Le Dimanche 24 Avril 2005 par willyz85
Beye : "Comme lors des stages précédents, celui-ci a été bénéfique. On n'était pas dans un esprit commando mais nous voulions simplement jouer et travailler ensemble. Pour la course à la Ligue des Champions, ce sont deux points de perdus. Mais si on observe la physionomie du match et de l'aspect psychologique, ce point peut nous faire du bien."
Bamogo : "On s'est révolté après le second but mais c'est dommage, cette année, on ne fonctionne qu'en réaction et pas en action. Même si on perd des points sur Lille et Monaco, nous restons dans la course. A la pause, on s'est dit qu'on n'avait plus rien à perdre, qu'il ne fallait pas mourir sans réagir. Elle est finalement venue, c'est le point positif. En faisant le compte des actions, on se dit qu'on aurait pu faire mieux. On doit s'appuyer sur ce retour dès le match contre Caen. Il faut s'en servir pour la suite."
Koke : "Ce n'est pas évident pour les attaquants de jouer à l'OM. On a su réagir en seconde période. C'était un match très dur, surtout à 2-0. La deuxième mi-temps a été bonne. C'est bien de marquer mais l'important, c'est l'équipe. On va se re-motiver, il faut gagner le prochain match pour remplir les objectifs et atteindre la Ligue des Champions."
Troussier : "Parlons d'abord de cette semaine que nous venons de vivre avec une grosse pression médiatique, sans oublier l'affaire autour de l'un de nos joueurs. Cette semaine a été faite pour nous reconcentrer sur le foot, tout simplement, et rebondir. Sur la première heure de jeu, on était menés et on aurait pu être déstabilisés mais il n'en a pas été le cas. Plus que la réaction d'orgueil, nous avons réagi dans le jeu. Nous avions envie de pétiller, d'être plus technique et plus pressant. Même menés 2-0, nous savions qu'il y avait de la place pour revenir et même gagner."
Pedretti : "Ca fait plaisir de marquer. L'important c'est de ramener quelque chose. On était venu pour les trois points mais vu notre départ, un point c'est déjà pas mal. On ne se proclame pas leader comme ça, il faut l'adhésion du groupe. Je suis revenu à des choses que je savais faire : récupérer la balle devant la défense et faire jouer l'équipe. Ce soir, avec Sylvain N'Diaye, on s'est très bien entendu, j'ai pu faire jouer l'équipe. C'est ce que je fais le mieux... On est rien sans l'équipe, sans mouvement, sans changement de jeu. On a montré qu'on avait de la qualité technique mais il ne faut pas avoir peur de bouger, de faire des efforts, de demander le ballon. J'espère que cette seconde période va nous servir de leçon pour la suite."
Déhu : "En première mi-temps, on était mauvais, on avait du mal à retenir les assauts nantais. On jouait la peur au ventre. En seconde période, on s'est dit que l'on avait notre destin entre nos mains. On a réussi à renverser le match avec un sursaut d'orgueil. On avait peur de perdre ce match. Il fallait se libérer. On retiendra la réaction collective. Un point c'est bien."
Diouf : "Mathématiquement, on ne fait pas l'opération du siècle mais il faut positiver. On ne doit pas être plus royaliste que le roi. Les garçons ont su refuser la fatalité. Il faudra retenir la réaction des joueurs. La révolte est venue du fin fond de chacun."
Serge Le Dizet : "On est passés du chaud au froid, du presque 3-0 avec cette occasion de Mamadou Diallo au 2-2. Nous n'avons pas su gérer la deuxième mi-temps face à la grosse poussée de Marseille. L'objectif était de leur poser des problèmes par notre mobilité, comme nous l'avions fait à Bordeaux et face à Lyon. Mais on voit que 2-0 n'a pas été suffisant. En deuxième mi-temps, le fait de reculer n'était pas illogique mais nous n'avons alors pas sur remonter comme nous l'avions fait en première période. Dans l'organisation, nous avons laissé Pedretti trop à son aise. Le tournant du match, c'est cette occasion qui nous aurait permis de mener 3-0. Je pense que le match aurait alors été terminé. La sortie d'Olivier Quint, qui a fait une très bonne prestation, nous a aussi été préjudiciable mais il avait des soucis musculaires. C'est quand même un point. Rien n'est fait et il faudra encore aller chercher deux voire trois points. Pourquoi pas à Nice !"
Olivier Quint : "Sincèrement, j'aurais préféré ne pas marquer et gagner. Nous avons des regrets car nous avons eu l'occasion de Mamadou Diallo et, derrière, nous prenons un but. Nous avons reculé, comme souvent quand on mène. Physiquement, nous avons pêché à 20 minutes de la fin. Je pense qu'il y aura des enseignements à tirer de ce match et qu'il y a quand même du positif. Nous avons fait un match de qualité. Il faudra répondre présent à Nice pour aller à 42 points. Il reste quatre matches et trois points à prendre."
Bamogo : "On s'est révolté après le second but mais c'est dommage, cette année, on ne fonctionne qu'en réaction et pas en action. Même si on perd des points sur Lille et Monaco, nous restons dans la course. A la pause, on s'est dit qu'on n'avait plus rien à perdre, qu'il ne fallait pas mourir sans réagir. Elle est finalement venue, c'est le point positif. En faisant le compte des actions, on se dit qu'on aurait pu faire mieux. On doit s'appuyer sur ce retour dès le match contre Caen. Il faut s'en servir pour la suite."
Koke : "Ce n'est pas évident pour les attaquants de jouer à l'OM. On a su réagir en seconde période. C'était un match très dur, surtout à 2-0. La deuxième mi-temps a été bonne. C'est bien de marquer mais l'important, c'est l'équipe. On va se re-motiver, il faut gagner le prochain match pour remplir les objectifs et atteindre la Ligue des Champions."
Troussier : "Parlons d'abord de cette semaine que nous venons de vivre avec une grosse pression médiatique, sans oublier l'affaire autour de l'un de nos joueurs. Cette semaine a été faite pour nous reconcentrer sur le foot, tout simplement, et rebondir. Sur la première heure de jeu, on était menés et on aurait pu être déstabilisés mais il n'en a pas été le cas. Plus que la réaction d'orgueil, nous avons réagi dans le jeu. Nous avions envie de pétiller, d'être plus technique et plus pressant. Même menés 2-0, nous savions qu'il y avait de la place pour revenir et même gagner."
Pedretti : "Ca fait plaisir de marquer. L'important c'est de ramener quelque chose. On était venu pour les trois points mais vu notre départ, un point c'est déjà pas mal. On ne se proclame pas leader comme ça, il faut l'adhésion du groupe. Je suis revenu à des choses que je savais faire : récupérer la balle devant la défense et faire jouer l'équipe. Ce soir, avec Sylvain N'Diaye, on s'est très bien entendu, j'ai pu faire jouer l'équipe. C'est ce que je fais le mieux... On est rien sans l'équipe, sans mouvement, sans changement de jeu. On a montré qu'on avait de la qualité technique mais il ne faut pas avoir peur de bouger, de faire des efforts, de demander le ballon. J'espère que cette seconde période va nous servir de leçon pour la suite."
Déhu : "En première mi-temps, on était mauvais, on avait du mal à retenir les assauts nantais. On jouait la peur au ventre. En seconde période, on s'est dit que l'on avait notre destin entre nos mains. On a réussi à renverser le match avec un sursaut d'orgueil. On avait peur de perdre ce match. Il fallait se libérer. On retiendra la réaction collective. Un point c'est bien."
Diouf : "Mathématiquement, on ne fait pas l'opération du siècle mais il faut positiver. On ne doit pas être plus royaliste que le roi. Les garçons ont su refuser la fatalité. Il faudra retenir la réaction des joueurs. La révolte est venue du fin fond de chacun."
Serge Le Dizet : "On est passés du chaud au froid, du presque 3-0 avec cette occasion de Mamadou Diallo au 2-2. Nous n'avons pas su gérer la deuxième mi-temps face à la grosse poussée de Marseille. L'objectif était de leur poser des problèmes par notre mobilité, comme nous l'avions fait à Bordeaux et face à Lyon. Mais on voit que 2-0 n'a pas été suffisant. En deuxième mi-temps, le fait de reculer n'était pas illogique mais nous n'avons alors pas sur remonter comme nous l'avions fait en première période. Dans l'organisation, nous avons laissé Pedretti trop à son aise. Le tournant du match, c'est cette occasion qui nous aurait permis de mener 3-0. Je pense que le match aurait alors été terminé. La sortie d'Olivier Quint, qui a fait une très bonne prestation, nous a aussi été préjudiciable mais il avait des soucis musculaires. C'est quand même un point. Rien n'est fait et il faudra encore aller chercher deux voire trois points. Pourquoi pas à Nice !"
Olivier Quint : "Sincèrement, j'aurais préféré ne pas marquer et gagner. Nous avons des regrets car nous avons eu l'occasion de Mamadou Diallo et, derrière, nous prenons un but. Nous avons reculé, comme souvent quand on mène. Physiquement, nous avons pêché à 20 minutes de la fin. Je pense qu'il y aura des enseignements à tirer de ce match et qu'il y a quand même du positif. Nous avons fait un match de qualité. Il faudra répondre présent à Nice pour aller à 42 points. Il reste quatre matches et trois points à prendre."