Le Vendredi 28 Août 2015 par Bab Joo
Et merde ! Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Heureusement que Mandanda fait son match, parce qu'on en encaissait quatre ou cinq, tout pareil ! Ridicules ! Pitoyables ! Lamentables ! Trois points sur douze, une défaite 2-0 face à la lanterne rouge qui n'avait pas inscrit un seul but depuis la reprise... et c'est avec CA qu'on est censés tout péter en Europa League ? Si j'étais une geek format kikoolol, j'me laisserais aller à ce seul commentaire, d'ailleurs, j'te l'offre, c'est cadeau : lol !
Bref, l'OM donne le coup d'envoi et laisse l'EAG s'emparer du ballon. Jimmy Briand réussit une percée et Lass' le fauche à l'entrée de la surface. Biscotte, justifiée sans doute, + peno. Injustifié puisque la faute a eu lieu avant l'entrée dans la surface. On joue depuis moins d'une minute.
Mais Mandanda se couche bien sur la trajectoire du tir de Privat !
OK, El Fenomeno est chaud bouillant d'entrée. Le reste des Olympiens, en revanche, sans doute échaudés par cette alerte précoce, n'osent plus trop monter sur le porteur du ballon. C'est-à-dire que fidèles à leur habitude, ils monopolisent le cuir - au point de dépasser les 75 % de possession pendant quelques minutes au quart d'heure de jeu, sans doute du jamais vu - mais de façon stérile : c'est les défenseurs qui jouent à la passe à dix, le ballon ne dépasse pas le milieu de terrain et lorsque les bretons parviennent à s'emparer de la balle, dégun ose attaquer le porteur trop fort.
Résultat, les provençaux laissent des espaces béants en contre et ne s'approchent guère des cages de Lössl, qui n'a pas trop à s'inquiéter en première période.
La deuxième mi-temps n'offre pas un meilleur visage. Les Olympiens poussent davantage, mais se montrent terriblement maladroits dans le dernier, voire l'avant-dernier geste.
Rien qui puisse véritablement inquiéter les hommes de Gourvennec malgré un pressing plus haut et davantage d'occasions.
Les bretons, en revanche, tentent crânement leur chance à chaque fois que l'occasion - trop nombreuses, les occasions - leur est laissée.
Et ce qui devait arriver arriva : Briand parvient à résister à Manquillo et entre dans la surface presque tranquillement, pour transmettre à Privat, lequel trompe Mandanda qui peut beaucoup, mais quand-même pas tout !
EAG 1-0 OM (72ème)
Menés au score, les olympiens insistent dans leur pressing mais ne parviennent toujours pas à trouver le chemin des filets d'un Lössl en transe, tout en se montrant peu inspirés sur les contres face à un bloc guingampais en place et surtout,en pleine confiance après l'ouverture du score.
Mieux ou pire, l'égalisation marseillaise, par Lemina, est refusée pour un hors-jeu tardivement sifflé (88ème).
Ou comment te saper le peu de moral qu'il reste, à défaut de jus, et à quelques minutes du coup de sifflet final.
Il n'en faut pas davantage à Benezet pour pousser son avantage.
Bien lancé à presque trente mètres, il transmet à son propre pied gauche et frappe dans l'élan. Mandanda ne peut rien.
EAG 2-0 OM (90ème)
Il est temps que ce calvaire se termine. Que Labrune termine ce mercato avec les recrues qu'il faut. Et que Michel mette ses garçons au boulot ! Parce que y a du taff !
Bref, l'OM donne le coup d'envoi et laisse l'EAG s'emparer du ballon. Jimmy Briand réussit une percée et Lass' le fauche à l'entrée de la surface. Biscotte, justifiée sans doute, + peno. Injustifié puisque la faute a eu lieu avant l'entrée dans la surface. On joue depuis moins d'une minute.
Mais Mandanda se couche bien sur la trajectoire du tir de Privat !
OK, El Fenomeno est chaud bouillant d'entrée. Le reste des Olympiens, en revanche, sans doute échaudés par cette alerte précoce, n'osent plus trop monter sur le porteur du ballon. C'est-à-dire que fidèles à leur habitude, ils monopolisent le cuir - au point de dépasser les 75 % de possession pendant quelques minutes au quart d'heure de jeu, sans doute du jamais vu - mais de façon stérile : c'est les défenseurs qui jouent à la passe à dix, le ballon ne dépasse pas le milieu de terrain et lorsque les bretons parviennent à s'emparer de la balle, dégun ose attaquer le porteur trop fort.
Résultat, les provençaux laissent des espaces béants en contre et ne s'approchent guère des cages de Lössl, qui n'a pas trop à s'inquiéter en première période.
La deuxième mi-temps n'offre pas un meilleur visage. Les Olympiens poussent davantage, mais se montrent terriblement maladroits dans le dernier, voire l'avant-dernier geste.
Rien qui puisse véritablement inquiéter les hommes de Gourvennec malgré un pressing plus haut et davantage d'occasions.
Les bretons, en revanche, tentent crânement leur chance à chaque fois que l'occasion - trop nombreuses, les occasions - leur est laissée.
Et ce qui devait arriver arriva : Briand parvient à résister à Manquillo et entre dans la surface presque tranquillement, pour transmettre à Privat, lequel trompe Mandanda qui peut beaucoup, mais quand-même pas tout !
EAG 1-0 OM (72ème)
Menés au score, les olympiens insistent dans leur pressing mais ne parviennent toujours pas à trouver le chemin des filets d'un Lössl en transe, tout en se montrant peu inspirés sur les contres face à un bloc guingampais en place et surtout,en pleine confiance après l'ouverture du score.
Mieux ou pire, l'égalisation marseillaise, par Lemina, est refusée pour un hors-jeu tardivement sifflé (88ème).
Ou comment te saper le peu de moral qu'il reste, à défaut de jus, et à quelques minutes du coup de sifflet final.
Il n'en faut pas davantage à Benezet pour pousser son avantage.
Bien lancé à presque trente mètres, il transmet à son propre pied gauche et frappe dans l'élan. Mandanda ne peut rien.
EAG 2-0 OM (90ème)
Il est temps que ce calvaire se termine. Que Labrune termine ce mercato avec les recrues qu'il faut. Et que Michel mette ses garçons au boulot ! Parce que y a du taff !