Le Mercredi 31 Mai 2017 par Ray Monvier
Une nouvelle petite rubrique sur OMP, que vous retrouverez tous les matins et que l'on aurait tout aussi bien pu appeler "Un jour, une date" mais être trop lisses, on a du mal. Alors on se fait des brainstorming les jours fériés afin de trouver des jeux de mots bien pourris pour nos titres...
Se coucher avec une pinte le 30 mai 2017, se réveiller avec une pinte le 31 mai 1995, date où se dispute la 42ème journée de championnat pour l'OM. 42, oui, comme un truc qui n'existe qu'en quatrième division anglaise ou en deuxième division... française et qui compte pour que dalle.
Le paradoxe de cette dernière journée de championnat, c'est qu'on la joue pour l'honneur du club, parce que l'Olympique de Marseille a un rang à tenir et ne peut être que Champion de D2. Il le sera dans quelques heures, mais restera malgré tout une saison de plus au purgatoire... et se sera découvert un sacré bonhomme, bientôt devenu une idole (éphémère) du Vél'.
Arrivé d'Ecosse, Tony Cascarino débarque à l'été 1994 dans un OM tout juste relégué administrativement. Cascarino ? Une grande seringue qui ressemble à rien. On va pas se mentir, quand tu passes de JPP à Boksic et Voller, qu'on t'explique d'un coup que c'est lui ton avant-centre, il te reste que tes yeux pour pleurer.
Et pourtant, à quelques heures de ce déplacement au Mans, Cascarino a déjà empilé 30 buts dans ce championnat. Il en mettra un de plus ce soir, finissant ainsi meilleur buteur de D2. Une performance qu'il réitérera dans un an, en claquant ce coup-ci 30 buts tout rond.
61 buts en championnat, 9 en coupe : 70 buts marqués entre 1994 et 1996, Tony tu mérites bien "l'effet mes rides" du jour...
(Pour justifier le caractère quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui la Visitation de la Sainte-Vierge, je sais que vous attendez une grosse vanne et croyez-moi c'est tentant mais on touche pas une vierge. Par ailleurs, il fera quelque chose comme 25° sur la belle cité phocéenne avec un léger vent de Nord-Nord-Ouest qui... ah, on me glisse dans l'oreillette qu'il a tourné, ce sera bien un vent de Sud-Sud-Est rafraichissant l'air)
Se coucher avec une pinte le 30 mai 2017, se réveiller avec une pinte le 31 mai 1995, date où se dispute la 42ème journée de championnat pour l'OM. 42, oui, comme un truc qui n'existe qu'en quatrième division anglaise ou en deuxième division... française et qui compte pour que dalle.
Le paradoxe de cette dernière journée de championnat, c'est qu'on la joue pour l'honneur du club, parce que l'Olympique de Marseille a un rang à tenir et ne peut être que Champion de D2. Il le sera dans quelques heures, mais restera malgré tout une saison de plus au purgatoire... et se sera découvert un sacré bonhomme, bientôt devenu une idole (éphémère) du Vél'.
Arrivé d'Ecosse, Tony Cascarino débarque à l'été 1994 dans un OM tout juste relégué administrativement. Cascarino ? Une grande seringue qui ressemble à rien. On va pas se mentir, quand tu passes de JPP à Boksic et Voller, qu'on t'explique d'un coup que c'est lui ton avant-centre, il te reste que tes yeux pour pleurer.
Et pourtant, à quelques heures de ce déplacement au Mans, Cascarino a déjà empilé 30 buts dans ce championnat. Il en mettra un de plus ce soir, finissant ainsi meilleur buteur de D2. Une performance qu'il réitérera dans un an, en claquant ce coup-ci 30 buts tout rond.
61 buts en championnat, 9 en coupe : 70 buts marqués entre 1994 et 1996, Tony tu mérites bien "l'effet mes rides" du jour...
(Pour justifier le caractère quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui la Visitation de la Sainte-Vierge, je sais que vous attendez une grosse vanne et croyez-moi c'est tentant mais on touche pas une vierge. Par ailleurs, il fera quelque chose comme 25° sur la belle cité phocéenne avec un léger vent de Nord-Nord-Ouest qui... ah, on me glisse dans l'oreillette qu'il a tourné, ce sera bien un vent de Sud-Sud-Est rafraichissant l'air)