Le Lundi 25 Février 2013 par Bab Joo
Frustration et satisfaction après ce match... très bizarre, sont les deux mots d'ordre, et sont également partagés dans les deux camps.
Ancelotti : "C'était un match difficile, très difficile. Nous avons remporté trois points très importants, surtout parce que nous mettons Marseille à huit points derrière nous. Je crois qu'avec cet écart, cela devient plus difficile de revenir dans la course à la première place. Mais Marseille a fait un bon match. Nous avons eu beaucoup de difficultés contre eux. En deuxième période, nous avons reculé, ce n'était pas un choix tactique. C'est vrai que nous avons défendu plus bas. Nous n'avons pas bien maitrisé ce match."
Le propos du coach parisien ne laisse aucune place à l'ambiguïté, et Sirigu, qui aurait pourtant toute raison de pavoiser après sa brillante prestation, enfonce le clou : "Le match n'a pas été facile, et Marseille aurait pu égaliser ou même mener. Mais le football est composé de ces faits. Nous savions que ça allait être un match particulier. Nous l'avons bien préparé, car nous savions que nous allions rencontrer des difficultés, notamment sur le plan de l'agressivité. Marseille a joué avec le cœur."
Du côté des Marseillais, c'est le fatalisme qui l'emporte, à l'image d'Elie Baup : "Nous avons beaucoup essayé, avons eu beaucoup d'occasions, mais n'avons pas réussi à marquer. Je le regrette. Nous avions prévu de presser haut, afin de récupérer le ballon à une bonne hauteur, puis d'attaquer en passant par les côtés. C'est ce que nous avons fait, mais nous avons manqué d'efficacité devant le but et dans le dernier geste."
Gignac en remet une couche : "On fait un gros match au niveau collectif : on utilise bien le ballon, on a des actions. Mais Sirigu sort un grand match. Et ils marquent deux buts avec beaucoup de réussite. Voilà à quoi tient un match. Cela fait partie du football. Eux, ils ont eu la réussite, nous on ne marque pas et on en prend deux. C'est ce qui fait la différence dans les grands matches."
Même constat pour Valbuena: "On est très déçus. On avait à cœur de faire un résultat. On a vu de la détermination. On les a mis en difficulté. Ils ont marqué deux buts sur des actions bizarres, c'est peut-être la réussite du champion."
Mais contrairement à ses homologues, il conserve une mentalité de guerrier, l'envie d'aller de l'avant, et de ne surtout pas se laisser abattre : "On n'a pas à rougir de cette défaite, même si elle fait mal. On pensait pouvoir revenir au score. On va essayer de lutter pour finir dans les trois premiers, après, on verra. Il faut s'appuyer sur ce match."
Ancelotti : "C'était un match difficile, très difficile. Nous avons remporté trois points très importants, surtout parce que nous mettons Marseille à huit points derrière nous. Je crois qu'avec cet écart, cela devient plus difficile de revenir dans la course à la première place. Mais Marseille a fait un bon match. Nous avons eu beaucoup de difficultés contre eux. En deuxième période, nous avons reculé, ce n'était pas un choix tactique. C'est vrai que nous avons défendu plus bas. Nous n'avons pas bien maitrisé ce match."
Le propos du coach parisien ne laisse aucune place à l'ambiguïté, et Sirigu, qui aurait pourtant toute raison de pavoiser après sa brillante prestation, enfonce le clou : "Le match n'a pas été facile, et Marseille aurait pu égaliser ou même mener. Mais le football est composé de ces faits. Nous savions que ça allait être un match particulier. Nous l'avons bien préparé, car nous savions que nous allions rencontrer des difficultés, notamment sur le plan de l'agressivité. Marseille a joué avec le cœur."
Du côté des Marseillais, c'est le fatalisme qui l'emporte, à l'image d'Elie Baup : "Nous avons beaucoup essayé, avons eu beaucoup d'occasions, mais n'avons pas réussi à marquer. Je le regrette. Nous avions prévu de presser haut, afin de récupérer le ballon à une bonne hauteur, puis d'attaquer en passant par les côtés. C'est ce que nous avons fait, mais nous avons manqué d'efficacité devant le but et dans le dernier geste."
Gignac en remet une couche : "On fait un gros match au niveau collectif : on utilise bien le ballon, on a des actions. Mais Sirigu sort un grand match. Et ils marquent deux buts avec beaucoup de réussite. Voilà à quoi tient un match. Cela fait partie du football. Eux, ils ont eu la réussite, nous on ne marque pas et on en prend deux. C'est ce qui fait la différence dans les grands matches."
Même constat pour Valbuena: "On est très déçus. On avait à cœur de faire un résultat. On a vu de la détermination. On les a mis en difficulté. Ils ont marqué deux buts sur des actions bizarres, c'est peut-être la réussite du champion."
Mais contrairement à ses homologues, il conserve une mentalité de guerrier, l'envie d'aller de l'avant, et de ne surtout pas se laisser abattre : "On n'a pas à rougir de cette défaite, même si elle fait mal. On pensait pouvoir revenir au score. On va essayer de lutter pour finir dans les trois premiers, après, on verra. Il faut s'appuyer sur ce match."