Le Dimanche 11 Septembre 2011 par Bab Joo
Au terme d'une première mi-temps nulle à tous les sens du terme, et d'une seconde en forme de hold-up, les Phocéens ont laissé passer l'occasion de redorer un peu leur blason sévèrement terni par ce début de saison en eau de boudin. Mieux ou pire, ils s'enfoncent davantage dans les bas-fonds de la L1...
Tout avait pourtant bien commencé : dès l'entame de jeu, c'est devenu une habitude, l'OM imprime un gros rythme. On espère que ça va payer : les Olympiens doivent impérativement marquer, et marquer vite, et marquer beaucoup : tuer le match, pour ne pas risquer d'être rattrapés au score.
Manque de bol, ça ne dure pas...
Prétendre résumer cette première mi-temps relève de la gageure tant il ne s'est strictement RIEN passé.
Rien ?
Ah, si : Mathieu Valbuena trouve moyen de se blesser tout seul à la 22ème : bilan : entorse péronéo-tibiale. Des examens complémentaires devraient avoir lieu demain. Pour l'heure, l'Olympien en forme de ce début de saison est incertain pour le match contre l'Olympiakos de mardi. Youpi !
Bien qu'on y croie de moins en moins, on se dit que l'OM ne peut pas ne pas gagner et on espère commencer à faire genre qu'on reprend espoir au retour sur la pelouse. Mais pas d'bol : Costil sort le match de sa vie, comme si c'était absolument nécessaire ! Il paraît que la mode est à noter les joueurs : ben ce sera vite fait : Costil 7/5, les autres... heuuuuuuuuuuuuuuu...
Histoire de rendre les choses encore plus amusantes, Jordan Ayew, décalé à gauche suite à un choix un peu incompréhensible du coach, est remplacé à la 56ème par le pariah André-Pierre Gignac. Un Gignac qui montre d'emblée un visage revanchard et qui, à défaut d'efficacité, fait preuve d'une belle combativité.
ne jetons pas la pierre à son inefficacité : une fois de plus, Costil veille...
C'est donc presque logiquement, quoique contre le cours du jeu, que les Rennais se saisissent de leur presque unique occasion : une totale absence de marquage permet à Kembo de tirer un missile de 25 mètres. OM 0-1 Rennes, 76ème.
Ça, c'est fait...
On pourrait logiquement s'attendre à un sursaut d'orgueil des Olympiens. Que nenni ! Non seulement les Marseillais ne bougent pas, mais ils laissent des espaces aux Bretons qui, sur une frappe de hadji à la 93ème, passent tout près d'humilier leur hôte.
Faut-il vraiment en rajouter ? Rappeler le classement (provisoire) de l'OM au terme de cette rencontre pour le moins dispensable ?
Je ne vous infligerai pas cette torture. Je vais plutôt aller me pendre...
Tout avait pourtant bien commencé : dès l'entame de jeu, c'est devenu une habitude, l'OM imprime un gros rythme. On espère que ça va payer : les Olympiens doivent impérativement marquer, et marquer vite, et marquer beaucoup : tuer le match, pour ne pas risquer d'être rattrapés au score.
Manque de bol, ça ne dure pas...
Prétendre résumer cette première mi-temps relève de la gageure tant il ne s'est strictement RIEN passé.
Rien ?
Ah, si : Mathieu Valbuena trouve moyen de se blesser tout seul à la 22ème : bilan : entorse péronéo-tibiale. Des examens complémentaires devraient avoir lieu demain. Pour l'heure, l'Olympien en forme de ce début de saison est incertain pour le match contre l'Olympiakos de mardi. Youpi !
Bien qu'on y croie de moins en moins, on se dit que l'OM ne peut pas ne pas gagner et on espère commencer à faire genre qu'on reprend espoir au retour sur la pelouse. Mais pas d'bol : Costil sort le match de sa vie, comme si c'était absolument nécessaire ! Il paraît que la mode est à noter les joueurs : ben ce sera vite fait : Costil 7/5, les autres... heuuuuuuuuuuuuuuu...
Histoire de rendre les choses encore plus amusantes, Jordan Ayew, décalé à gauche suite à un choix un peu incompréhensible du coach, est remplacé à la 56ème par le pariah André-Pierre Gignac. Un Gignac qui montre d'emblée un visage revanchard et qui, à défaut d'efficacité, fait preuve d'une belle combativité.
ne jetons pas la pierre à son inefficacité : une fois de plus, Costil veille...
C'est donc presque logiquement, quoique contre le cours du jeu, que les Rennais se saisissent de leur presque unique occasion : une totale absence de marquage permet à Kembo de tirer un missile de 25 mètres. OM 0-1 Rennes, 76ème.
Ça, c'est fait...
On pourrait logiquement s'attendre à un sursaut d'orgueil des Olympiens. Que nenni ! Non seulement les Marseillais ne bougent pas, mais ils laissent des espaces aux Bretons qui, sur une frappe de hadji à la 93ème, passent tout près d'humilier leur hôte.
Faut-il vraiment en rajouter ? Rappeler le classement (provisoire) de l'OM au terme de cette rencontre pour le moins dispensable ?
Je ne vous infligerai pas cette torture. Je vais plutôt aller me pendre...