Le Lundi 05 Décembre 2016 par Samuel Massilia
Hier après-midi au stade Vélodrome, vous avez sans aucun doute dû remarquer les banderoles de quelques groupes de supporters à l'encontre de Bafétimbi Gomis. L'attaquant olympien veut régler ses problèmes avec eux sans caméra, ni journaliste.
"Je m'y attendais un peu, on m'avait prévenu. Cela fait partie du football, de la carrière d'un joueur. Ce qui est un peu difficile, c'est que ça atteint l'homme. Cela fait partie du football. On sait que Marseille a un grand public et un public exigeant. Ces derniers temps, je n'ai pas eu les performances qu'ils attendaient, mais je revenais de blessure. Je peux comprendre certaines choses, mais je pense qu'aujourd'hui c'est allé un peu loin. On lavera le linge sale en famille. J'ai parlé avec le président. J'aimerais bien, si le président et le coach me le permettent, aller les rencontrer pour échanger. Je pense que c'est un problème qui a été mal interprété. Je suis prêt à les rencontrer. Je pense que c'est une famille. Les supporters ont une place importante dans ce club de l'OM et on a besoin d'eux. Aujourd'hui, j'ai marqué grâce à tout ça. Quand on est un joueur de caractère, aussi, ça nous pousse à marquer. Et j'ai eu cette agressivité, aujourd'hui, que je n'ai malheureusement pas eu à Saint-Étienne et je tiens à les remercier aussi. Même si ce n'était pas facile. On a une famille dans le stade, quand ils voient ça, ça atteint l'homme et pas le joueur, et c'est ce qui est le plus difficile à vivre", déclare-t-il en zone mixte.
"Je m'y attendais un peu, on m'avait prévenu. Cela fait partie du football, de la carrière d'un joueur. Ce qui est un peu difficile, c'est que ça atteint l'homme. Cela fait partie du football. On sait que Marseille a un grand public et un public exigeant. Ces derniers temps, je n'ai pas eu les performances qu'ils attendaient, mais je revenais de blessure. Je peux comprendre certaines choses, mais je pense qu'aujourd'hui c'est allé un peu loin. On lavera le linge sale en famille. J'ai parlé avec le président. J'aimerais bien, si le président et le coach me le permettent, aller les rencontrer pour échanger. Je pense que c'est un problème qui a été mal interprété. Je suis prêt à les rencontrer. Je pense que c'est une famille. Les supporters ont une place importante dans ce club de l'OM et on a besoin d'eux. Aujourd'hui, j'ai marqué grâce à tout ça. Quand on est un joueur de caractère, aussi, ça nous pousse à marquer. Et j'ai eu cette agressivité, aujourd'hui, que je n'ai malheureusement pas eu à Saint-Étienne et je tiens à les remercier aussi. Même si ce n'était pas facile. On a une famille dans le stade, quand ils voient ça, ça atteint l'homme et pas le joueur, et c'est ce qui est le plus difficile à vivre", déclare-t-il en zone mixte.