Le Mardi 11 Juillet 2017 par Samuel Massilia
Dans les colonnes de France Football aujourd'hui, la formation est au coeur du sujet. Effectivement, après avoir signé de nombreux partenariats avec des clubs de la cité Phocéenne, les présidents concernés s'expriment sur leurs relations avec Jacques-Henri Eyraud.
On commence avec le Burel FC, club formateur de Maxime Lopez, et pour son directeur Serge Obré, le partenariat est un bon point même s'il y a un inconvénient : « À ce stade de l'année, d'habitude, je suis en train de ferrailler avec les familles pour que les petits restent au club. On nous pillait nos joyaux. Là, je dors sur mes deux oreilles. Mais, attention. On avait une pépite de la génération 2005 et son rêve était de signer à l'OM. L'ASSE est arrivée derrière et a déployé le grand arsenal du charme. Rocheteau les a reçus, sa famille a été invitée à aller voir le fameux derby. Le lendemain, le petit est revenu. Pour lui, l'OM c'était O.K Corral, et il revenait de Disney World. L'OM a fait poireauter son père trois quarts d'heure dans les couloirs en n'étant pas sûr d'être reçu. Tout n'est pas rose, mais ça va quand même bien mieux. »
Alors que nous étions présents pour l'inauguration du partenariat entre l'ASC Vivaux-Sauvagère et l'Olympique de Marseille, le président Omar Keddadouche souligne le rapport humain avec Jacques-Henri Eyraud : « Avant, les rapports étaient quasi inexistants. Ils prenaient les minots, nous donnaient dix ballons, dix chasubles, merci et au revoir. Monsieur Eyraud nous écoute et discute avec nous. La dernière fois, Stéphane Richard, qui coordonne le projet OM Next Génération, est passé et voit un petit de chez nous avec un plâtre. Il me dit : « Omar, s'il y a des problèmes pour passer l'IRM, si la famille n'a pas les moyens, tu nous le dis, on s'en occupe. » Là, on ne parle pas de joueurs, de marchandise ou de steak, on parle d'humain. »
Retrouvez le résumé des déclarations de Jacques-Henri Eyraud et Maxime Lopez.
On commence avec le Burel FC, club formateur de Maxime Lopez, et pour son directeur Serge Obré, le partenariat est un bon point même s'il y a un inconvénient : « À ce stade de l'année, d'habitude, je suis en train de ferrailler avec les familles pour que les petits restent au club. On nous pillait nos joyaux. Là, je dors sur mes deux oreilles. Mais, attention. On avait une pépite de la génération 2005 et son rêve était de signer à l'OM. L'ASSE est arrivée derrière et a déployé le grand arsenal du charme. Rocheteau les a reçus, sa famille a été invitée à aller voir le fameux derby. Le lendemain, le petit est revenu. Pour lui, l'OM c'était O.K Corral, et il revenait de Disney World. L'OM a fait poireauter son père trois quarts d'heure dans les couloirs en n'étant pas sûr d'être reçu. Tout n'est pas rose, mais ça va quand même bien mieux. »
Alors que nous étions présents pour l'inauguration du partenariat entre l'ASC Vivaux-Sauvagère et l'Olympique de Marseille, le président Omar Keddadouche souligne le rapport humain avec Jacques-Henri Eyraud : « Avant, les rapports étaient quasi inexistants. Ils prenaient les minots, nous donnaient dix ballons, dix chasubles, merci et au revoir. Monsieur Eyraud nous écoute et discute avec nous. La dernière fois, Stéphane Richard, qui coordonne le projet OM Next Génération, est passé et voit un petit de chez nous avec un plâtre. Il me dit : « Omar, s'il y a des problèmes pour passer l'IRM, si la famille n'a pas les moyens, tu nous le dis, on s'en occupe. » Là, on ne parle pas de joueurs, de marchandise ou de steak, on parle d'humain. »
Retrouvez le résumé des déclarations de Jacques-Henri Eyraud et Maxime Lopez.