Le Lundi 27 Octobre 2014 par Bab Joo
Déterminé envers et contre tout à museler les supporters et le supporterisme en France, Moustache a encore frappé !
Dans sa décision rendue le 23 octobre, la Commission de Discipline de la LFP a une fois encore prétendu sanctionner l'OM.
Pour l'usage d'engins pyrotechniques qui avaient marqué le 30ème anniversaire du Commando Ultra (rappelons que pour leurs 25 ans, les South Winners avaient obtenu une dérogation, certes informelle, mais en tous cas bel et bien non suivie d'effets), l'ensemble du virage sud écope d'une menace de fermeture pure et simple. Un sursis, certes, et un sursis d'un match : mais c'est la voie ouverte à toutes les contraventions au respect le plus élémentaire des libertés individuelles.
Une fois de plus, la LFP s'abrite derrière Loppsi2. rappelons que certains des articles de Loppsi2 s'inscrivent en restriction d'une règle plus générale et qu'en vertu du principe d'Universalité de la Loi, ces restrictions sont donc illégales au regard des règles constitutionnelles, ainsi que nous l'avions déjà indiqué ici et rappelé là.
Peut-être serait-il utile que les législateurs et ceux qui sont chargés d'appliquer leurs directives se décident enfin à se pencher sur cette contradiction juridique propre à laisser la voie ouverte à tous les abus !
Dans sa décision rendue le 23 octobre, la Commission de Discipline de la LFP a une fois encore prétendu sanctionner l'OM.
Pour l'usage d'engins pyrotechniques qui avaient marqué le 30ème anniversaire du Commando Ultra (rappelons que pour leurs 25 ans, les South Winners avaient obtenu une dérogation, certes informelle, mais en tous cas bel et bien non suivie d'effets), l'ensemble du virage sud écope d'une menace de fermeture pure et simple. Un sursis, certes, et un sursis d'un match : mais c'est la voie ouverte à toutes les contraventions au respect le plus élémentaire des libertés individuelles.
Une fois de plus, la LFP s'abrite derrière Loppsi2. rappelons que certains des articles de Loppsi2 s'inscrivent en restriction d'une règle plus générale et qu'en vertu du principe d'Universalité de la Loi, ces restrictions sont donc illégales au regard des règles constitutionnelles, ainsi que nous l'avions déjà indiqué ici et rappelé là.
Peut-être serait-il utile que les législateurs et ceux qui sont chargés d'appliquer leurs directives se décident enfin à se pencher sur cette contradiction juridique propre à laisser la voie ouverte à tous les abus !