Le Vendredi 26 Mai 2017 par Ray Monvier
Une nouvelle petite rubrique sur OMP, que vous retrouverez tous les matins et que l'on aurait tout aussi bien pu appeler "Un jour, un joueur" mais être trop lisse, on a du mal. Alors on se fait des brainstorming les jours fériés afin de trouver des jeux de mots bien pourris pour nos titres...
Se coucher le 25 mai 2017, se réveiller avec des Air Pégasus, une écharpe de l'Olympique achetée à Milan et une finale dans quelques heures. Bienvenue le 26 mai 1993, jour d'un sacre historique mais aussi jour où Boli devient définitivement Base. Formé à l'AJ Auxerre, le déjà très convoité défenseur central rejoint la cité phocéenne en 1990. Il lui faudra un peu de temps pour s'imposer, les travées du Vél se souvenant de quelques tacles rugueux sur les chevilles olympiennes, mais la combativité et l'amour du maillot de ce colosse auront raison des dernières réticences.
1991 marque déjà un tournant dans cette folle histoire d'amour, tous les marseillais s'identifiant à ce joueur... non, à cet homme qui a pleuré toutes les larmes de son corps à Bari. Il était déjà ce soir là écrit que sa tête serait inoubliable.
Et elles le furent. Oui, elles. Un pluriel comme une ode à la détermination, l'envie, la hargne de deux coups de tête magistraux qui envoyèrent en trois jours l'OM dans une extase inégalée. Trois jours après Munich, Paris. Pour la petite histoire, Base n'a jamais visé le ballon ce soir là. Il avouera plus tard avoir voulu rentrer dans Ricardo qui avait taquiné les chevilles de Pelé quelques minutes auparavant. Les brésiliens jouent en blanc...
On vous le dit, Base est intemporel !
(Pour justifier le caractère quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui les Béranger et Bérangère, si vous avez des connaissances portant ce prénom du XVIIème siècle, et qu'il fera quelque chose comme 25° sur la belle cité phocéenne avec un léger vent de Sud-Sud-Est rafraichissant l'air. Ce coup-ci, on aura vraiment tout fait sur OMP)
Se coucher le 25 mai 2017, se réveiller avec des Air Pégasus, une écharpe de l'Olympique achetée à Milan et une finale dans quelques heures. Bienvenue le 26 mai 1993, jour d'un sacre historique mais aussi jour où Boli devient définitivement Base. Formé à l'AJ Auxerre, le déjà très convoité défenseur central rejoint la cité phocéenne en 1990. Il lui faudra un peu de temps pour s'imposer, les travées du Vél se souvenant de quelques tacles rugueux sur les chevilles olympiennes, mais la combativité et l'amour du maillot de ce colosse auront raison des dernières réticences.
1991 marque déjà un tournant dans cette folle histoire d'amour, tous les marseillais s'identifiant à ce joueur... non, à cet homme qui a pleuré toutes les larmes de son corps à Bari. Il était déjà ce soir là écrit que sa tête serait inoubliable.
Et elles le furent. Oui, elles. Un pluriel comme une ode à la détermination, l'envie, la hargne de deux coups de tête magistraux qui envoyèrent en trois jours l'OM dans une extase inégalée. Trois jours après Munich, Paris. Pour la petite histoire, Base n'a jamais visé le ballon ce soir là. Il avouera plus tard avoir voulu rentrer dans Ricardo qui avait taquiné les chevilles de Pelé quelques minutes auparavant. Les brésiliens jouent en blanc...
On vous le dit, Base est intemporel !
(Pour justifier le caractère quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui les Béranger et Bérangère, si vous avez des connaissances portant ce prénom du XVIIème siècle, et qu'il fera quelque chose comme 25° sur la belle cité phocéenne avec un léger vent de Sud-Sud-Est rafraichissant l'air. Ce coup-ci, on aura vraiment tout fait sur OMP)