Le Mercredi 27 Février 2013 par Ray Flex
72 heures après la 26ème journée de Ligue 1, l'OM retrouve le Parc dans une toute autre compétition. La Coupe de France, la plus belle. Celle que l'OM a déjà remporté dix fois, mais dont la place dans la vitrine aux trophées reste désespérément vide depuis 1989. Une éternité. Ce soir, pas question de "pipolisation", pas question avant d'entrer sur la pelouse de demander à son "collègue" parisien des nouvelles du petit dernier ou de le complimenter sur sa nouvelle véranda. Dès la sortie des vestiaires, il va juste bien falloir leur faire comprendre qu'on va leur marcher dessus. Ni plus, ni moins.
C'est en guerrier qu'il va falloir entrer sur cette pelouse, sans rien lâcher ! Nicolas Nkoulou, dont je passerais sous silence une certaine déclaration sibylline concernant son éventuel avenir, a bien résumé ce qu'on a vécu dimanche : "On a eu une mauvaise entame de match, on les a regardé jouer !"
Les gars, réveillez-vous : la pléiade de stars en face a deux bras, deux jambes et la même tronche que nous tous sur le trône le matin après le café. C'est pendant 90 minutes, au moins, qu'il va falloir leur rentrer dedans. Et en beauté, qui plus est...
Non, ce PSG ne fait pas peur. On l'a (encore) vu dimanche : au Parc on n'est pas loin de ne pas revenir bredouilles. C'est ce "pas loin" qu'il faut corriger ce soir, ne serait-ce que pour faire honneur aux 300 Fadas qui seront à vos côtés dans l'enceinte parisienne, ne serait-ce que pour faire honneur aux centaines de milliers de supporters qui ce matin ont endossé la tenue phocéenne contre vents et marées. Celle-là même que vous aurez sur les épaules au coup d'envoi, celle-là même que vous vous devez de respecter.
Car il y va de l'honneur de l'Olympique de Marseille. "On" pourrait vous trouver des circonstances atténuantes, si jamais le club de la capitale joue une nouvelle fois à 14 contre 11, mais on aurait quand même bien du mal à digérer une nouvelle défaite face au Pseug. Parce que vous nous avez démontré que vous êtes capables de les taper sans vergogne, parce que vous représentez bien plus qu'une tunique et un club : vous représentez LE club, avec un "L" majuscule comme le dirait si bien Pape Diouf. Et c'est pas rien ça.
Ce soir, l'Olympique de Marseille doit écrire une nouvelle page de son histoire. Une belle page, une qui ferait se pendre tous ces médias acquis à la cause qatarienne, une qui rappellerait à l'Europe du football ô combien... nous sommes fiers d'être Marseillais !
C'est en guerrier qu'il va falloir entrer sur cette pelouse, sans rien lâcher ! Nicolas Nkoulou, dont je passerais sous silence une certaine déclaration sibylline concernant son éventuel avenir, a bien résumé ce qu'on a vécu dimanche : "On a eu une mauvaise entame de match, on les a regardé jouer !"
Les gars, réveillez-vous : la pléiade de stars en face a deux bras, deux jambes et la même tronche que nous tous sur le trône le matin après le café. C'est pendant 90 minutes, au moins, qu'il va falloir leur rentrer dedans. Et en beauté, qui plus est...
Non, ce PSG ne fait pas peur. On l'a (encore) vu dimanche : au Parc on n'est pas loin de ne pas revenir bredouilles. C'est ce "pas loin" qu'il faut corriger ce soir, ne serait-ce que pour faire honneur aux 300 Fadas qui seront à vos côtés dans l'enceinte parisienne, ne serait-ce que pour faire honneur aux centaines de milliers de supporters qui ce matin ont endossé la tenue phocéenne contre vents et marées. Celle-là même que vous aurez sur les épaules au coup d'envoi, celle-là même que vous vous devez de respecter.
Car il y va de l'honneur de l'Olympique de Marseille. "On" pourrait vous trouver des circonstances atténuantes, si jamais le club de la capitale joue une nouvelle fois à 14 contre 11, mais on aurait quand même bien du mal à digérer une nouvelle défaite face au Pseug. Parce que vous nous avez démontré que vous êtes capables de les taper sans vergogne, parce que vous représentez bien plus qu'une tunique et un club : vous représentez LE club, avec un "L" majuscule comme le dirait si bien Pape Diouf. Et c'est pas rien ça.
Ce soir, l'Olympique de Marseille doit écrire une nouvelle page de son histoire. Une belle page, une qui ferait se pendre tous ces médias acquis à la cause qatarienne, une qui rappellerait à l'Europe du football ô combien... nous sommes fiers d'être Marseillais !