Le Lundi 26 Juin 2017 par Samuel Massilia
Alors qu'il fut le premier à s'envoler vers d'autres horizons durant ce mercato d'été, le défenseur néerlandais est revenus dans les colonnes du quotidien sportif L'Equipe sur son passage dans la cité Phocéenne.
Dans un premier temps, l'ancien joueur du PSV Eindhoven a justifié son départ pour le club allemand du Hertha Berlin : « C'était ma priorité, une évidence, un besoin vital. Je n'ai pas joué lors des quatre derniers mois de la saison, j'ai vraiment très faim ! Je suis très content d'avoir cette chance de rejoindre le Hertha Berlin, de découvrir une grande ville, un championnat aussi excitant que la Bundesliga. J'ai discuté avec le directeur sportif et l'entraîneur Pal Dardai. Ils ont des plans précis, une super philosophie de jeu, qui est la mienne aussi. Cela me plaît vraiment. »
Alors qu'il n'était plus utilisé par Rudi Garcia l'hiver dernier, Karim Rekik revient sur sa décision d'être resté malgré tout à l'OM : « J'ai fait ce choix car je n'aurais pas aimé partir lors d'un mercato d'hiver, comme si je fuyais une situation, parce qu'elle m'effrayait. Je voulais montrer ma valeur à chaque entraînement, je me suis donné à 100 %, le coach l'a noté. Je me suis battu pendant six mois, ça n'a pas payé, c'est ainsi. »
Ensuite, le joueur de 22 ans a évoqué tous ses bons moments et souvenirs vécus sur la Canebière : « Les rayons de soleil vont me manquer, le Vélodrome, mes coéquipiers aussi. Tous les salariés du club, qui ont le cœur à la bonne place. Je me rappellerai toute ma vie mon but contre Lyon, cette ambiance totalement dingue (1-1, le 20 septembre 2015). Je n'avais jamais vu ça dans ma vie. Les matches contre Lyon, Paris, c'était un truc de fou. Quand le bus fend la foule avant un Classico au Vélodrome, que les fans agitent des fumigènes, balancent des pétards... »
Sous l'entraîneur Espagnol Michel, l'ex-joueur de Manchester City dresse le bilan de ces deux saisons passées à Marseille : « Ces deux années ont été compliquées. Je me suis battu pour être dans les plans de Michel, j'ai fait partie de son onze type avant de disparaître, puis j'ai réussi à revenir au printemps 2016. Nouveau coach, avec Passi, qui m'a plus utilisé en latéral gauche. Et puis Garcia... Il a fallu tout le temps cravacher, j'ai beaucoup appris pour le reste de ma carrière. »
Enfin, le natif de La Haye voit le club Marseillais revenir au sommet de l'Hexagone : « L'OM est déjà un grand club, mais je pense vraiment qu'il peut devenir à nouveau champion de France dans les années à venir. La direction met tout en place pour ça. »
Dans un premier temps, l'ancien joueur du PSV Eindhoven a justifié son départ pour le club allemand du Hertha Berlin : « C'était ma priorité, une évidence, un besoin vital. Je n'ai pas joué lors des quatre derniers mois de la saison, j'ai vraiment très faim ! Je suis très content d'avoir cette chance de rejoindre le Hertha Berlin, de découvrir une grande ville, un championnat aussi excitant que la Bundesliga. J'ai discuté avec le directeur sportif et l'entraîneur Pal Dardai. Ils ont des plans précis, une super philosophie de jeu, qui est la mienne aussi. Cela me plaît vraiment. »
Alors qu'il n'était plus utilisé par Rudi Garcia l'hiver dernier, Karim Rekik revient sur sa décision d'être resté malgré tout à l'OM : « J'ai fait ce choix car je n'aurais pas aimé partir lors d'un mercato d'hiver, comme si je fuyais une situation, parce qu'elle m'effrayait. Je voulais montrer ma valeur à chaque entraînement, je me suis donné à 100 %, le coach l'a noté. Je me suis battu pendant six mois, ça n'a pas payé, c'est ainsi. »
Ensuite, le joueur de 22 ans a évoqué tous ses bons moments et souvenirs vécus sur la Canebière : « Les rayons de soleil vont me manquer, le Vélodrome, mes coéquipiers aussi. Tous les salariés du club, qui ont le cœur à la bonne place. Je me rappellerai toute ma vie mon but contre Lyon, cette ambiance totalement dingue (1-1, le 20 septembre 2015). Je n'avais jamais vu ça dans ma vie. Les matches contre Lyon, Paris, c'était un truc de fou. Quand le bus fend la foule avant un Classico au Vélodrome, que les fans agitent des fumigènes, balancent des pétards... »
Sous l'entraîneur Espagnol Michel, l'ex-joueur de Manchester City dresse le bilan de ces deux saisons passées à Marseille : « Ces deux années ont été compliquées. Je me suis battu pour être dans les plans de Michel, j'ai fait partie de son onze type avant de disparaître, puis j'ai réussi à revenir au printemps 2016. Nouveau coach, avec Passi, qui m'a plus utilisé en latéral gauche. Et puis Garcia... Il a fallu tout le temps cravacher, j'ai beaucoup appris pour le reste de ma carrière. »
Enfin, le natif de La Haye voit le club Marseillais revenir au sommet de l'Hexagone : « L'OM est déjà un grand club, mais je pense vraiment qu'il peut devenir à nouveau champion de France dans les années à venir. La direction met tout en place pour ça. »