Le Vendredi 30 Juin 2017 par Ray Monvier
Retour de votre rubrique pas vraiment quotidienne, des fois on est là et des fois... non. On a modifié la 2cvLorean, notre machine à ne pas remonter le temps : vitres électro-manuelles, triple motorisation kérosène-jus de betterave-Pastaga, bas de caisse rouillé de série... la grande classe sur OMP ! A tel point qu'on poste l'éphéméride à 13h00...
Se coucher le 29 juin 2017, se lever le 23 septembre 1945. Ce moment où tu te dis : "oh les cons, ils ont encore branché la machine à cambrer les bananes sur le convecteur temporel !". Que nenni (ouais j'ai perdu un pari et je devais la placer), que nenni disais-je donc, mon cher lecteur. La 2cvLorean fonctionne autant qu'une bagnole volante à remonter dans le temps qui n'existe pas pourrait fonctionner, et, quoiqu'il en soit, autant je fais un peu ce que je veux vu que je suis en voiture avec Simone, c'est moi qui conduit et c'est elle qui klaxonne.
Pour peu que celle qui a partagé la vie de Lucien Maggio s'appelait vraiment Simone, je touche le pompon sans forcer. Bref, retour donc le 23 septembre 1945. Nous aurions pu nous arrêter un instant le 30 juin 1920, jour où Jeannot (c'est vraiment un surnom très cohérent avec le nom je trouve) poussera ses premiers braillements dans la belle cité phocéenne, mais c'est bien une autre date qui nous intéresse, car elle est unique.
Le 23 septembre 1945, dans une France qui commence seulement à sortir d'un incroyable enfer et qui tente de panser ses plaies, le stade Vélodrome Municipal de Marseille accueille une rencontre opposant l'OM à l'équipe de Lyon Olympique Universitaire. Et ce sera la soirée des uns. Aucun lien avec Attila, fils unique. Un but marseillais signé George Dard, un but lyonnais de Jacques Wyffels, et un joueur qui va faire là sa seule et unique apparition en deux saisons : Lucien Maggio !
Tu l'as pas vu arriver celle-ci, depuis tout à l'heure tu te dis que je ne savais pas où j'allais avec mon Jeannot. Alors, hein ? Bon allez, on va pas se mentir, je ne savais pas du tout j'allais jusqu'à ce que je finisse cette phrase. Rien que pour cela, Lucien, tu mérites bien "l'effet mes rides" du jour.
(Afin de justifier le caractère pas vraiment quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui les Martial, pour ceux qui aime aller en cours - vanne capillotractée mais ça passe dans les soirées mondaines du Balto - et nous venons de clore l'épisode #17. Par ailleurs, il fera quelque chose comme 25° sur la belle cité phocéenne avec un vent venu de quelque part dont les rafales pourront atteindre 60 km/h).
Se coucher le 29 juin 2017, se lever le 23 septembre 1945. Ce moment où tu te dis : "oh les cons, ils ont encore branché la machine à cambrer les bananes sur le convecteur temporel !". Que nenni (ouais j'ai perdu un pari et je devais la placer), que nenni disais-je donc, mon cher lecteur. La 2cvLorean fonctionne autant qu'une bagnole volante à remonter dans le temps qui n'existe pas pourrait fonctionner, et, quoiqu'il en soit, autant je fais un peu ce que je veux vu que je suis en voiture avec Simone, c'est moi qui conduit et c'est elle qui klaxonne.
Pour peu que celle qui a partagé la vie de Lucien Maggio s'appelait vraiment Simone, je touche le pompon sans forcer. Bref, retour donc le 23 septembre 1945. Nous aurions pu nous arrêter un instant le 30 juin 1920, jour où Jeannot (c'est vraiment un surnom très cohérent avec le nom je trouve) poussera ses premiers braillements dans la belle cité phocéenne, mais c'est bien une autre date qui nous intéresse, car elle est unique.
Le 23 septembre 1945, dans une France qui commence seulement à sortir d'un incroyable enfer et qui tente de panser ses plaies, le stade Vélodrome Municipal de Marseille accueille une rencontre opposant l'OM à l'équipe de Lyon Olympique Universitaire. Et ce sera la soirée des uns. Aucun lien avec Attila, fils unique. Un but marseillais signé George Dard, un but lyonnais de Jacques Wyffels, et un joueur qui va faire là sa seule et unique apparition en deux saisons : Lucien Maggio !
Tu l'as pas vu arriver celle-ci, depuis tout à l'heure tu te dis que je ne savais pas où j'allais avec mon Jeannot. Alors, hein ? Bon allez, on va pas se mentir, je ne savais pas du tout j'allais jusqu'à ce que je finisse cette phrase. Rien que pour cela, Lucien, tu mérites bien "l'effet mes rides" du jour.
(Afin de justifier le caractère pas vraiment quotidien de cette rubrique, je dois aussi vous dire qu'on fête aujourd'hui les Martial, pour ceux qui aime aller en cours - vanne capillotractée mais ça passe dans les soirées mondaines du Balto - et nous venons de clore l'épisode #17. Par ailleurs, il fera quelque chose comme 25° sur la belle cité phocéenne avec un vent venu de quelque part dont les rafales pourront atteindre 60 km/h).