Le Mardi 05 Février 2013 par Ray Flex
Arrivé à l'été 2009 en grande pompe et finalement reparti par une bien drôle de petite porte il y a un an, Lucho Gonzàlez n'y va pas par quatre chemins quand il s'agit de livrer son sentiment sur ses années passées à l'OM.
"La première année nous étions un groupe uni, avec des objectifs précis. La saison suivante, tout a changé. Sous prétexte que l'on avait gagné trois titres, nous étions les meilleurs. Beaucoup de joueurs se sont relâchés au lieu de viser le doublé coupe-championnat. Il y en a qui ont oublié l'équipe et qui ont sombré dans l'individualisme. Ça ne pouvait pas fonctionner. D'autant que malheureusement, il n'y avait personne pour canaliser tout ça" explique ainsi le milieu de terrain argentin du FC Porto dans les colonnes de SoFoot, tout en répondant à certaines critiques le visant très clairement : "On dit que je ne me suis pas adapté à la Ligue 1, mais je suis reparti de France avec cinq titres remportés dans un club qui ne gagnait plus rien depuis six, sept, huit ans ou plus..."
Bien évidemment, Lucho Gonzàlez souligne à nouveau l'aberration que fut le départ de Mamadou Niang à l'été 2010 : "Le départ de Niang m'a fait beaucoup de mal. Un grand club ne peut pas se permettre de lâcher son capitaine à la fin d'un mercato d'été. Porto n'aurait jamais eu ce genre de problèmes. Tout simplement parce que le club aurait trouvé son remplaçant longtemps à l'avance. Porto est un club tourné vers le futur. L'OM, en revanche, ne regarde pas assez loin !"
"La première année nous étions un groupe uni, avec des objectifs précis. La saison suivante, tout a changé. Sous prétexte que l'on avait gagné trois titres, nous étions les meilleurs. Beaucoup de joueurs se sont relâchés au lieu de viser le doublé coupe-championnat. Il y en a qui ont oublié l'équipe et qui ont sombré dans l'individualisme. Ça ne pouvait pas fonctionner. D'autant que malheureusement, il n'y avait personne pour canaliser tout ça" explique ainsi le milieu de terrain argentin du FC Porto dans les colonnes de SoFoot, tout en répondant à certaines critiques le visant très clairement : "On dit que je ne me suis pas adapté à la Ligue 1, mais je suis reparti de France avec cinq titres remportés dans un club qui ne gagnait plus rien depuis six, sept, huit ans ou plus..."
Bien évidemment, Lucho Gonzàlez souligne à nouveau l'aberration que fut le départ de Mamadou Niang à l'été 2010 : "Le départ de Niang m'a fait beaucoup de mal. Un grand club ne peut pas se permettre de lâcher son capitaine à la fin d'un mercato d'été. Porto n'aurait jamais eu ce genre de problèmes. Tout simplement parce que le club aurait trouvé son remplaçant longtemps à l'avance. Porto est un club tourné vers le futur. L'OM, en revanche, ne regarde pas assez loin !"