Le Dimanche 15 Avril 2012 par Ray Flex
Attentat III. Vous avez aimé le premier, vous avez adoré le second. Vous allez kiffer le troisième. Ils reviennent : Mandanda, Brandao, Deschamps... Rien que pour vous et pendant 120 minutes de totale frénésie... pas football. Le côté obscur présente : "Attentat III, le retour"
Dring, dring, putain on sonne à ma porte. Obligé d'appuyer sur pause au magnétoscope. Juste au moment où ça commençait à filer dur, où Lyon se fait décalquer contre le mur. J'ouvre, je sors :
- Qui c'est ?
- C'est nous on monte !
Il me dit habille-toi on dégage dans quelques secondes, direction la frontière pour aller à Saint-Denis dans un vernissage d'art contemporain tous dans le break. On fait donc une entrée remarquée dans le stade, je suis ballonné car je n'ai pas digéré les sandwiches de la soirée d'hier du côté de Perrier. Tout autour de moi le spectacle est dur : France 2, Gravelaine... Mais je vois dans le fond le Virage ! Un coup d'épaule à droite, un coup d'épaule à gauche, Virez-vous mesdames que je m'en mette plein les poches ! 90 minutes de jouées, vous rigolez ?
Et Brandao qui entre en jeu ? Si je ne me trompe, son style c'est du merdicocubicodébilo gribouillage abstrait. Quelque chose m'intrigue à quelques pas de moi, il y a un attroupement autour de je ne sais quoi. Je me rapproche, je jette un oeil :
- Oula, c'est quoi ça ?
- C'est de l'art, mon cher, au cas où vous ne le sauriez pas...
Je ne vois pas où il veut en venir, c'est pas que c'est moche mais... il l'a marqué avec le pied gauche à la 104ème ? Tout le monde me regarde d'un air indigné, quoi qu'est-ce qu'il y a ? C'est pas de ma faute si c'est vrai !
Après avoir éteint, rallumé, éteint, rallumé, éteint, rallumé les néons... on est partis et tous ces yeux plein de bonheur ! De Paris à Lyon, les concentrés de laids voient qu'un jour ou deux ans après... le Commando Fada fait toujours des attentats !
(Reconstitution d'une conversation réelle entièrement pas filmée et basée sur la bonne foi de faux témoignages d'époque, le tout certifié au carbone 14 et approuvé par un arracheur de ratiches. La scène suivante, pour d'évidentes raisons de budget, sera intégralement bruitée à la bouche chez les excellents IAM)
Dring, dring, putain on sonne à ma porte. Obligé d'appuyer sur pause au magnétoscope. Juste au moment où ça commençait à filer dur, où Lyon se fait décalquer contre le mur. J'ouvre, je sors :
- Qui c'est ?
- C'est nous on monte !
Il me dit habille-toi on dégage dans quelques secondes, direction la frontière pour aller à Saint-Denis dans un vernissage d'art contemporain tous dans le break. On fait donc une entrée remarquée dans le stade, je suis ballonné car je n'ai pas digéré les sandwiches de la soirée d'hier du côté de Perrier. Tout autour de moi le spectacle est dur : France 2, Gravelaine... Mais je vois dans le fond le Virage ! Un coup d'épaule à droite, un coup d'épaule à gauche, Virez-vous mesdames que je m'en mette plein les poches ! 90 minutes de jouées, vous rigolez ?
Et Brandao qui entre en jeu ? Si je ne me trompe, son style c'est du merdicocubicodébilo gribouillage abstrait. Quelque chose m'intrigue à quelques pas de moi, il y a un attroupement autour de je ne sais quoi. Je me rapproche, je jette un oeil :
- Oula, c'est quoi ça ?
- C'est de l'art, mon cher, au cas où vous ne le sauriez pas...
Je ne vois pas où il veut en venir, c'est pas que c'est moche mais... il l'a marqué avec le pied gauche à la 104ème ? Tout le monde me regarde d'un air indigné, quoi qu'est-ce qu'il y a ? C'est pas de ma faute si c'est vrai !
Après avoir éteint, rallumé, éteint, rallumé, éteint, rallumé les néons... on est partis et tous ces yeux plein de bonheur ! De Paris à Lyon, les concentrés de laids voient qu'un jour ou deux ans après... le Commando Fada fait toujours des attentats !
(Reconstitution d'une conversation réelle entièrement pas filmée et basée sur la bonne foi de faux témoignages d'époque, le tout certifié au carbone 14 et approuvé par un arracheur de ratiches. La scène suivante, pour d'évidentes raisons de budget, sera intégralement bruitée à la bouche chez les excellents IAM)