Le Mardi 20 Juin 2017 par Mama Silia
Aujourd'hui dans le quotidien La Provence, l'ancien Olympien Manuel Amoros le dit, ne nous affolons pas et laissons l'OM travailler. L'ex-défenseur de notre Olympique Magnifique porte un regard neutre sur le nouvel OM expliquant assez justement que les dirigeants actuels n'ont eu que six mois pour travailler en atteignant tout de même l'objectif fixé à savoir la ligue Europa.
Il est, d'après Manu Amoros, sain d'attendre la fin du mercato estival avant de porter un jugement, quel qu'il soit, soulignant également le fait que Jacques-Henri Eyraud gère absolument tout et prend également toutes les décisions.
Concernant le domaine sportif, bien que ce soit Rudi Garcia et Andoni Zubizarreta qui s'en occupent, le président olympien donne la ferme impression d'être un dirigeant investi voulant faire de bonnes choses et de bons choix pour l'OM.
Quant à son regard sur Rudi Garcia, arrivé en cours de saison, l'ancien défenseur olympien estime que l'ancien coach de la Roma a su remotiver certains et avec les joueurs qu'il avait à sa disposition, il a réussi à finir le plus haut possible au classement. Maintenant, avec d'autres joueurs et étant un travailleur, Manu pense qu'il peut nous montrer de belles choses et apporter un plus, c'est évident selon lui.
Amoros nous livre également son avis sur la première recrue qui devrait être à priori Valère Germain, qu'il a vu grandir et il pense qu'il sera une excellente recrue pouvant apporter beaucoup offensivement. Concernant un éventuel retour de Steve Mandanda, il estime naturellement qu'il a été vraiment très performant à l'OM, mais à ses yeux, il faut miser sur quelqu'un qui incarne l'avenir, non pas sur un joueur qui est susceptible de s'arrêter dans deux ans. Il faut certes des anciens, mais pas plus de deux ou trois éléments, Manu a la conviction qu'il faut miser sur l'avenir un peu comme le fait l'ASM.
Son avis sur le jeune Lopez, qui a su saisir sa chance, lui, le pur marseillais, Amoros pense qu'il lui reste maintenant le plus dur : confirmer, ne pas se disperser pour ne pas exploser en vol et cela donne une motivation supplémentaire aux jeunes du centre de formation. À eux de prouver qu'ils peuvent faire partie des pros, le mériter et y rester surtout. L'encadrement et l'entourage y font beaucoup. Enfin, un dernier mot sur Bielsa, pour lequel il y a bien évidemment des regrets. « curieux de voir comment il va s'habituer au Nord, le Nord c'est pas l'OM ! »
Vous pouvez lire l'intégralité de l'interview de Manuel Amoros, ici sur le site de La Provence.
Il est, d'après Manu Amoros, sain d'attendre la fin du mercato estival avant de porter un jugement, quel qu'il soit, soulignant également le fait que Jacques-Henri Eyraud gère absolument tout et prend également toutes les décisions.
Concernant le domaine sportif, bien que ce soit Rudi Garcia et Andoni Zubizarreta qui s'en occupent, le président olympien donne la ferme impression d'être un dirigeant investi voulant faire de bonnes choses et de bons choix pour l'OM.
Quant à son regard sur Rudi Garcia, arrivé en cours de saison, l'ancien défenseur olympien estime que l'ancien coach de la Roma a su remotiver certains et avec les joueurs qu'il avait à sa disposition, il a réussi à finir le plus haut possible au classement. Maintenant, avec d'autres joueurs et étant un travailleur, Manu pense qu'il peut nous montrer de belles choses et apporter un plus, c'est évident selon lui.
Amoros nous livre également son avis sur la première recrue qui devrait être à priori Valère Germain, qu'il a vu grandir et il pense qu'il sera une excellente recrue pouvant apporter beaucoup offensivement. Concernant un éventuel retour de Steve Mandanda, il estime naturellement qu'il a été vraiment très performant à l'OM, mais à ses yeux, il faut miser sur quelqu'un qui incarne l'avenir, non pas sur un joueur qui est susceptible de s'arrêter dans deux ans. Il faut certes des anciens, mais pas plus de deux ou trois éléments, Manu a la conviction qu'il faut miser sur l'avenir un peu comme le fait l'ASM.
Son avis sur le jeune Lopez, qui a su saisir sa chance, lui, le pur marseillais, Amoros pense qu'il lui reste maintenant le plus dur : confirmer, ne pas se disperser pour ne pas exploser en vol et cela donne une motivation supplémentaire aux jeunes du centre de formation. À eux de prouver qu'ils peuvent faire partie des pros, le mériter et y rester surtout. L'encadrement et l'entourage y font beaucoup. Enfin, un dernier mot sur Bielsa, pour lequel il y a bien évidemment des regrets. « curieux de voir comment il va s'habituer au Nord, le Nord c'est pas l'OM ! »
Vous pouvez lire l'intégralité de l'interview de Manuel Amoros, ici sur le site de La Provence.