Le Dimanche 21 Octobre 2012 par Ray Flex
L'OM a trouvé le moyen de se ramasser dimanche soir sur la pelouse de la plus mauvaise équipe de Ligue 1, perdant ainsi la première place du championnat au détriment du PSG mais surtout, et c'est certainement plus grave, une certaine crédibilité. Une vieille défaite à pas d'sous sur laquelle nous allons revenir en quelques lignes...
En même temps, que dire ? Certes l'OM a dominé la première période mais ne s'est jamais vraiment montré dangereux. Hormis une frappe de Benoit Cheyrou sur coup franc dès la 3ème minute et une frappe bien lourde de Morgan Amalfitano à la 20ème, il n'y a pas de quoi sauter au plafond. Seul fait marquant de ces 45 premières minutes, la sortie de Gignac sur blessure. Remplacé par Loïc Rémy (23ème), l'attaquant phocéen souffrirait d'une fracture au pied qui pourrait le tenir éloigné des terrains deux à trois mois.
0-0 à la pause, bizarrement ça sent moitié le bouillon. La seconde période est déjà plus équilibrée, ce qui est inquiétant face à une équipe composée de bric et de broc par un Jean-Marc Furlan qui compte une liste de joueurs indisponibles épaisse comme l'annuaire des Bouches-du-Rhône. Il effectue d'ailleurs un double changement dès le retour des vestiaires qui va s'avérer payant : Yattara est remplacé par Darbion alors que Bahebeck a cédé sa place à Nivet. Et ce dernier va sceller le sort des Phocéens...
L'OM se sort une première fois de la panade grâce à un coup du sort, une barre transversale qui sauve Mandanda et les siens sur une tête de Nivet (55ème). Mais celui-ci ne va pas se priver de faire trembler les filets marseillais à la 89ème minute en récupérant un corner mal renvoyé par la défense : sa frappe ras de terre ne laisse aucune chance au portier phocéen et envoie Troyes vers sa première victoire de la saison.
Alors oui on peut ergoter sur un pénalty qui aurait pu être accordé aux marseillais en seconde période, mais soyons honnêtes : si on est pas capables de battre une équipe bis de l'ESTAC, on ne va pas se cacher derrière des excuses moisies. Nous parlons bien de la lanterne rouge du championnat qui vient juste de ridiculiser une équipe de l'Olympique de Marseille bien pâle... ou pire, à son juste niveau.
La claque...
En même temps, que dire ? Certes l'OM a dominé la première période mais ne s'est jamais vraiment montré dangereux. Hormis une frappe de Benoit Cheyrou sur coup franc dès la 3ème minute et une frappe bien lourde de Morgan Amalfitano à la 20ème, il n'y a pas de quoi sauter au plafond. Seul fait marquant de ces 45 premières minutes, la sortie de Gignac sur blessure. Remplacé par Loïc Rémy (23ème), l'attaquant phocéen souffrirait d'une fracture au pied qui pourrait le tenir éloigné des terrains deux à trois mois.
0-0 à la pause, bizarrement ça sent moitié le bouillon. La seconde période est déjà plus équilibrée, ce qui est inquiétant face à une équipe composée de bric et de broc par un Jean-Marc Furlan qui compte une liste de joueurs indisponibles épaisse comme l'annuaire des Bouches-du-Rhône. Il effectue d'ailleurs un double changement dès le retour des vestiaires qui va s'avérer payant : Yattara est remplacé par Darbion alors que Bahebeck a cédé sa place à Nivet. Et ce dernier va sceller le sort des Phocéens...
L'OM se sort une première fois de la panade grâce à un coup du sort, une barre transversale qui sauve Mandanda et les siens sur une tête de Nivet (55ème). Mais celui-ci ne va pas se priver de faire trembler les filets marseillais à la 89ème minute en récupérant un corner mal renvoyé par la défense : sa frappe ras de terre ne laisse aucune chance au portier phocéen et envoie Troyes vers sa première victoire de la saison.
Alors oui on peut ergoter sur un pénalty qui aurait pu être accordé aux marseillais en seconde période, mais soyons honnêtes : si on est pas capables de battre une équipe bis de l'ESTAC, on ne va pas se cacher derrière des excuses moisies. Nous parlons bien de la lanterne rouge du championnat qui vient juste de ridiculiser une équipe de l'Olympique de Marseille bien pâle... ou pire, à son juste niveau.
La claque...