Le Dimanche 14 Décembre 2014 par Bab Joo
Ce soir, l'OM avait l'occasion de reprendre trois points sur la glu qui lui colle au train et de s'assurer du même coup dès à présent le titre, certes purement honorifique mais ô combien important psychologiquement, de Champion d'automne, avant la réception difficile de Lillois en pleine remontée le week-end prochain.
Mais l'OM a raté le coche. Malgré une bonne première mi-temps, les Phocéens, moins percutants que d'habitude, n'ont pas réussi à trouver le chemin des filets de Subasic. Et ils ont payé une deuxième mi-temps clairement pas à l'image qu'on attendait d'eux ni à laquelle ils nous avaient habitués. Trois points bêtement perdus dont on espère (quand-même) qu'ils ne pèseront pas (trop) à la 38ème journée !
Dès le coup d'envoi, les hOMmes du coach à la glacière impriment leur rythme habituel : très vite, très haut, très fort ! ils se créent logiquement la première occasion du match, peu avant la 10ème minute.
Ils ont cependant face à eux des garçons dont le style imprimé par Jardim étouffe le milieu de terrain et joue bien le contre ; les Monégasques manquent le cadre de justesse (12ème).
Durant le premier quart d'heure, les débats sont assez équilibrés, mais l'OM prend peu à peu le meilleur sur son adversaire et parvient à imposer son pressing, mettant plusieurs fois les hôtes du Rocher en difficultés.
On sent cependant un manque de percussion de la part du trio d'attaque, qui se traduit par une absence de résultat.
A la pause, les deux équipes rentrent au vestiaire dos à dos. Les Provençaux auraient pu se mettre à l'abri avec un, voire deux buts d'avance, mais il a manqué ce petit quelque chose, cette grinta à laquelle ils nous avaient accoutumés.
De retour sur la pelouse, les choses vont de mal en pis. C'est un OM méconnaissable qui se présente en tongs, incapable d'aller au bout de son effort même s'il y a de l'idée, c'est indéniable.
Dans leur coin, les Monégasques attendent leur heure, et ne tardent pas à l'obtenir, peu après l'heure de jeu, justement.
Une bonne combinaison laisse les Marseillais sur place. Mandanda se positionne bien, mais le ballon lui file entre les gants.
ASM 1-0 OM (67ème)
On s'attend logiquement à une réaction olympienne : Marcelo Bielsa tente même un coaching inédit en faisant sortir Ayew (plutôt que Thauvin ou Payet, moins en jambes) au profit de Batshuayi. Mais les Marseillais semblent éteints, pas dans leur match. Comme si l'enjeu, pourtant modeste, les avait paralysés. Leurs tentatives sont trop timides pour véritablement inquiéter des Monégasques bien regroupés et pour qui les trois points seraient la bonne opération du jour. Une entrée en hibernation précoce - hey les gars, la trêve, c'est la semaine prochaîne ! - que l'entrée en jeu remarquée du très jeune Boutobba en lieu et place de Mario Lemina n'aura pas suffi à secouer.
On peut en avoir, des regrets !
Mais l'OM a raté le coche. Malgré une bonne première mi-temps, les Phocéens, moins percutants que d'habitude, n'ont pas réussi à trouver le chemin des filets de Subasic. Et ils ont payé une deuxième mi-temps clairement pas à l'image qu'on attendait d'eux ni à laquelle ils nous avaient habitués. Trois points bêtement perdus dont on espère (quand-même) qu'ils ne pèseront pas (trop) à la 38ème journée !
Dès le coup d'envoi, les hOMmes du coach à la glacière impriment leur rythme habituel : très vite, très haut, très fort ! ils se créent logiquement la première occasion du match, peu avant la 10ème minute.
Ils ont cependant face à eux des garçons dont le style imprimé par Jardim étouffe le milieu de terrain et joue bien le contre ; les Monégasques manquent le cadre de justesse (12ème).
Durant le premier quart d'heure, les débats sont assez équilibrés, mais l'OM prend peu à peu le meilleur sur son adversaire et parvient à imposer son pressing, mettant plusieurs fois les hôtes du Rocher en difficultés.
On sent cependant un manque de percussion de la part du trio d'attaque, qui se traduit par une absence de résultat.
A la pause, les deux équipes rentrent au vestiaire dos à dos. Les Provençaux auraient pu se mettre à l'abri avec un, voire deux buts d'avance, mais il a manqué ce petit quelque chose, cette grinta à laquelle ils nous avaient accoutumés.
De retour sur la pelouse, les choses vont de mal en pis. C'est un OM méconnaissable qui se présente en tongs, incapable d'aller au bout de son effort même s'il y a de l'idée, c'est indéniable.
Dans leur coin, les Monégasques attendent leur heure, et ne tardent pas à l'obtenir, peu après l'heure de jeu, justement.
Une bonne combinaison laisse les Marseillais sur place. Mandanda se positionne bien, mais le ballon lui file entre les gants.
ASM 1-0 OM (67ème)
On s'attend logiquement à une réaction olympienne : Marcelo Bielsa tente même un coaching inédit en faisant sortir Ayew (plutôt que Thauvin ou Payet, moins en jambes) au profit de Batshuayi. Mais les Marseillais semblent éteints, pas dans leur match. Comme si l'enjeu, pourtant modeste, les avait paralysés. Leurs tentatives sont trop timides pour véritablement inquiéter des Monégasques bien regroupés et pour qui les trois points seraient la bonne opération du jour. Une entrée en hibernation précoce - hey les gars, la trêve, c'est la semaine prochaîne ! - que l'entrée en jeu remarquée du très jeune Boutobba en lieu et place de Mario Lemina n'aura pas suffi à secouer.
On peut en avoir, des regrets !