Pour Lorik Cana, les sifflets entendus au stade Vélodrome samedi lors d'une nul face à Valenciennes sont plus le résultat d'une réaction épidermique des supporters qu'un aveu de désamour.

"Je pense que le public est toujours derrière nous. Il sait qu'on est toujours dans le coup en championnat. Il y a quelques années, troisième, ça aurait été un vrai bonheur pour eux ! Bien sûr que je ne suis pas content quand on est sifflé comme samedi vingt-cinq minutes avant la fin du match. Mais je vois toujours du monde au stade et à l'entraînement. Pour moi, le soutien est toujours présent" a ainsi déclaré le capitaine Olympien.