Le Lundi 22 Janvier 2018 par Sebastien
Qui ne s'est déjà entravé dans ces sièges ? Combien de fois lors d'un but ne s'est on fait peur en restant bloqué entre deux sièges alors que la foule dévale vers le bas du virage pour féliciter le buteur ? Il ne fait aucun doute que pour l'immense majorité des Ultras, il est impensable d'assister à un match le cul posé sur un siège en plastique. Car pour nous, être supporter c'est chanter, taper des mains, se retourner, mais aussi agiter son drapeau, faire monter une voile et même pogoter.
Cette notion de liberté a longtemps été annihilée par les pouvoirs publics pour des raisons de sécurité. Mais force est d'admettre que d'obliger l'ensemble des virages à s'asseoir est inenvisageable sans risquer la désertification de ces tribunes qui font de notre stade ce qu'il est. Car n'oublions pas que lorsque notre Olympique ne se montre pas à la hauteur sur le rectangle vert, c'est l'ambiance des tribunes qui devient l'élément attrayant qui rempli les travées. Nous, ultras, sommes décriés par les médias, stigmatisés par les pouvoirs publics, et parfois même trahis par la direction de notre club. Mais nous représentons ce qu'il y a de plus beau dans notre ville, nous sommes le cœur qui fait battre le Stade Vélodrome.
La donne est en train de changer, non pas que les politiques apprécient le « bordel » que l'on peut mettre au stade, ni qu'ils comprennent que c'est du sang bleu et blanc qui coule dans nos veines, que c'est la force qui nous lève chaque matin, non malheureusement. Mais ils ont fait leurs calculs, sans nous, c'est un énorme manque à gagner, c'est une moins-value comptable, mais aussi en terme d'image.
Alors non, nous ne sommes pas d'accord pour être une valeur d'ajustement et revendiquons un football populaire. Mais profitons de cette vision pour faire avancer les choses en notre faveur. Le fait que deux députés présentent à Mme la ministre des sport et aux instances du football français un projet d'expérimentation de tribune sans sièges dans le but d'entretenir l'ambiance des stades est une excellente nouvelle pour nous. Non pas, non plus, que nous voulions être un faire valoir politique, mais imaginez les virages et les parcages sans sièges, les pogos redeviendraient mémorables, les accidents deviendraient anecdotiques. Bien entendu le coté sécuritaire ne serait pas oublié pour autant car aucun d'entre nous n'a oublié les images traumatisantes de Furiani, mais n'oublions pas non plus que nos tribunes sont aussi fortes que l'amour que l'on porte pour notre OM. Plus libre, nous serons plus fort !
Militons pour nos libertés !
Cette notion de liberté a longtemps été annihilée par les pouvoirs publics pour des raisons de sécurité. Mais force est d'admettre que d'obliger l'ensemble des virages à s'asseoir est inenvisageable sans risquer la désertification de ces tribunes qui font de notre stade ce qu'il est. Car n'oublions pas que lorsque notre Olympique ne se montre pas à la hauteur sur le rectangle vert, c'est l'ambiance des tribunes qui devient l'élément attrayant qui rempli les travées. Nous, ultras, sommes décriés par les médias, stigmatisés par les pouvoirs publics, et parfois même trahis par la direction de notre club. Mais nous représentons ce qu'il y a de plus beau dans notre ville, nous sommes le cœur qui fait battre le Stade Vélodrome.
La donne est en train de changer, non pas que les politiques apprécient le « bordel » que l'on peut mettre au stade, ni qu'ils comprennent que c'est du sang bleu et blanc qui coule dans nos veines, que c'est la force qui nous lève chaque matin, non malheureusement. Mais ils ont fait leurs calculs, sans nous, c'est un énorme manque à gagner, c'est une moins-value comptable, mais aussi en terme d'image.
Alors non, nous ne sommes pas d'accord pour être une valeur d'ajustement et revendiquons un football populaire. Mais profitons de cette vision pour faire avancer les choses en notre faveur. Le fait que deux députés présentent à Mme la ministre des sport et aux instances du football français un projet d'expérimentation de tribune sans sièges dans le but d'entretenir l'ambiance des stades est une excellente nouvelle pour nous. Non pas, non plus, que nous voulions être un faire valoir politique, mais imaginez les virages et les parcages sans sièges, les pogos redeviendraient mémorables, les accidents deviendraient anecdotiques. Bien entendu le coté sécuritaire ne serait pas oublié pour autant car aucun d'entre nous n'a oublié les images traumatisantes de Furiani, mais n'oublions pas non plus que nos tribunes sont aussi fortes que l'amour que l'on porte pour notre OM. Plus libre, nous serons plus fort !
Militons pour nos libertés !