Le Jeudi 15 Juillet 2010 par Bab Joo
Ouais bon d'accord, j'vous avais promis qu'avant la finale, vous seriez devenu incollables sur le foot et ses mille et une subtilités... et puis... et puis c'est pas d'ma faute, y a eu un traître...
Ou plutôt un certain Paul, poulpe de son état.
Il se trouve que ce zozo, c'est chez moi qu'il a décidé de venir se réfugier quand il a commencé à en avoir ras les tentacules des spotlights et de tous les parieurs compulsifs qui venaient l'importuner à longueur de journée.
Si ça n'avait été que ça, encore, j'aurais pu m'en sortir : j'ai un grand aquarium, des crevettes en abondance, bref tout ce qu'il faut pour rendre un poulpe heureux.
Sauf que ce con s'ennuyait tout seul dans son bocal et qu'il a décidé d'inviter Mani le perroquet.
Au début, tout allait bien : Mani dormait sur son perchoir et Paul dans son aquarium. Là où ça c'est gâté, c'est quand ils ont commencé à s'inviter l'un chez l'autre. Ils se lançaient des défis, des paris tous plus idiots les uns que les autres et fatalement, ça a tourné au vinaigre : ils se sont mis à se battre comme des chiffonniers, ces deux mal-élevés. Dès que j'avais le dos tourné, c'est-à-dire dès que je m'asseyais à mon bureau dans l'espoir d'enrichir votre culture générale de quelque bon mot sur l'impitoyable règle du pénalty, c'était la corrida dans le salon !
Alors qu'est-ce que je pouvais faire, moi, sinon leur coller aux basques pour les empêcher de faire des bêtises, hein ?
Pas ma faute, j'vous dis !
M'enfin, la Coupe du Monde touchant à sa fin et mes deux affreux ne se calmant toujours pas, il m'a fallu prendre des mesures radicales pour avoir la paix : j'ai débité Paul dans une paëlla et fait rôtir Mani à la broche. Je les ai dégustés en pensant très fort à vous.
Il ne me reste qu'à vous donner rendez-vous à la plus prochaîne compétition internationale... qui commence le 3 septembre avec le premier match pour les qualifications de la Coupe d'Europe 2012. Bon appétit.
Ou plutôt un certain Paul, poulpe de son état.
Il se trouve que ce zozo, c'est chez moi qu'il a décidé de venir se réfugier quand il a commencé à en avoir ras les tentacules des spotlights et de tous les parieurs compulsifs qui venaient l'importuner à longueur de journée.
Si ça n'avait été que ça, encore, j'aurais pu m'en sortir : j'ai un grand aquarium, des crevettes en abondance, bref tout ce qu'il faut pour rendre un poulpe heureux.
Sauf que ce con s'ennuyait tout seul dans son bocal et qu'il a décidé d'inviter Mani le perroquet.
Au début, tout allait bien : Mani dormait sur son perchoir et Paul dans son aquarium. Là où ça c'est gâté, c'est quand ils ont commencé à s'inviter l'un chez l'autre. Ils se lançaient des défis, des paris tous plus idiots les uns que les autres et fatalement, ça a tourné au vinaigre : ils se sont mis à se battre comme des chiffonniers, ces deux mal-élevés. Dès que j'avais le dos tourné, c'est-à-dire dès que je m'asseyais à mon bureau dans l'espoir d'enrichir votre culture générale de quelque bon mot sur l'impitoyable règle du pénalty, c'était la corrida dans le salon !
Alors qu'est-ce que je pouvais faire, moi, sinon leur coller aux basques pour les empêcher de faire des bêtises, hein ?
Pas ma faute, j'vous dis !
M'enfin, la Coupe du Monde touchant à sa fin et mes deux affreux ne se calmant toujours pas, il m'a fallu prendre des mesures radicales pour avoir la paix : j'ai débité Paul dans une paëlla et fait rôtir Mani à la broche. Je les ai dégustés en pensant très fort à vous.
Il ne me reste qu'à vous donner rendez-vous à la plus prochaîne compétition internationale... qui commence le 3 septembre avec le premier match pour les qualifications de la Coupe d'Europe 2012. Bon appétit.