Le Lundi 15 Février 2016 par Bab Joo
Ce soir, l'OM devait rapporter trois points de l'Allianz Riviera. Ce soir, l'OM n'avait qu'à se baisser pour les ramasser, ces foutus trois points. Mais ce soir, une fois encore, une fois de plus, une énième fois de trop, l'OM a eu la flemme.
Je vais vous la faire courte : Michy est cramé, Michel le sait et il voulait absolument un 9. Michel a obtenu un 9. Michel attend la 85ème pour remplacer son joueur archi-cuit par le numéro 9 qu'il réclamait à cors et à cris ! Narmol.
Puis comme d'hab', les Marseillais n'ont pas forcé leur talent. Il leur suffirait pourtant d'un chouïa de bonne volonté, c'est pas la qualité qui manque, pour survoler ce championnat et se tenir à la lutte avec le PSG pour le titre, alors merdalafin !
Enfin, faut le reconnaître aussi, à chaque fois, l'OM bute sur un gardien qui sort le match de sa vie, ça devient un scénario assez lassant, à la longue.
Mais les arrêts de Cardinale ne justifient pas à eux seuls la défaite - parce que tout autre résultat qu'une victoire sera une défaite pour les Phocéens, à présent qu'on aborde la dernière ligne droite du championnat -
Aussi joueuse et bien organisée soit-elle, aucune équipe ne devrait pouvoir renverser aussi facilement la vapeur face aux hommes de Michel : bon sang de bonsoir, on est l'Olympique de Marseille, oui ou non ?
Une première période doublement à rallonge pour clôturer cette 26ème journée ; d'abord à cause de conditions météo ayant gêné la dissipation normale du brouillard engendré par les fumis, occasionnant une interruption de plus de neuf minutes dès la deuxième minute, interruption logiquement reportée dans le temps additionnel. Ensuite, parce qu'une fois le match véritablement commencé, il aura fallu près de trente minutes aux deux équipes pour s'aviser que Benoît Millot avait sifflé la reprise.
A partir de ce moment, l'OM prend un avantage léger mais indubitable sur son adversaire dont le bloc-équipe semble moins organisé que depuis le début de la saison.
Les qualités individuelles des Olympiens font le reste, d'abord avec une belle combinaison des deux hommes en forme du moment, Cabella et le revenant Alessandrini, auteur d'un excellent retour en dépit de sa longue blessure.
Puis sur le corner qui suit par Alessandrini encore, dont la première tentative est repoussée au premier poteau. le deuxième essai sera le bon. Cardinale, gêné, se troue sur sa sortie alors qu'Isla, bien placé, surgit au second poteau.
OGCN 0-1 OM (38ème)
Le match peine pourtant à s'emballer : trop haché par d'innombrables petites fautes, qui empêchent les deux équipes de prendre un véritable ascendant l'une sur l'autre. L'OM se montre toutefois plus agressif que l'OGCN, et parvient encore à se créer quelques occasions ; Michy, qui bute à deux reprises sur un Cardinale déterminé à faire oublier sa mauvaise sortie de tout-à-l'heure, n'est vraiment pas payé de ses efforts, c'est rageant !
C'est sur ce score assez logique mais peu enthousiasmant que les deux adversaires se séparent donc pour la coupure pub. Enfin, la coupure CFC, ce qui revient à peu près au même. Temps de cerveau disponible, toussa...
Mais voilà, sur un terrain de foot, des fois, faut réfléchir. Quand on mène à la mi-temps sans s'être vraiment sorti les doigts, faut se donner les moyens de se mettre à l'abri, c'est un bon minimum. C'est pas comme si on savait pas que ces trois points sont importants !
On ne sait pas ce que Claude Puel a raconté aux siens pendant la pause, mais de toute évidence, le message est mieux passé chez ses garçons que chez les hommes de Michel : les Niçois s'emparent du ballon et se montrent nettement plus entreprenants dans ce premier quart d'heure. Même si l'OM n'est pas à la rue, à force de laxisme, tous les enfants testent pour voir jusqu'où ils peuvent aller trop loin. Les Aiglons ne font pas exception à la règle et finissent par s'approcher un peu trop près, beaucoup trop près de la surface marseillaise. A force de les laisser jouer avec le feu, c'est nous qui allons passer pour des cons.
Et voilà, c'est fait !
Ce n'est même pas un très beau but, mais l'ouverture de Plea pour Koziello était trop facile, et trop facile le centre de ce dernier pour Germain, qui bat Mandanda !
OGCN 1-1 OM (59ème)
L'est bien temps de se réveiller ! L'est bien temps de s'aviser de ses erreurs ! La dernière demi-heure s'emballe, mais les jeux sont faits. Les Niçois ont pris confiance, tandis que les marseillais continuent de jouer de malchance en se heurtant qui à Cardinale, qui à son poteau...
Si la logique avait été respectée, l'Olympique de Marseille aurait dû l'emporter. mais quand on est logique, on ne tend pas le bâton pour se faire battre !
Je vais vous la faire courte : Michy est cramé, Michel le sait et il voulait absolument un 9. Michel a obtenu un 9. Michel attend la 85ème pour remplacer son joueur archi-cuit par le numéro 9 qu'il réclamait à cors et à cris ! Narmol.
Puis comme d'hab', les Marseillais n'ont pas forcé leur talent. Il leur suffirait pourtant d'un chouïa de bonne volonté, c'est pas la qualité qui manque, pour survoler ce championnat et se tenir à la lutte avec le PSG pour le titre, alors merdalafin !
Enfin, faut le reconnaître aussi, à chaque fois, l'OM bute sur un gardien qui sort le match de sa vie, ça devient un scénario assez lassant, à la longue.
Mais les arrêts de Cardinale ne justifient pas à eux seuls la défaite - parce que tout autre résultat qu'une victoire sera une défaite pour les Phocéens, à présent qu'on aborde la dernière ligne droite du championnat -
Aussi joueuse et bien organisée soit-elle, aucune équipe ne devrait pouvoir renverser aussi facilement la vapeur face aux hommes de Michel : bon sang de bonsoir, on est l'Olympique de Marseille, oui ou non ?
Une première période doublement à rallonge pour clôturer cette 26ème journée ; d'abord à cause de conditions météo ayant gêné la dissipation normale du brouillard engendré par les fumis, occasionnant une interruption de plus de neuf minutes dès la deuxième minute, interruption logiquement reportée dans le temps additionnel. Ensuite, parce qu'une fois le match véritablement commencé, il aura fallu près de trente minutes aux deux équipes pour s'aviser que Benoît Millot avait sifflé la reprise.
A partir de ce moment, l'OM prend un avantage léger mais indubitable sur son adversaire dont le bloc-équipe semble moins organisé que depuis le début de la saison.
Les qualités individuelles des Olympiens font le reste, d'abord avec une belle combinaison des deux hommes en forme du moment, Cabella et le revenant Alessandrini, auteur d'un excellent retour en dépit de sa longue blessure.
Puis sur le corner qui suit par Alessandrini encore, dont la première tentative est repoussée au premier poteau. le deuxième essai sera le bon. Cardinale, gêné, se troue sur sa sortie alors qu'Isla, bien placé, surgit au second poteau.
OGCN 0-1 OM (38ème)
Le match peine pourtant à s'emballer : trop haché par d'innombrables petites fautes, qui empêchent les deux équipes de prendre un véritable ascendant l'une sur l'autre. L'OM se montre toutefois plus agressif que l'OGCN, et parvient encore à se créer quelques occasions ; Michy, qui bute à deux reprises sur un Cardinale déterminé à faire oublier sa mauvaise sortie de tout-à-l'heure, n'est vraiment pas payé de ses efforts, c'est rageant !
C'est sur ce score assez logique mais peu enthousiasmant que les deux adversaires se séparent donc pour la coupure pub. Enfin, la coupure CFC, ce qui revient à peu près au même. Temps de cerveau disponible, toussa...
Mais voilà, sur un terrain de foot, des fois, faut réfléchir. Quand on mène à la mi-temps sans s'être vraiment sorti les doigts, faut se donner les moyens de se mettre à l'abri, c'est un bon minimum. C'est pas comme si on savait pas que ces trois points sont importants !
On ne sait pas ce que Claude Puel a raconté aux siens pendant la pause, mais de toute évidence, le message est mieux passé chez ses garçons que chez les hommes de Michel : les Niçois s'emparent du ballon et se montrent nettement plus entreprenants dans ce premier quart d'heure. Même si l'OM n'est pas à la rue, à force de laxisme, tous les enfants testent pour voir jusqu'où ils peuvent aller trop loin. Les Aiglons ne font pas exception à la règle et finissent par s'approcher un peu trop près, beaucoup trop près de la surface marseillaise. A force de les laisser jouer avec le feu, c'est nous qui allons passer pour des cons.
Et voilà, c'est fait !
Ce n'est même pas un très beau but, mais l'ouverture de Plea pour Koziello était trop facile, et trop facile le centre de ce dernier pour Germain, qui bat Mandanda !
OGCN 1-1 OM (59ème)
L'est bien temps de se réveiller ! L'est bien temps de s'aviser de ses erreurs ! La dernière demi-heure s'emballe, mais les jeux sont faits. Les Niçois ont pris confiance, tandis que les marseillais continuent de jouer de malchance en se heurtant qui à Cardinale, qui à son poteau...
Si la logique avait été respectée, l'Olympique de Marseille aurait dû l'emporter. mais quand on est logique, on ne tend pas le bâton pour se faire battre !