Le Mercredi 30 Janvier 2013 par Ray Flex
Décidément, il est écrit que les confrontations entre Rouen et l'OM en Coupe de France seront définitivement des matchs à part... et surtout l'occasion pour les arbitres de nous démontrer qu'à ce stade c'est plus des lunettes qu'il leur faut, mais des labradors. M'enfin le vent a tourné en notre faveur, et quand bien même cela nous peine pour cette valeureuse équipe de Rouen, doit-on réellement s'en plaindre ?
Le début de la rencontre commence dans une certaine tension sur la pelouse de Robert-Diochon, pour preuve ce jaune sans glace pris par Joey Barton dès la 11ème minute. Sur le coup-franc qui en découle, la défense marseillaise panique mais Steve Mandanda est tout heureux de voir la frappe de Rémy Dugimont finir sa course dans son petit filet (12ème). L'OM repart alors dans le sens de la marche, et s'offre une première occasion sur corner. Malheureusement, ni Rod Fanni ni Modou Sougou ne peuvent ouvrir le score (21ème).
Vient alors le moment où on se dit que c'est un soir où rien ne va rentrer : Mathieu Valbuena se charge de fort belle manière d'un coup-franc mais trouve la barre transversale de Théo Defourny, le jeune gardien prêté par Lyon à Rouen (23ème). Ce dernier sera d'ailleurs à son avantage, sur un nouveau coup-franc de Valbuena, en réalisant une claquette sur sa ligne alors qu'un rebond a bien failli le surprendre (25ème). L'OM continue pied au plancher et c'est au tour de Jordan Ayew d'affoler la défense rouennaise, mais la tête de l'attaquant ghanéen tape... une nouvelle fois la barre transversale (28ème) !
On s'achemine donc vers ce score de parité à la pause quand Mathieu Valbuena, encore lui et toujours dans les bons coups, frappe sèchement depuis le côté gauche sur lequel il évolue ce soir. Théo Defourny commet une faute de main fatale à l'équipe normande, et l'OM va donc rentrer aux vestiaires en menant 1-0 (42ème).
De retour sur la pelouse, les Rouennais décident de tout donner pour revenir au tableau d'affichage et sont à deux doigts (ou un tacle au choix) d'y parvenir : Rod Fanni réalise une intervention très propre dans la surface de réparation alors que Zahir Zerdab s'était ouvert le chemin du but (47ème). Après que Morgan Amalfitano ait rejoint Barton au comptoir des jaunes (50ème), arrive donc ce qu'il va être convenu d'appeler le "tournant du match"...
Modou Sougou, dont c'est la première apparition et titularisation ce soir avec l'OM, tente une sorte de centre-frappe sorti tout droit de la quatrième dimension sur lequel Théo Defourny se troue et voit le ballon retomber sur sa ligne. Irréprochable au tour précédent contre Ajaccio, autre pensionnaire de Ligue 1, le gardien de Rouen n'y est clairement pas ce soir... et l'arbitre assistant va en plus lui jouer un bien vilain tour en validant le but (0-2, 59ème) ! Coupe jusqu'à la lie pour Defourny qui se fait en plus avertir pour avoir protesté. Quant à Sougou, premier match et premier but sans marquer. Dans le genre inédit, pas sûr qu'on ait vu ça très souvent quand même...
Mais l'OM, contrairement à ce que d'aucun peut penser, est un club très fair-play. Croyez-moi. J'en veux pour preuve un corner pour Rouen quelques minutes plus tard qui va, sans surprise, faire exploser le stade Robert-Diochon : Julien Jahier reprend de la tête et oblige Mandanda à une grosse parade, mais comme d'habitude la défense ne suit pas et Rémy Dugimont trompe le portier phocéen (1-2, 67ème). Donner un but à l'adversaire pour compenser la boulette arbitrale, si c'est pas du fair-play ça...
Le FC Rouen va alors s'arracher pour inverser la tendance et tenter de s'offrir une prolongation face aux Marseillais, mais Mandanda est impérial sur une nouvelle tête de Julien Jahier bien servi par Anthony Soubervie (76ème). Najib Ammari, issu du centre de formation de l'OM et prêté cette saison à Rouen, va lui aussi tenter sa chance sur une frappe en dehors de la surface mais là encore Steve Mandanda fait rempart en se couchant bien sur le ballon (86ème). L'OM aurait pu enfoncer le clou dans les derniers instants mais André Ayew, bien servi par André-Pierre Gignac, rate la cible à bout portant (87ème).
Le score ne bougera plus, et l'Olympique de Marseille se qualifie donc pour un huitième de finale qui s'annonce explosif... au Parc des Princes, vraisemblablement le mercredi 27 février. Soit trois jours après le "Classico" en championnat qui opposera les deux équipes là encore au Parc. Réservez des pacemakers pour le mois prochain, cardiaques et âmes sensibles s'abstenir !
Le début de la rencontre commence dans une certaine tension sur la pelouse de Robert-Diochon, pour preuve ce jaune sans glace pris par Joey Barton dès la 11ème minute. Sur le coup-franc qui en découle, la défense marseillaise panique mais Steve Mandanda est tout heureux de voir la frappe de Rémy Dugimont finir sa course dans son petit filet (12ème). L'OM repart alors dans le sens de la marche, et s'offre une première occasion sur corner. Malheureusement, ni Rod Fanni ni Modou Sougou ne peuvent ouvrir le score (21ème).
Vient alors le moment où on se dit que c'est un soir où rien ne va rentrer : Mathieu Valbuena se charge de fort belle manière d'un coup-franc mais trouve la barre transversale de Théo Defourny, le jeune gardien prêté par Lyon à Rouen (23ème). Ce dernier sera d'ailleurs à son avantage, sur un nouveau coup-franc de Valbuena, en réalisant une claquette sur sa ligne alors qu'un rebond a bien failli le surprendre (25ème). L'OM continue pied au plancher et c'est au tour de Jordan Ayew d'affoler la défense rouennaise, mais la tête de l'attaquant ghanéen tape... une nouvelle fois la barre transversale (28ème) !
On s'achemine donc vers ce score de parité à la pause quand Mathieu Valbuena, encore lui et toujours dans les bons coups, frappe sèchement depuis le côté gauche sur lequel il évolue ce soir. Théo Defourny commet une faute de main fatale à l'équipe normande, et l'OM va donc rentrer aux vestiaires en menant 1-0 (42ème).
De retour sur la pelouse, les Rouennais décident de tout donner pour revenir au tableau d'affichage et sont à deux doigts (ou un tacle au choix) d'y parvenir : Rod Fanni réalise une intervention très propre dans la surface de réparation alors que Zahir Zerdab s'était ouvert le chemin du but (47ème). Après que Morgan Amalfitano ait rejoint Barton au comptoir des jaunes (50ème), arrive donc ce qu'il va être convenu d'appeler le "tournant du match"...
Modou Sougou, dont c'est la première apparition et titularisation ce soir avec l'OM, tente une sorte de centre-frappe sorti tout droit de la quatrième dimension sur lequel Théo Defourny se troue et voit le ballon retomber sur sa ligne. Irréprochable au tour précédent contre Ajaccio, autre pensionnaire de Ligue 1, le gardien de Rouen n'y est clairement pas ce soir... et l'arbitre assistant va en plus lui jouer un bien vilain tour en validant le but (0-2, 59ème) ! Coupe jusqu'à la lie pour Defourny qui se fait en plus avertir pour avoir protesté. Quant à Sougou, premier match et premier but sans marquer. Dans le genre inédit, pas sûr qu'on ait vu ça très souvent quand même...
Mais l'OM, contrairement à ce que d'aucun peut penser, est un club très fair-play. Croyez-moi. J'en veux pour preuve un corner pour Rouen quelques minutes plus tard qui va, sans surprise, faire exploser le stade Robert-Diochon : Julien Jahier reprend de la tête et oblige Mandanda à une grosse parade, mais comme d'habitude la défense ne suit pas et Rémy Dugimont trompe le portier phocéen (1-2, 67ème). Donner un but à l'adversaire pour compenser la boulette arbitrale, si c'est pas du fair-play ça...
Le FC Rouen va alors s'arracher pour inverser la tendance et tenter de s'offrir une prolongation face aux Marseillais, mais Mandanda est impérial sur une nouvelle tête de Julien Jahier bien servi par Anthony Soubervie (76ème). Najib Ammari, issu du centre de formation de l'OM et prêté cette saison à Rouen, va lui aussi tenter sa chance sur une frappe en dehors de la surface mais là encore Steve Mandanda fait rempart en se couchant bien sur le ballon (86ème). L'OM aurait pu enfoncer le clou dans les derniers instants mais André Ayew, bien servi par André-Pierre Gignac, rate la cible à bout portant (87ème).
Le score ne bougera plus, et l'Olympique de Marseille se qualifie donc pour un huitième de finale qui s'annonce explosif... au Parc des Princes, vraisemblablement le mercredi 27 février. Soit trois jours après le "Classico" en championnat qui opposera les deux équipes là encore au Parc. Réservez des pacemakers pour le mois prochain, cardiaques et âmes sensibles s'abstenir !