Le Lundi 24 Octobre 2016 par Samuel Massilia
Alors que la logique nous appréhender une défaite, les joueurs de Rudi Garcia auront su résister aux quelques assauts du PSG au Parc. Pas de tirs ni d'occasions mais un esprit collectif qui a permis au club phocéen de repartir de la capitale avec un point important pour la suite du championnat.
Comme avant chaque Classico, et ce depuis maintenant 4 saisons que le PSG est dirigé par le Qatar, nous sommes toujours assez méfiants à l'idée de se déplacer au Parc des Princes. Mais hier soir, malgré les quelques tentatives parisiennes (non pas inquiétantes) l'OM n'a pas osé autre que la défense totale qui a tenu durant les 90 minutes. Alors oui, nous n'avons pas frappé une seule fois au but, mais nous avons pris un point contrairement aux saisons précédentes où le jeu était présent, mais le résultat final ne suffisait pas pour grimper au classement.
Un match nul, qui fait du bien avant d'enchaîner une série de matchs, en commençant tout d'abord par Clermont en Coupe de la Ligue mercredi et la réception de Bordeaux dimanche. Il faut laisser le temps à Rudi Garcia de mieux connaître son groupe. En deux jours seulement, on ne devait pas s'attendre à voir une équipe ultra offensive de sa part. Tous les médias s'attendaient à un défilé de but au Parc hier soir, la grise mine est parisienne ce matin. Que cela plaise ou non, l'OM tient un nouveau projet qui prendra du temps à s'installer et un nul à Paris n'est pas le pire départ pour une nouvelle direction qui installe petit à petit son organigramme.
Il est évident que des matchs comme hier soir nous font serrer les dents jusqu'à la dernière seconde, faut-il encore que ce ne soit le cas uniquement contre Paris. Même si nous imaginons bien l'intelligence de l'ancien entraîneur du LOSC et de la Roma qui n'est pas un jeu défensif. Toutefois, et il ne le cache pas non plus, il faudra au minimum recruter cet hiver pour retrouver un aspect compétitif, car les joueurs mis à sa disposition sont très limités techniquement et physiquement.
C'est donc une semaine chargée qui nous attend où l'OM sera scruté par les yeux des "spécialistes" et ou la moindre erreur sera acclamée au lendemain. Comme le dit si bien notre cher président Jacques-Henri Eyraud : "Vous savez, à Marseille, dire c'est faire rire, faire, c'est faire taire !".
Mention spéciale à Clément Turpin auteur (pour une fois) d'un arbitrage non foireux envers nous, et la Bonne Mère le sait, il aurait pu nous la faire à l'envers.
Comme avant chaque Classico, et ce depuis maintenant 4 saisons que le PSG est dirigé par le Qatar, nous sommes toujours assez méfiants à l'idée de se déplacer au Parc des Princes. Mais hier soir, malgré les quelques tentatives parisiennes (non pas inquiétantes) l'OM n'a pas osé autre que la défense totale qui a tenu durant les 90 minutes. Alors oui, nous n'avons pas frappé une seule fois au but, mais nous avons pris un point contrairement aux saisons précédentes où le jeu était présent, mais le résultat final ne suffisait pas pour grimper au classement.
Un match nul, qui fait du bien avant d'enchaîner une série de matchs, en commençant tout d'abord par Clermont en Coupe de la Ligue mercredi et la réception de Bordeaux dimanche. Il faut laisser le temps à Rudi Garcia de mieux connaître son groupe. En deux jours seulement, on ne devait pas s'attendre à voir une équipe ultra offensive de sa part. Tous les médias s'attendaient à un défilé de but au Parc hier soir, la grise mine est parisienne ce matin. Que cela plaise ou non, l'OM tient un nouveau projet qui prendra du temps à s'installer et un nul à Paris n'est pas le pire départ pour une nouvelle direction qui installe petit à petit son organigramme.
Il est évident que des matchs comme hier soir nous font serrer les dents jusqu'à la dernière seconde, faut-il encore que ce ne soit le cas uniquement contre Paris. Même si nous imaginons bien l'intelligence de l'ancien entraîneur du LOSC et de la Roma qui n'est pas un jeu défensif. Toutefois, et il ne le cache pas non plus, il faudra au minimum recruter cet hiver pour retrouver un aspect compétitif, car les joueurs mis à sa disposition sont très limités techniquement et physiquement.
C'est donc une semaine chargée qui nous attend où l'OM sera scruté par les yeux des "spécialistes" et ou la moindre erreur sera acclamée au lendemain. Comme le dit si bien notre cher président Jacques-Henri Eyraud : "Vous savez, à Marseille, dire c'est faire rire, faire, c'est faire taire !".
Mention spéciale à Clément Turpin auteur (pour une fois) d'un arbitrage non foireux envers nous, et la Bonne Mère le sait, il aurait pu nous la faire à l'envers.