Le Samedi 19 Mars 2011 par pyrOMan
Comme tout bon clasico qui se respecte, les déclarations entre membres des deux clubs vont bon train avant la rencontre qui se jouera dimanche à 21h. En voici un échantillon alors qu'on commence petit à petit à se rapprocher du match...
Du côté olympien, Benoît Cheyrou, habitué des clasico puisqu'il disputera son huitième aujourd'hui s'attend "à une rencontre particulière." En effet : "Il est encore plus important que les autres années, vu qu'il arrive à 10 journées de la fin, et avec deux équipes qui sont dans le haut du tableau. Ça sera donc intéressant, à tout point de vue."
Pour l'arrière droit Rod Fanni ce sera un baptême du feu, et il conçoit d'avoir "hâte d'y être". De plus, né à Martigues, Fanni avoue "en avoir toujours rêvé". L'ancien Rennais se souvient alors de l'époque des clasico des années 90 : "Je me souviens de l'époque Di Meco et autres, ils s'envoyaient pas mal de brins... C'était des matches assez spéciaux avec toute la ferveur qui est autour. Le vivre de l'intérieur doit être passionnant."
Jean-Claude Dassier évoque quant à lui la fameuse rivalité entre les deux clubs : "Marseille, de tout temps, à partir des premières briques posées les unes sur les autres, a toujours été une ville rebelle. Il y a une vraie méfiance à l'égard de Paris et du pouvoir centralisé. Ça s'est traduit dans le football. Il y a une telle passion, un tel amour pour le club, qu'on peut le comprendre. On ne conçoit pas d'être battus par Paris."
Du côté francilien, Clément Chantôme assure que lui et ses coéquipiers seront motivés pour cette rencontre : "À Marseille on a une obligation de résultat, et on sera motivés. Les deux équipes voudront se racheter, que le meilleur gagne."
Edel, irréprochable jeudi face à Benfica, joue au devin en étant persuadé "qu'à Marseille, il va se passer quelque chose."
Le président Leproux croit quant à lui en un résultat parisien : "On va à Marseille pour gagner" il est sûr de "posséder le potentiel pour s'imposer." Avant de préciser : "La pression n'est pas vraiment sur nous. Alors on y va pour gagner, mais détendus. Le PSG est taillé pour battre l'OM. On peut battre n'importe qui."
Après les paroles pour se mettre en appétit demain on aura droit aux actes en espérant une victoire olympienne bien entendu.
Du côté olympien, Benoît Cheyrou, habitué des clasico puisqu'il disputera son huitième aujourd'hui s'attend "à une rencontre particulière." En effet : "Il est encore plus important que les autres années, vu qu'il arrive à 10 journées de la fin, et avec deux équipes qui sont dans le haut du tableau. Ça sera donc intéressant, à tout point de vue."
Pour l'arrière droit Rod Fanni ce sera un baptême du feu, et il conçoit d'avoir "hâte d'y être". De plus, né à Martigues, Fanni avoue "en avoir toujours rêvé". L'ancien Rennais se souvient alors de l'époque des clasico des années 90 : "Je me souviens de l'époque Di Meco et autres, ils s'envoyaient pas mal de brins... C'était des matches assez spéciaux avec toute la ferveur qui est autour. Le vivre de l'intérieur doit être passionnant."
Jean-Claude Dassier évoque quant à lui la fameuse rivalité entre les deux clubs : "Marseille, de tout temps, à partir des premières briques posées les unes sur les autres, a toujours été une ville rebelle. Il y a une vraie méfiance à l'égard de Paris et du pouvoir centralisé. Ça s'est traduit dans le football. Il y a une telle passion, un tel amour pour le club, qu'on peut le comprendre. On ne conçoit pas d'être battus par Paris."
Du côté francilien, Clément Chantôme assure que lui et ses coéquipiers seront motivés pour cette rencontre : "À Marseille on a une obligation de résultat, et on sera motivés. Les deux équipes voudront se racheter, que le meilleur gagne."
Edel, irréprochable jeudi face à Benfica, joue au devin en étant persuadé "qu'à Marseille, il va se passer quelque chose."
Le président Leproux croit quant à lui en un résultat parisien : "On va à Marseille pour gagner" il est sûr de "posséder le potentiel pour s'imposer." Avant de préciser : "La pression n'est pas vraiment sur nous. Alors on y va pour gagner, mais détendus. Le PSG est taillé pour battre l'OM. On peut battre n'importe qui."
Après les paroles pour se mettre en appétit demain on aura droit aux actes en espérant une victoire olympienne bien entendu.