Le Lundi 25 Janvier 2016 par Bab Joo
Y en a qui manquent pas de souffle ! Alors qu'après s'être faits v(i)oler par une énième brillante performance du corps arbitral français, les Marseillais repartaient de Lyon avec le seul point du nul, le Président du, ahem, club de la capitale des Gaules se fendait face caméra d'une déclaration que, pour rester polis, nous qualifierons de hautement acrobatique.
En effet, ce cher Jean-Mimi, décidément impayable, a trouvé le moyen de... se plaindre de l'arbitrage, qu'il a jugé en défaveur de ses poulains.
"Il faudrait que je revoie. En ce moment, on semble être sous l'oeil cyclonique des arbitres, mais il m'a semblé que sur la fin il y avait quelque chose sur Lacazette et Valbuena. Un petit quelque chose qui nous aurait permis de gagner sur le fil" a-t-il sans rougir commenté pour expliquer le match nul de ses ouailles.
Sans vouloir établir un tableau statistique sur les quelques dernières saisons, rappelons que Jean-Michel Aulas est l'homme qui a conditionné le report du match de Coupe de France face au PSG au déroulement de celui-ci à domicile, et avec l'exigence de désigner lui-même "son" arbitre - à savoir, Benoît Bastien -. Bref, que le mec ne se cache même plus de son influence totalement déplacée sur le déroulement des compétitions et le corps arbitral. Sans que quiconque semble s'en émouvoir...
Rappelons également pour ceux qui auraient loupé un épisode que si la rencontre d'hier soir, globalement équilibrée entre le collectif lyonnais bien en place et les qualités techniques des Marseillais, ces derniers se sont vus refuser un penalty (faute de Mapou sur Nkoudou dans la surface lyonnaise) et un but (hors-jeu imaginaire de Michy, sifflé alors que le ballon était déjà entré dans le but), tandis que les Lyonnais auraient dû finir la rencontre à dix après le découpage de Morel sur Sarr, ou encore qu'ils ne sont parvenus à égaliser qu'à la faveur d'un coup-franc imaginaire sifflé pour une main fantôme de Manquillo.
"On n'a qu'a être capables de tuer un match avant que l'arbitre ait le temps de nous engatser", diront certains (d'ailleurs non sans raison). "Simples faits de jeu", ou encore le très classique "ça s'équilibre à la fin de la saison", en affirmeront d'autres. Oui, bien-sûr, sauf quand ça va toujours dans le même sens !
Et l'autre émule du Guignol cher à sa ville qui ose la ramener... on croit rêver !
Voir le résumé du match ici
En effet, ce cher Jean-Mimi, décidément impayable, a trouvé le moyen de... se plaindre de l'arbitrage, qu'il a jugé en défaveur de ses poulains.
"Il faudrait que je revoie. En ce moment, on semble être sous l'oeil cyclonique des arbitres, mais il m'a semblé que sur la fin il y avait quelque chose sur Lacazette et Valbuena. Un petit quelque chose qui nous aurait permis de gagner sur le fil" a-t-il sans rougir commenté pour expliquer le match nul de ses ouailles.
Sans vouloir établir un tableau statistique sur les quelques dernières saisons, rappelons que Jean-Michel Aulas est l'homme qui a conditionné le report du match de Coupe de France face au PSG au déroulement de celui-ci à domicile, et avec l'exigence de désigner lui-même "son" arbitre - à savoir, Benoît Bastien -. Bref, que le mec ne se cache même plus de son influence totalement déplacée sur le déroulement des compétitions et le corps arbitral. Sans que quiconque semble s'en émouvoir...
Rappelons également pour ceux qui auraient loupé un épisode que si la rencontre d'hier soir, globalement équilibrée entre le collectif lyonnais bien en place et les qualités techniques des Marseillais, ces derniers se sont vus refuser un penalty (faute de Mapou sur Nkoudou dans la surface lyonnaise) et un but (hors-jeu imaginaire de Michy, sifflé alors que le ballon était déjà entré dans le but), tandis que les Lyonnais auraient dû finir la rencontre à dix après le découpage de Morel sur Sarr, ou encore qu'ils ne sont parvenus à égaliser qu'à la faveur d'un coup-franc imaginaire sifflé pour une main fantôme de Manquillo.
"On n'a qu'a être capables de tuer un match avant que l'arbitre ait le temps de nous engatser", diront certains (d'ailleurs non sans raison). "Simples faits de jeu", ou encore le très classique "ça s'équilibre à la fin de la saison", en affirmeront d'autres. Oui, bien-sûr, sauf quand ça va toujours dans le même sens !
Et l'autre émule du Guignol cher à sa ville qui ose la ramener... on croit rêver !
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