Le Dimanche 16 Janvier 2011 par jay-jay
Ah les vacances, les fêtes, les cadeaux, le champagne et tout ce qui va avec, c'est fini (normalement c'était déjà fini le week-end dernier, mais j'ai préféré effacer ça de ma mémoire).
Ce soir, le championnat a donc repris pour nos joueurs dans un match qui tenait lieu de choc de cette 20ème journée de Ligue 1 : OM-Bordeaux. Ça c'est un vrai classique qui n'est pas issu d'une rivalité montée de toutes pièces. Si le côté historique suffisait à donner de l'importance à cette rencontre, d'autres raisons s'y sont ajoutées.
Pour les Bordelais, il s'agit évidemment de ne pas lâcher dans la course aux places européennes. Pour les Marseillais, c'est la course au titre qui est dans tous les esprits. Si on ajoute le fait que toutes les équipes de tête avaient remporté leurs matches la veille, vous comprendrez aisément l'importance de l'opposition entre les deux derniers Champions de France.
Parlons maintenant un peu du match (ah ben quand même, oui je sais). Le début de la rencontre est assez compliqué. Bordeaux possède le ballon mais n'est pas dangereux ; côté Marseillais, ça manque de mouvement. Vers la 7ème minute, premier cafouillage bordelais, il est l'œuvre de Tremoulinas. Petit à petit, l'OM reprend la main, on est quand même au Vélodrome ! Les Marseillais accélèrent donc un peu, tantôt avec Ayew, tantôt avec Gignac. C'est pas le Barça, mais ça enchaîne déjà mieux. Vient alors la 23ème minute et le moment que le Vél' attendait depuis le début de la saison, Gignac marque son premier but boulevard Michelet, un vrai but de renard : laissé seul au deuxième poteau, il est à la réception d'un centre de Taiwo. Marseille 1, Bordeaux 0.
Ce but fait mal, très mal aux Bordelais qui accusent le coup. Tremoulinas commet un attentat sur Valbuena, on attend du rouge (pas le vin hein, le carton), ce sera du jaune. Un jaune orangé d'après les commentateurs (j'ai jamais compris ce concept, mais bon, passons). Le duel Diabaté-Diawara est de son coté impressionnant, l'attaquant bordelais à le physique pour répondre au roc marseillais. Finalement ce qu'on voyait arriver arriva : nouvelle erreur défensive digne de poussins des Girondins, sanction immédiate avec le break signé Brandao. L'OM regagne donc les vestiaires avec un avantage de deux buts satisfaisant.
Le début de la 2ème mi-temps est à nouveau à l'avantage des Bordelais, mais à la 50ème, c'est Brandao qui déborde, sans succès. La réaction bordelaise est timide, ça manque de vitesse dans les enchainements, Plasil tente une sorte de frappe (si on peut appeler ça comme ça), Tremoulinas déborde, c'est bien peu, Marseille est solide. Mieux encore, grâce à un débordement de Lucho, Valbuena est tout près de mettre un troisième but, mais finalement, sa frappe passe à côté. A l'heure de jeu, l'OM reprend peu à peu le ballon et Bordeaux commence un peu à souffrir, mais au bout de quelques minutes, le rythme retombe jusqu'à la 72ème minute, où Diawara commet une faute dans la surface sur Maazou tout juste rentré en jeu : pénalty transformé par Modeste.
La fin du match va donc être crispante, Brandao rate l'immanquable à la 76ème et sort sous la bronca du Vélodrome quelques minutes plus tard. A partir de ce moment, les Marseillais ont du mal à maîtriser la rencontre, ils sont trop passifs. Dans les derniers instants, l'OM est encore dangereux en contre. Le match se finit sur un dernier centre bordelais dans les bras de Mandanda.
C'est terminé, la phase retour de championnat commence bien.
Ce soir, le championnat a donc repris pour nos joueurs dans un match qui tenait lieu de choc de cette 20ème journée de Ligue 1 : OM-Bordeaux. Ça c'est un vrai classique qui n'est pas issu d'une rivalité montée de toutes pièces. Si le côté historique suffisait à donner de l'importance à cette rencontre, d'autres raisons s'y sont ajoutées.
Pour les Bordelais, il s'agit évidemment de ne pas lâcher dans la course aux places européennes. Pour les Marseillais, c'est la course au titre qui est dans tous les esprits. Si on ajoute le fait que toutes les équipes de tête avaient remporté leurs matches la veille, vous comprendrez aisément l'importance de l'opposition entre les deux derniers Champions de France.
Parlons maintenant un peu du match (ah ben quand même, oui je sais). Le début de la rencontre est assez compliqué. Bordeaux possède le ballon mais n'est pas dangereux ; côté Marseillais, ça manque de mouvement. Vers la 7ème minute, premier cafouillage bordelais, il est l'œuvre de Tremoulinas. Petit à petit, l'OM reprend la main, on est quand même au Vélodrome ! Les Marseillais accélèrent donc un peu, tantôt avec Ayew, tantôt avec Gignac. C'est pas le Barça, mais ça enchaîne déjà mieux. Vient alors la 23ème minute et le moment que le Vél' attendait depuis le début de la saison, Gignac marque son premier but boulevard Michelet, un vrai but de renard : laissé seul au deuxième poteau, il est à la réception d'un centre de Taiwo. Marseille 1, Bordeaux 0.
Ce but fait mal, très mal aux Bordelais qui accusent le coup. Tremoulinas commet un attentat sur Valbuena, on attend du rouge (pas le vin hein, le carton), ce sera du jaune. Un jaune orangé d'après les commentateurs (j'ai jamais compris ce concept, mais bon, passons). Le duel Diabaté-Diawara est de son coté impressionnant, l'attaquant bordelais à le physique pour répondre au roc marseillais. Finalement ce qu'on voyait arriver arriva : nouvelle erreur défensive digne de poussins des Girondins, sanction immédiate avec le break signé Brandao. L'OM regagne donc les vestiaires avec un avantage de deux buts satisfaisant.
Le début de la 2ème mi-temps est à nouveau à l'avantage des Bordelais, mais à la 50ème, c'est Brandao qui déborde, sans succès. La réaction bordelaise est timide, ça manque de vitesse dans les enchainements, Plasil tente une sorte de frappe (si on peut appeler ça comme ça), Tremoulinas déborde, c'est bien peu, Marseille est solide. Mieux encore, grâce à un débordement de Lucho, Valbuena est tout près de mettre un troisième but, mais finalement, sa frappe passe à côté. A l'heure de jeu, l'OM reprend peu à peu le ballon et Bordeaux commence un peu à souffrir, mais au bout de quelques minutes, le rythme retombe jusqu'à la 72ème minute, où Diawara commet une faute dans la surface sur Maazou tout juste rentré en jeu : pénalty transformé par Modeste.
La fin du match va donc être crispante, Brandao rate l'immanquable à la 76ème et sort sous la bronca du Vélodrome quelques minutes plus tard. A partir de ce moment, les Marseillais ont du mal à maîtriser la rencontre, ils sont trop passifs. Dans les derniers instants, l'OM est encore dangereux en contre. Le match se finit sur un dernier centre bordelais dans les bras de Mandanda.
C'est terminé, la phase retour de championnat commence bien.