Le Samedi 16 Août 2014 par Bab Joo
Nous y voilà ! La reprise, au Vel' ! Un Stade Vélodrome d'ailleurs inachevé - ça surprend quelqu'un ? - qui affichera aussi complet que possible dans la configuration imprévue imposée par le laisser-aller d'Arema. En dépit de cette désillusion, l'impatience grandit dans les rangs des supporters, qui entendent bien inaugurer ce "nouveau" Vel' avec la ferveur qui se doit.
Après l'épisode rocambolesque du loyer qui a failli contraindre le club à s'expatrier à la Mosson pour cette deuxième journée de L1, les choses sont donc plus ou moins rentrées dans l'ordre et c'est bien à domicile que l'OM recevra Montpellier.
On passera rapidement sur l'absurdité qui a germé dans le cerveau d'on ne sait qui en guise de "cadeau de bienvenue" : voir ici
Une inauguration, aussi, pour Marcelo Bielsa. Ce sera en effet la première du coach argentin dans "son" stade, avec un groupe fortement remanié : tandis que le syndicaliste de service a rejoint les lofteurs, alors que Lucas Mendes a quitté le club, et dans l'attente du recrutement d'un ou deux défenseurs supplémentaires, El Fada a choisi de donner leur chance aux jeunes Abergel, Aloé et Sparagna à l'arrière. Avec la professionnalisation de Momar Bangoura, les retours d'Alaixys Romao et de Mario Lemina ainsi que l'arrivée d'Abdelaziz Barrada, le milieu de terrain sera au complet, tout comme le front de l'attaque, étoffée de Jérémie Porsan-Clemente.
Si Marcelo Bielsa fait avec les moyens du bord, on peut toutefois supposer, vu son haut degré d'exigence, que chacun des garçons alignés dimanche auront à coeur de faire honneur au maillot qu'ils portent.
De toutes façons, terminé, le temps où l'OM ramait à domicile : puisqu'on entre dans une nouvelle ère, il FAUT l'inaugurer avec une victoire ; enchaîner les bons résultats à domicile, c'est le B.A-BA du foot et il est peu probable que les supporters se montrent très patients après l'année de purge qu'il leur a été donnée de subir.
Puis avec la réception de Montpellier, c'est un derby du Sud : et l'OM DOIT remporter ses derbies.
C'est à ce prix, et seulement à ce prix, que l'OM peut espérer retrouver l'Europe, d'une part, et surtout la légitimité lui permettant de revendiquer la place qu'il n'aurait jamais dû quitter sur la L1 : la première.
Après l'épisode rocambolesque du loyer qui a failli contraindre le club à s'expatrier à la Mosson pour cette deuxième journée de L1, les choses sont donc plus ou moins rentrées dans l'ordre et c'est bien à domicile que l'OM recevra Montpellier.
On passera rapidement sur l'absurdité qui a germé dans le cerveau d'on ne sait qui en guise de "cadeau de bienvenue" : voir ici
Une inauguration, aussi, pour Marcelo Bielsa. Ce sera en effet la première du coach argentin dans "son" stade, avec un groupe fortement remanié : tandis que le syndicaliste de service a rejoint les lofteurs, alors que Lucas Mendes a quitté le club, et dans l'attente du recrutement d'un ou deux défenseurs supplémentaires, El Fada a choisi de donner leur chance aux jeunes Abergel, Aloé et Sparagna à l'arrière. Avec la professionnalisation de Momar Bangoura, les retours d'Alaixys Romao et de Mario Lemina ainsi que l'arrivée d'Abdelaziz Barrada, le milieu de terrain sera au complet, tout comme le front de l'attaque, étoffée de Jérémie Porsan-Clemente.
Si Marcelo Bielsa fait avec les moyens du bord, on peut toutefois supposer, vu son haut degré d'exigence, que chacun des garçons alignés dimanche auront à coeur de faire honneur au maillot qu'ils portent.
De toutes façons, terminé, le temps où l'OM ramait à domicile : puisqu'on entre dans une nouvelle ère, il FAUT l'inaugurer avec une victoire ; enchaîner les bons résultats à domicile, c'est le B.A-BA du foot et il est peu probable que les supporters se montrent très patients après l'année de purge qu'il leur a été donnée de subir.
Puis avec la réception de Montpellier, c'est un derby du Sud : et l'OM DOIT remporter ses derbies.
C'est à ce prix, et seulement à ce prix, que l'OM peut espérer retrouver l'Europe, d'une part, et surtout la légitimité lui permettant de revendiquer la place qu'il n'aurait jamais dû quitter sur la L1 : la première.