Le Lundi 17 Octobre 2005 par willyz85
Les joueur parisiens ont du attendre près d'une heure pour changer de vestiaire juste avant le match. Leur vestiaire régurgitait une odeur qui "les empêchaient de respirer". Pour Laurent Fournier, cela 'appartient au football d'aujourd'hui, mais on revient en arrière, avec une heure pour trouver un vestiaire."
Jean Fernandez :
"Je ne sais pas à quel jeu ils ont voulu jouer, mais ils sont allés très loin sur le coup. Ils se sont énervés pour rien. J'ai senti beaucoup d'agressivité de leur part avant le match."
Pape Diouf : "J'ai essayé de savoir ce qui s'était passé. Il s'est avéré que leurs vestiaires avaient plus de relents de détergents que les nôtres. J'ai même entendu parler de gaz lacrymogène... Je pense que les Parisiens doivent accepter la défaite. Ce n'est pas très fair-play, et je pense qu'il ne faut pas trop les suivre dans leur mauvaise foi."
Jean-Michel Moutier :
"J'espère que la ligue prendra ses responsabilités car le Vélodrome est en sursis, je crois. On nous dit que notre vestiaire n'a pas été ventilé suite à l'utilisation d'ammoniaque, contrairement à celui des Marseillais. Ils nous ont dit qu'ils l'avaient même parfumé à la lavande ou au muguet pour ne pas que ça sente trop. Et ils pensent que l'on va croire cela ! Quand vous restez assis une demie-heure dans le couloir à attendre qu'on vous donne un vestiaire, qu'on vous met finalement dans deux pièces de 10m2 avec Clara Morgane qui passe à côté, des stewards qui fument la cigarette à côté de vous, c'est un début d'échauffement assez particulier. Ce n'est pas une excuse, mais ça fait chier"
(AFP, L'Equipe)
Jean Fernandez :
"Je ne sais pas à quel jeu ils ont voulu jouer, mais ils sont allés très loin sur le coup. Ils se sont énervés pour rien. J'ai senti beaucoup d'agressivité de leur part avant le match."
Pape Diouf : "J'ai essayé de savoir ce qui s'était passé. Il s'est avéré que leurs vestiaires avaient plus de relents de détergents que les nôtres. J'ai même entendu parler de gaz lacrymogène... Je pense que les Parisiens doivent accepter la défaite. Ce n'est pas très fair-play, et je pense qu'il ne faut pas trop les suivre dans leur mauvaise foi."
Jean-Michel Moutier :
"J'espère que la ligue prendra ses responsabilités car le Vélodrome est en sursis, je crois. On nous dit que notre vestiaire n'a pas été ventilé suite à l'utilisation d'ammoniaque, contrairement à celui des Marseillais. Ils nous ont dit qu'ils l'avaient même parfumé à la lavande ou au muguet pour ne pas que ça sente trop. Et ils pensent que l'on va croire cela ! Quand vous restez assis une demie-heure dans le couloir à attendre qu'on vous donne un vestiaire, qu'on vous met finalement dans deux pièces de 10m2 avec Clara Morgane qui passe à côté, des stewards qui fument la cigarette à côté de vous, c'est un début d'échauffement assez particulier. Ce n'est pas une excuse, mais ça fait chier"
(AFP, L'Equipe)