Le Jeudi 25 Mai 2017 par Casual Mars
Face aux nombreuses critiques, souvent justifiées, concernant le centre de formation olympien, Jacques-Henri Eyraud a expliqué que celui-ci serait au cœur du projet de champions établi par Frank McCourt. Il entend bien améliorer le centre de formation, la cellule de détection de jeunes talents, afin de pouvoir s'appuyer sur une pépinière efficace à l'avenir.
Mardi soir, au Château Ricard, face aux acteurs économiques du réseau « Cap au Nord entreprendre », Jacques-Henri Eyraud a détaillé sa stratégie pour l'Olympique de Marseille.
« L'entrepreneuriat en France est exceptionnel. Et ici à Marseille, j'ai fait le pari qu'un club de football est une entreprise comme une autre. Lorsque je passe deux heures dans l'école de football à Plan-de-Cuques, certains se marrent. Mais, sur le terrain, on constate qu'il y a un réel besoin de reconnaissance, d'écoute et de construction. Il faut tisser un véritable partenariat dans l'accompagnement des staffs techniques, du passage de diplôme des coaches. Je travaille pour l'avenir, à cinq ans, à dix ans. Ma volonté, c'est qu'à l'OM il y ait des Maxime Lopez, et pas seulement des Dimitri Payet. Ça ne se fera pas tout de suite mais on y arrivera. »
L'objectif n'est donc pas de faire comme le Q$G, d'empiler les noms ronflants, de dépenser des centaines de millions d'euros pour espérer remporter des titres européens. Comme il a été dit plusieurs fois déjà, le modèle sportif et économique de l'OM se rapprocherait plutôt de celui de l'Atlético Madrid.
Si la direction olympienne parvient à mettre en place cette stratégie ambitieuse, entre grands joueurs confirmés et jeunes joueurs issus du centre de formation, alors il y aura de quoi être très optimistes et ambitieux. Le temps nous dira si Marseille retrouvera le toit de l'Europe.
Mardi soir, au Château Ricard, face aux acteurs économiques du réseau « Cap au Nord entreprendre », Jacques-Henri Eyraud a détaillé sa stratégie pour l'Olympique de Marseille.
« L'entrepreneuriat en France est exceptionnel. Et ici à Marseille, j'ai fait le pari qu'un club de football est une entreprise comme une autre. Lorsque je passe deux heures dans l'école de football à Plan-de-Cuques, certains se marrent. Mais, sur le terrain, on constate qu'il y a un réel besoin de reconnaissance, d'écoute et de construction. Il faut tisser un véritable partenariat dans l'accompagnement des staffs techniques, du passage de diplôme des coaches. Je travaille pour l'avenir, à cinq ans, à dix ans. Ma volonté, c'est qu'à l'OM il y ait des Maxime Lopez, et pas seulement des Dimitri Payet. Ça ne se fera pas tout de suite mais on y arrivera. »
L'objectif n'est donc pas de faire comme le Q$G, d'empiler les noms ronflants, de dépenser des centaines de millions d'euros pour espérer remporter des titres européens. Comme il a été dit plusieurs fois déjà, le modèle sportif et économique de l'OM se rapprocherait plutôt de celui de l'Atlético Madrid.
Si la direction olympienne parvient à mettre en place cette stratégie ambitieuse, entre grands joueurs confirmés et jeunes joueurs issus du centre de formation, alors il y aura de quoi être très optimistes et ambitieux. Le temps nous dira si Marseille retrouvera le toit de l'Europe.