Le Vendredi 26 Septembre 2008 par Gandalf
Et dire que ça s'extasiait comme jamais devant les nouveaux all stars version Converse MSN. Le temps passe, passe, et repasse tes chemises que le col devient de plus en plus amidonné et plus difficile à porter. En même temps, qui que ça intéresse de vouloir garder au cou des chemises bariolées ringardes qui sont de moins en moins dans l'air du temps, à part qui sait, à Hawaii. Ceci dit, aussi lourde soit la plume à porter pour les doigts, on n'en est pas à parler de page blanche... Du moins, pour le moment.
Comme je le dis souvent dans ma grotte: "Au pays des aveugles, les borgnes sont sourds"... Et à force de ne plus rien voir par soi-même, on devient imperméable à la critique, sourd quand il est question d'écouter son semblable lui prodiguer des conseils, ou donner un avis peut-être tranché mais loin d'être dénué de sens et de vérité. Actuellement, il serait de bon ton de remettre en question certains choix faits pendant l'été quite à se couvrir d'humilité pour l'hiver à venir, car au train où vont les choses, les esprits risquent de se refroidir bien vite.
Soudainement, aurais-je envie de vous dire, normal de ne pas se rendre compte dans quelle merde on se fourre quand on est borgne. On peut toujours tenter le braille pour espérer les voir se démener mais bon... Peut-être qu'en fin de compte, c'est ce que tentait déjà en précurseur de faire Coach Eric en gribouillant des mots sur son cahier... Mots pour Maux, ou plutôt, textuellement, ça devait donner quelque chose comme "ù*ù$^%%#@:^^fdjziufh" j'en passe et des meilleures "screugneugneu, rontjudjudju, bande d'ectoplasmes moulus".
Quoi de plus normal que de s'épancher dans le verbe péjoratif, agressif et insultant quand on regarde les premiers battements de pieds de Samassa le grand, actuel joueur de football, ou bien était-ce un joueur de water polo qui aurait oublié d'apprendre à nager de manière synchronisée... On aurait presque cru qu'il avait coulé au bout de deux battements d'ongle du pouce de pied. Terriblement isolé, totalement inefficace, incroyablement inutile... Vanish, Disparition action.
Mama-se, mama-sa, Samassa-coo-sa...Mama-se, mama-sa, Samassa-coo-sa....
Mama par ci, Mama par là, Samassa comme ça... Mama par ci, Mama par là, Samassa comme ça...
Remettons quand même les choses dans leur contexte... Comment réussir dans des conditions similaires quand on est propulsé l'espace d'un soir chef de file d'une attaque aux allures de retours de blessés, et de fatigués notoires. Dès le départ, l'action était vouée à l'échec. Il est sûrement loin d'être mauvais mais est encore trop tendre pour espérer devenir titulaire dans les semaines à venir. Se voir parachuter remplaçant d'un joueur comme Cissé, capable de peser sur une défense, et mettre une vingtaine de buts par saison est sûrement en train de peser dans la balance.
Sans parler de Zubar et son quota d'erreurs par match, de M'bami sûrement encore marqué par sa perte de ballon si fatale contre Liverpool, de Valbuena et Ben Arfa encore loin de la forme physique idéale... De Koné, encore loin d'être assez grand pour recevoir les centres millimétrés de nos latéraux... D'un manque flagrant de volonté et d'efficacité...
Dans la situation actuelle, comment espérer réussir la phrase parfaite quand on ne possède pas les mots efficaces, mais tout simplement des maux passants? Il serait temps de réveiller les esprits pour ne pas s'endormir et voir le train passer, sous peine de finir la saison sur les rotules à force de marcher dans le vide. Mots pour maux, mal par le mal, enfin prendre les armes pour ne pas voir couler trop de larmes.
Comme je le dis souvent dans ma grotte: "Au pays des aveugles, les borgnes sont sourds"... Et à force de ne plus rien voir par soi-même, on devient imperméable à la critique, sourd quand il est question d'écouter son semblable lui prodiguer des conseils, ou donner un avis peut-être tranché mais loin d'être dénué de sens et de vérité. Actuellement, il serait de bon ton de remettre en question certains choix faits pendant l'été quite à se couvrir d'humilité pour l'hiver à venir, car au train où vont les choses, les esprits risquent de se refroidir bien vite.
Soudainement, aurais-je envie de vous dire, normal de ne pas se rendre compte dans quelle merde on se fourre quand on est borgne. On peut toujours tenter le braille pour espérer les voir se démener mais bon... Peut-être qu'en fin de compte, c'est ce que tentait déjà en précurseur de faire Coach Eric en gribouillant des mots sur son cahier... Mots pour Maux, ou plutôt, textuellement, ça devait donner quelque chose comme "ù*ù$^%%#@:^^fdjziufh" j'en passe et des meilleures "screugneugneu, rontjudjudju, bande d'ectoplasmes moulus".
Quoi de plus normal que de s'épancher dans le verbe péjoratif, agressif et insultant quand on regarde les premiers battements de pieds de Samassa le grand, actuel joueur de football, ou bien était-ce un joueur de water polo qui aurait oublié d'apprendre à nager de manière synchronisée... On aurait presque cru qu'il avait coulé au bout de deux battements d'ongle du pouce de pied. Terriblement isolé, totalement inefficace, incroyablement inutile... Vanish, Disparition action.
Mama-se, mama-sa, Samassa-coo-sa...Mama-se, mama-sa, Samassa-coo-sa....
Mama par ci, Mama par là, Samassa comme ça... Mama par ci, Mama par là, Samassa comme ça...
Remettons quand même les choses dans leur contexte... Comment réussir dans des conditions similaires quand on est propulsé l'espace d'un soir chef de file d'une attaque aux allures de retours de blessés, et de fatigués notoires. Dès le départ, l'action était vouée à l'échec. Il est sûrement loin d'être mauvais mais est encore trop tendre pour espérer devenir titulaire dans les semaines à venir. Se voir parachuter remplaçant d'un joueur comme Cissé, capable de peser sur une défense, et mettre une vingtaine de buts par saison est sûrement en train de peser dans la balance.
Sans parler de Zubar et son quota d'erreurs par match, de M'bami sûrement encore marqué par sa perte de ballon si fatale contre Liverpool, de Valbuena et Ben Arfa encore loin de la forme physique idéale... De Koné, encore loin d'être assez grand pour recevoir les centres millimétrés de nos latéraux... D'un manque flagrant de volonté et d'efficacité...
Dans la situation actuelle, comment espérer réussir la phrase parfaite quand on ne possède pas les mots efficaces, mais tout simplement des maux passants? Il serait temps de réveiller les esprits pour ne pas s'endormir et voir le train passer, sous peine de finir la saison sur les rotules à force de marcher dans le vide. Mots pour maux, mal par le mal, enfin prendre les armes pour ne pas voir couler trop de larmes.