Le Lundi 11 Mars 2013 par Bab Joo
Pour conclure en beauté la 28ème journée de L1, on annonce du lourd : le choc des sumos, rien moins que le match de l'année, celui qui est censé tout à la fois faire trembler le PSG et démotiver ceux qui courent derrière : proclamer dès à présent que le podium est intouchable. Et au passage, offrir un spectacle de furia entre deux équipes qui nous ont habitués à des rencontres riches en buts.
De toutes façons, le problème est simple : aucun des deux Olympiques ne peut se permettre de perdre : le receveur, parce qu'il n'a pas le droit de laisser le PSG le décrocher dans la course au titre, le visiteur parce qu'il a une armée de kakous qui lui colle aux basques et qu'il doit impérativement conforter sa place sur le podium. Donc, ça va être du sport !
L'entame est directe. Pas de temps à perdre en préliminaires entre deux adversaires qui se connaissent si bien. d'entrée, l'OM grille la politesse aux Lyonnais et s'empare du ballon. Titulaire pour la première fois, Pape Modou Sougou, virevoltant, affole bien les défenses lyonnaises.
Le pressing, cependant, est un peu trop lâche, les lignes trop distendues, et les longs ballons qui ne trouvent pas preneur, malgré de réelles velléités offensives de la part des Marseillais, ne servent pas à grand chose.
Ca va vite d'un but à l'autre, mais aucun des deux Olympiques ne parvient à réellement inquiéter l'autre : malgré quelques jolis gestes et deux ou trois occasions qui auraient mérité plus d'application dans le dernier geste, on ne compte, à l'issue de la première mi-temps, qu'un unique tir cadré, en faveur de l'OM.
C'est donc sur un score vierge somme toutes logique que les deux équipes prennent une petite pause.
L'équilibre des forces s'inverse en seconde période. Cette fois, c'est le FC Lyon qui se montre (légèrement) plus offensif que le club phocéen.
Le match se poursuit selon une physionomie assez voisine des 45 premières minutes : assez peu d'actions franches, quelques banderilles de part et d'autre, et une stérilité affligeante devant le but : au total, seulement 9 tirs pour l'OM et 7 pour Lyon.
Tandis que Jordan s'apprête à entrer sur la pelouse, on se prend à espérer qu'il parviendra à pallier la défaillance d'un Gignac consciencieux mais pas très en verve depuis son retour de blessure. Làs, c'est un Sougou irréprochable qui sort, remplacé poste pour poste par Jordan à la 74ème.
L'impuissance rend les joueurs nerveux, les fautes se multiplient : viriles, et de moins en moins correctes. Il est temps que le chrono tourne. On finirait par se satisfaire du point du nul, si ça peut éviter d'avoir la moitié de l'équipe suspendue au prochain match.
S'en satisfaire ? Voire... au final, le grand gagnant de cette journée, c'est le PSG qui se détache peu à peu, à quatre unités devant Lyon et sept devant l'OM, qui ne devance Nice et Saint-Etienne que de deux petits points.
Inutile de dire que les matches à venir seront tous décisifs.
De toutes façons, le problème est simple : aucun des deux Olympiques ne peut se permettre de perdre : le receveur, parce qu'il n'a pas le droit de laisser le PSG le décrocher dans la course au titre, le visiteur parce qu'il a une armée de kakous qui lui colle aux basques et qu'il doit impérativement conforter sa place sur le podium. Donc, ça va être du sport !
L'entame est directe. Pas de temps à perdre en préliminaires entre deux adversaires qui se connaissent si bien. d'entrée, l'OM grille la politesse aux Lyonnais et s'empare du ballon. Titulaire pour la première fois, Pape Modou Sougou, virevoltant, affole bien les défenses lyonnaises.
Le pressing, cependant, est un peu trop lâche, les lignes trop distendues, et les longs ballons qui ne trouvent pas preneur, malgré de réelles velléités offensives de la part des Marseillais, ne servent pas à grand chose.
Ca va vite d'un but à l'autre, mais aucun des deux Olympiques ne parvient à réellement inquiéter l'autre : malgré quelques jolis gestes et deux ou trois occasions qui auraient mérité plus d'application dans le dernier geste, on ne compte, à l'issue de la première mi-temps, qu'un unique tir cadré, en faveur de l'OM.
C'est donc sur un score vierge somme toutes logique que les deux équipes prennent une petite pause.
L'équilibre des forces s'inverse en seconde période. Cette fois, c'est le FC Lyon qui se montre (légèrement) plus offensif que le club phocéen.
Le match se poursuit selon une physionomie assez voisine des 45 premières minutes : assez peu d'actions franches, quelques banderilles de part et d'autre, et une stérilité affligeante devant le but : au total, seulement 9 tirs pour l'OM et 7 pour Lyon.
Tandis que Jordan s'apprête à entrer sur la pelouse, on se prend à espérer qu'il parviendra à pallier la défaillance d'un Gignac consciencieux mais pas très en verve depuis son retour de blessure. Làs, c'est un Sougou irréprochable qui sort, remplacé poste pour poste par Jordan à la 74ème.
L'impuissance rend les joueurs nerveux, les fautes se multiplient : viriles, et de moins en moins correctes. Il est temps que le chrono tourne. On finirait par se satisfaire du point du nul, si ça peut éviter d'avoir la moitié de l'équipe suspendue au prochain match.
S'en satisfaire ? Voire... au final, le grand gagnant de cette journée, c'est le PSG qui se détache peu à peu, à quatre unités devant Lyon et sept devant l'OM, qui ne devance Nice et Saint-Etienne que de deux petits points.
Inutile de dire que les matches à venir seront tous décisifs.