Le Samedi 05 Avril 2014 par Bab Joo
Le Vel s'est enfin exprimé hier soir ! Après des mois de crise larvée, la contestation a explosé dans l'enceinte du boulevard Michelet.
Une enceinte aux trois-quarts vide, non pas, comme l'affirme Labrune qui tente à tout prix de minimiser la portée du mécontentement des supporters, parce que "la plupart des supporters ne veulent pas être mêlés à ça" mais parce que de plus en plus de ces derniers en ont par dessus la tête de raquer pour se faire humilier et d'encourager des gens qui ne le méritent pas.
Les deux virages ont donné le ton dès l'échauffement, déployant chacun une banderole : "On ne vous supporte plus, on vous subit !" pouvait-on lire côté Depé, une apostrophe à laquelle Chevalier Rozé répondait :"Joueurs, dirigeants, assumez vos responsabilités !"
Bronca à l'entrée des joueurs, sifflets à l'encontre des dirigeants, "boîte à meuh" - à défaut de trouver une boîte à chèvres, on fait avec c'qu'on a -, chants à la mémoire des anciennes gloires (Niang, Lucho, Drogba, Waddle...), et un mot d'ordre, repris partout et par tous : "Anigo, démission !"
Un joyeux bordel, un peu anarchique, pas très organisé, à l'image de ce club où tout part à vau l'eau, mais qui a su faire passer le message.
Réaction du principal intéressé ? Théorie du complot ! Et ce geste, inouï et inacceptable, ce doigt d'honneur adressé aux supporters ! Il a complètement craqué, Pépère !
Et non, ce n'est pas son index, comme il l'affirmera plus tard, que José Anigo suce à l'adresse des supps, mais bel et bien son majeur. Regardez bien la capture d'écran.
Non seulement ce geste affiche un manque de respect indigne envers tous les amoureux de l'OM, mais il constitue une faute grave de la part d'un salarié du club, vis-à-vis de ses principaux employeurs, les supporters, mais également de son employeur nominal, le club.
Il est à espérer qu'il ait à en répondre devant la Commission de Discipline de la LFP... et que le club prenne la pleine mesure de cet incident et les mesures qui s'imposent : licenciement pour faute grave !
Une enceinte aux trois-quarts vide, non pas, comme l'affirme Labrune qui tente à tout prix de minimiser la portée du mécontentement des supporters, parce que "la plupart des supporters ne veulent pas être mêlés à ça" mais parce que de plus en plus de ces derniers en ont par dessus la tête de raquer pour se faire humilier et d'encourager des gens qui ne le méritent pas.
Les deux virages ont donné le ton dès l'échauffement, déployant chacun une banderole : "On ne vous supporte plus, on vous subit !" pouvait-on lire côté Depé, une apostrophe à laquelle Chevalier Rozé répondait :"Joueurs, dirigeants, assumez vos responsabilités !"
Bronca à l'entrée des joueurs, sifflets à l'encontre des dirigeants, "boîte à meuh" - à défaut de trouver une boîte à chèvres, on fait avec c'qu'on a -, chants à la mémoire des anciennes gloires (Niang, Lucho, Drogba, Waddle...), et un mot d'ordre, repris partout et par tous : "Anigo, démission !"
Un joyeux bordel, un peu anarchique, pas très organisé, à l'image de ce club où tout part à vau l'eau, mais qui a su faire passer le message.
Réaction du principal intéressé ? Théorie du complot ! Et ce geste, inouï et inacceptable, ce doigt d'honneur adressé aux supporters ! Il a complètement craqué, Pépère !
Et non, ce n'est pas son index, comme il l'affirmera plus tard, que José Anigo suce à l'adresse des supps, mais bel et bien son majeur. Regardez bien la capture d'écran.
Non seulement ce geste affiche un manque de respect indigne envers tous les amoureux de l'OM, mais il constitue une faute grave de la part d'un salarié du club, vis-à-vis de ses principaux employeurs, les supporters, mais également de son employeur nominal, le club.
Il est à espérer qu'il ait à en répondre devant la Commission de Discipline de la LFP... et que le club prenne la pleine mesure de cet incident et les mesures qui s'imposent : licenciement pour faute grave !