Le Dimanche 14 Août 2016 par Samuel Massilia
En passant devant la DNCG en fin de saison dernière, l'OM a forcément évoqué la possibilité d'une vente... sans que cette perspective n'émeuve outre mesure des gendarmes financiers qui ne voyaient que des incertitudes au-dessus du budget prévisionnel 2016-2017.
Ils ont depuis été rassurés par les ventes de l'été qui suffisent à gommer le déficit et n'obligent pas Margarita à remettre au pot. Le départ de Vincent Labrune ne change en rien la position de l'instance de contrôle qui accueillera son successeur avec la même intransigeance concernant les garanties demandées à l'actionnaire majoritaire.
Et celles-ci seront présentes tant qu'un repreneur crédible ne sera pas trouvé. Et même si le messie avait du retard, l'OM ne serait en aucun cas en danger car MLD est prête à assumer les affaires courantes le temps qu'il faudra. La réorganisation en interne, avec la nomination de Ciccolunghi à la présidence du club, un fidèle du clan Louis-Dreyfus, témoigne de cette forte volonté de maîtriser jusqu'au bout ses investissements.
Le calendrier idéal verrait la vente s'effectuer avant le mercato hivernal pour que le nouveau patron puisse, éventuellement, y jouer un rôle et se donner le temps de préparer la saison 2017-2018. Mais le temps ne joue pas forcément en défaveur de l'héritière, et c'est pour cette raison qu'elle ne se met pas la pression pour vendre rapidement, car elle se sait à la tête d'un club aux finances équilibrés que les futurs résultats sportifs ne peuvent que valoriser.
Ils ont depuis été rassurés par les ventes de l'été qui suffisent à gommer le déficit et n'obligent pas Margarita à remettre au pot. Le départ de Vincent Labrune ne change en rien la position de l'instance de contrôle qui accueillera son successeur avec la même intransigeance concernant les garanties demandées à l'actionnaire majoritaire.
Et celles-ci seront présentes tant qu'un repreneur crédible ne sera pas trouvé. Et même si le messie avait du retard, l'OM ne serait en aucun cas en danger car MLD est prête à assumer les affaires courantes le temps qu'il faudra. La réorganisation en interne, avec la nomination de Ciccolunghi à la présidence du club, un fidèle du clan Louis-Dreyfus, témoigne de cette forte volonté de maîtriser jusqu'au bout ses investissements.
Le calendrier idéal verrait la vente s'effectuer avant le mercato hivernal pour que le nouveau patron puisse, éventuellement, y jouer un rôle et se donner le temps de préparer la saison 2017-2018. Mais le temps ne joue pas forcément en défaveur de l'héritière, et c'est pour cette raison qu'elle ne se met pas la pression pour vendre rapidement, car elle se sait à la tête d'un club aux finances équilibrés que les futurs résultats sportifs ne peuvent que valoriser.