Le Dimanche 01 Octobre 2017 par pyrOMan
Dans un scénario complètement fou, l'OM mené 2-0 au bout d'un quart d'heure de jeu a finalement atomisé l'ennemi Niçois chez lui : 2-4 score final !
Après la minute de silence en hommage aux 2 victimes de l'attaque au couteau perpétrée dans la gare St Charles, Nice ne perdait pas de temps pour ouvrir le score, puis prendre le large... 2-0 sur des réalisations de Balotelli et Seri. Franchement, difficile de ne pas avoir la haine. La réduction du score d'Ocampos (26', 2-1) relevait presque de l'anecdotique.
Presque puisque ce but allait faire du bien dans les têtes de Marseillais qui semblaient jusque-là abattus. L'OM allait en effet montrer un tout autre visage ensuite. A défaut de développer un football léché, les Olympiens montrent un visage conquérant. La hargne, la grinta enfin, étaient de retour. La chance aussi. Trente neuvième minute de jeu, Saint-Maximin loupait son face à face avec Mandanda. Dans la foulée, sur un déboulé d'Amavi à gauche, Thauvin à la récupération poussait le malheureux Lees-Pelou au CSC sur une passe en retrait. Une égalisation qui semblait inenvisageable encore un quart d'heure en amont. L'OM si fébrile en début de match avait resserré le verrou derrière. Ses attaques se multipliaient et étaient tranchantes sous l'impulsion d'un Gustavo qui avait haussé le niveau de jeu et de récupération de l'OM. C'est d'ailleurs sur une frappe lourde du brésilien à l'entrée de la surface qu'Ocampos allait de nouveau faire mouche, à bout portant, d'une tête rageuse dans le but vide (44', 2-3).
Et voilà que notre OM avait renversé la vapeur en 18 minutes de jeu. Qui aurait pu croire que les hOMmes de Garcia rentreraient au vestiaire en menant à la marque ?
Dès le début du second acte, c'est ce même Gustavo, définitivement intenable, qui allait faire le break sur une frappe de l'extérieur de la surface (48', 2-4). L'OM prenait une option. Le club Phocéen venait surtout de planter un 4-0 à l'ennemi Niçois en 22 minutes de jeu ! Il continuait de se procurer des occasions. Le rouge (sévère) reçu par notre ancien joueur du Bayern (66') n'y changerait rien. L'OM allait tranquillement gérer cette fin de match en infériorité numérique.
Il faut en effet souligner la belle performance de la défense centrale et notamment d'Adil Rami après le trou d'air du début de match, les très bonnes prestations d'Amavi, Payet et Thauvin également. Enfin, et surtout, celle d'un Steve Mandanda Majuscule. El Phenomeno est une nouvelle fois l'homme du match. Le portier international a en effet enchaîné les parades spectaculaires. Il a permis à l'OM d'éviter une fin de match stressante en repoussant le penalty de Plea tiré plein axe (83').
Cette victoire à l'extérieur dans le derby de la Méditerranée fait un bien fou ! Un tel scénario ne s'était pas produit depuis le 5-4 face à Montpellier de 1998... Surtout, et bien qu'il reste encore des progrès à faire dans le jeu, l'OM a prouvé, notamment en deuxième mi-temps, qu'il pouvait être une formation solide et combative.
Cette troisième victoire consécutive en L1 permet aux coéquipiers de Dimitri Payet de se hisser sur le podium de la L1 avec 16 points pris en 8 matchs. Une position qu'on aurait eu du mal à imaginer il y a un mois de ça... Il faudra désormais confirmer ce regain de forme, dans 15 jours à Strasbourg !
Après la minute de silence en hommage aux 2 victimes de l'attaque au couteau perpétrée dans la gare St Charles, Nice ne perdait pas de temps pour ouvrir le score, puis prendre le large... 2-0 sur des réalisations de Balotelli et Seri. Franchement, difficile de ne pas avoir la haine. La réduction du score d'Ocampos (26', 2-1) relevait presque de l'anecdotique.
Presque puisque ce but allait faire du bien dans les têtes de Marseillais qui semblaient jusque-là abattus. L'OM allait en effet montrer un tout autre visage ensuite. A défaut de développer un football léché, les Olympiens montrent un visage conquérant. La hargne, la grinta enfin, étaient de retour. La chance aussi. Trente neuvième minute de jeu, Saint-Maximin loupait son face à face avec Mandanda. Dans la foulée, sur un déboulé d'Amavi à gauche, Thauvin à la récupération poussait le malheureux Lees-Pelou au CSC sur une passe en retrait. Une égalisation qui semblait inenvisageable encore un quart d'heure en amont. L'OM si fébrile en début de match avait resserré le verrou derrière. Ses attaques se multipliaient et étaient tranchantes sous l'impulsion d'un Gustavo qui avait haussé le niveau de jeu et de récupération de l'OM. C'est d'ailleurs sur une frappe lourde du brésilien à l'entrée de la surface qu'Ocampos allait de nouveau faire mouche, à bout portant, d'une tête rageuse dans le but vide (44', 2-3).
Et voilà que notre OM avait renversé la vapeur en 18 minutes de jeu. Qui aurait pu croire que les hOMmes de Garcia rentreraient au vestiaire en menant à la marque ?
Dès le début du second acte, c'est ce même Gustavo, définitivement intenable, qui allait faire le break sur une frappe de l'extérieur de la surface (48', 2-4). L'OM prenait une option. Le club Phocéen venait surtout de planter un 4-0 à l'ennemi Niçois en 22 minutes de jeu ! Il continuait de se procurer des occasions. Le rouge (sévère) reçu par notre ancien joueur du Bayern (66') n'y changerait rien. L'OM allait tranquillement gérer cette fin de match en infériorité numérique.
Il faut en effet souligner la belle performance de la défense centrale et notamment d'Adil Rami après le trou d'air du début de match, les très bonnes prestations d'Amavi, Payet et Thauvin également. Enfin, et surtout, celle d'un Steve Mandanda Majuscule. El Phenomeno est une nouvelle fois l'homme du match. Le portier international a en effet enchaîné les parades spectaculaires. Il a permis à l'OM d'éviter une fin de match stressante en repoussant le penalty de Plea tiré plein axe (83').
Cette victoire à l'extérieur dans le derby de la Méditerranée fait un bien fou ! Un tel scénario ne s'était pas produit depuis le 5-4 face à Montpellier de 1998... Surtout, et bien qu'il reste encore des progrès à faire dans le jeu, l'OM a prouvé, notamment en deuxième mi-temps, qu'il pouvait être une formation solide et combative.
Cette troisième victoire consécutive en L1 permet aux coéquipiers de Dimitri Payet de se hisser sur le podium de la L1 avec 16 points pris en 8 matchs. Une position qu'on aurait eu du mal à imaginer il y a un mois de ça... Il faudra désormais confirmer ce regain de forme, dans 15 jours à Strasbourg !