu'il est bien de le suivre. Si c'est pas bien vendu ça...
Il y a une chose dont on peut au moins se réjouir, c'est que l'OM continue de gentiment mettre le dawa dans cette monotonie. Moribond il y a peu, l'Olympique s'est donné un peu d'air en effectuant deux bonnes prestations face à Porto et Lyon. Si la première n'a pas été couronnée de succès, la seconde en revanche laisse entrevoir le visage d'un OM fidèle à sa devise et qui ne craint visiblement pas grand chose. Autrement dit, une équipe qui serait tout à fait capable d'enchaîner une série de résultats positifs pour remonter au classement et préparer la seconde partie de la saison dans de meilleures conditions.
Car c'est pas l'trou, mais l'tampax. Dans quatre semaines, c'est dinde au marron et d'ici-là l'OM aura disputé cinq rencontres de championnat (plus deux en LdC) avant les divers séjours des vacances d'hiver. Mais avant que la dernière messe de l'année soit dite, c'est Metz qui pointe le bout de sa lanterne rouge au Vélodrome samedi soir. Donc, autant dire les choses tel caleçon, y'a pas à testiculer dans tous les sens pour comprendre que l'hOMme doit coucher la madeMoselle sans sourciller. Cissé X ou un autre qui plante, Cana autrouducune importance du moment que la victoire soit au goût du bout... Au bout du gnou, euh au goût du jour. On va y arriver...
Bon, si on regarde les stats historiques des OM-Metz, y'a pas à s'affoler outre mesure, ni même Outre-Rhin d'ailleurs. 48 matchs, 35 victoires, 7 nuls, 6 défaites. Les Marseillais ont marqué 119 buts contre 47 encaissés. Globalement, c'est la fête du slibard à Montcuq (Lot, 46). Ce qui est plus intéressant, c'est de voir que depuis 2000, Metz se comporte plutôt pas trop mal au Vél et les confrontations entre ces deux clubs sont assez équilibrées : deux victoires consécutives de l'OM lors des saisons 2000/01 et 2001/02 sur les scores respectifs de 4-1 et 1-0, avant que Metz ne renvoie la balle en 2004. Le 1er mai, fête du travail oblige sans doute, les Marseillais s'inclinent 1-0 pour le compte de la 34ème journée de l'exercice 2003/04... Et récidivent moins de quatre mois plus tard en prenant un 3-1 sec et sans glace dans les gencives lors de la 4ème journée de la saison 2004/05.
Le dernier OM-Metz en championnat remonte au 25 septembre 2005, puisque le club du sympathique Carlo Molinari était en L2 la saison dernière, et a vu la victoire des Phocéens 3-1 avec des buts de Dehu, Ribéry et Niang. D'ailleurs, Franck Ribéry est un ancien de la maison grenat comme un autre ex-Olympien qui a une drôle d'histoire avec l'OM : Robert Pires. Il connait son premier match en L1 face à Lyon en avril 93 et participe à la plus grosse victoire de Metz au Vél' le 24 septembre de la même année. Devant les Barthez, Boli, Desailly, Deschamps et autre Voller, Metz s'impose 3-0 et Pires marque le premier de ses 131 buts en pro (dont 14 en équipe de France). A beulibobol I have in ze bilouque, izeun'tits ?...
Alors voyons voir... On a des vannes pourries pour les bas du plaftard, un peu de fesse pour l'audimat et une vieille anecdote pour les chronologiquement datés. J'crois qu'on a fait le tour de la question. Bref les aminches, soyez-en sûrs : il ne peut plus rien nous arriver d'affreux maintenant... Zut ! L'aspirateur, j'ai oublié de l'éteindre ! Attention lecteur, derrière toi ! Y'a un pingouin ou assimilé qui va te refaire les esgourdes à la feraille de fanfare, c'est affreux....
Quand on vous dit qu'il s'en passe des choses...
La Ligue 1 en étant une (de compét', pas de chose hein... quoique), celle-ci reprend donc ses bons droits avec tout plein de matchs retransmis jusqu'en Ouzbékistan. Rhâââ, ses légendaires amortis du tibias à la pelle, ses non moins réputés centres en tribune présidentielle, ses passes aux caméramen et surtout son suspens haletant qui donne de le désir d'un championnat qu'il est bien de le suivre. Si c'est pas bien vendu ça...
Il y a une chose dont on peut au moins se réjouir, c'est que l'OM continue de gentiment mettre le dawa dans cette monotonie. Moribond il y a peu, l'Olympique s'est donné un peu d'air en effectuant deux bonnes prestations face à Porto et Lyon. Si la première n'a pas été couronnée de succès, la seconde en revanche laisse entrevoir le visage d'un OM fidèle à sa devise et qui ne craint visiblement pas grand chose. Autrement dit, une équipe qui serait tout à fait capable d'enchaîner une série de résultats positifs pour remonter au classement et préparer la seconde partie de la saison dans de meilleures conditions.
Car c'est pas l'trou, mais l'tampax. Dans quatre semaines, c'est dinde au marron et d'ici-là l'OM aura disputé cinq rencontres de championnat (plus deux en LdC) avant les divers séjours des vacances d'hiver. Mais avant que la dernière messe de l'année soit dite, c'est Metz qui pointe le bout de sa lanterne rouge au Vélodrome samedi soir. Donc, autant dire les choses tel caleçon, y'a pas à testiculer dans tous les sens pour comprendre que l'hOMme doit coucher la madeMoselle sans sourciller. Cissé X ou un autre qui plante, Cana autrouducune importance du moment que la victoire soit au goût du bout... Au bout du gnou, euh au goût du jour. On va y arriver...
Bon, si on regarde les stats historiques des OM-Metz, y'a pas à s'affoler outre mesure, ni même Outre-Rhin d'ailleurs. 48 matchs, 35 victoires, 7 nuls, 6 défaites. Les Marseillais ont marqué 119 buts contre 47 encaissés. Globalement, c'est la fête du slibard à Montcuq (Lot, 46). Ce qui est plus intéressant, c'est de voir que depuis 2000, Metz se comporte plutôt pas trop mal au Vél et les confrontations entre ces deux clubs sont assez équilibrées : deux victoires consécutives de l'OM lors des saisons 2000/01 et 2001/02 sur les scores respectifs de 4-1 et 1-0, avant que Metz ne renvoie la balle en 2004. Le 1er mai, fête du travail oblige sans doute, les Marseillais s'inclinent 1-0 pour le compte de la 34ème journée de l'exercice 2003/04... Et récidivent moins de quatre mois plus tard en prenant un 3-1 sec et sans glace dans les gencives lors de la 4ème journée de la saison 2004/05.
Le dernier OM-Metz en championnat remonte au 25 septembre 2005, puisque le club du sympathique Carlo Molinari était en L2 la saison dernière, et a vu la victoire des Phocéens 3-1 avec des buts de Dehu, Ribéry et Niang. D'ailleurs, Franck Ribéry est un ancien de la maison grenat comme un autre ex-Olympien qui a une drôle d'histoire avec l'OM : Robert Pires. Il connait son premier match en L1 face à Lyon en avril 93 et participe à la plus grosse victoire de Metz au Vél' le 24 septembre de la même année. Devant les Barthez, Boli, Desailly, Deschamps et autre Voller, Metz s'impose 3-0 et Pires marque le premier de ses 131 buts en pro (dont 14 en équipe de France). A beulibobol I have in ze bilouque, izeun'tits ?...
Alors voyons voir... On a des vannes pourries pour les bas du plaftard, un peu de fesse pour l'audimat et une vieille anecdote pour les chronologiquement datés. J'crois qu'on a fait le tour de la question. Bref les aminches, soyez-en sûrs : il ne peut plus rien nous arriver d'affreux maintenant... Zut ! L'aspirateur, j'ai oublié de l'éteindre ! Attention lecteur, derrière toi ! Y'a un pingouin ou assimilé qui va te refaire les esgourdes à la feraille de fanfare, c'est affreux....
Quand on vous dit qu'il s'en passe des choses...