Le Dimanche 30 Juillet 2017 par Casual Mars
Jacques-Henri Eyraud a expliqué la stratégie de l'OM pour les années à venir sur le dossier de l'exploration du Stade Vélodrome. Il précise que le club pourrait organiser des événements allant au-delà du football dans l'enceinte du stade.
Cependant, pour l'instant aucun n'accord n'a été trouvé avec AREMA, qui, dans un communiqué a rappelé que l'entretien, la maintenance et l'exploitation du stade lui ont été confié par la ville en 2010 dans un contrat courant jusqu'en 2045.
La mairie soutient l'OM dans sa démarche mais une grande partie du chemin reste à faire.
Voici l'interview de JH. Eyraud :
« Nous nous sommes tout d'abord accordés sur le montant du nouveau loyer pour l'Orange Vélodrome. L'OM versera désormais à la ville un loyer composé d'une part fixe de 5M€ par an et une part variable qui prend en compte les recettes de la panneautique, l'ensemble de la billetterie et des hospitalités. Cet accord d'une durée de 3 ans renouvelable est un bon accord pour la ville et pour le club. Le loyer a été fixé de façon cohérente. Il y a des choses plus fondamentales, la façon dont nous nous positionnons vis-à-vis du Stade Vélodrome, le constat est que nous sommes locataire de ce stade, nous arrivons la veille et nous repartons le lendemain, ce n'est pas du tout optimisé. Quand on compare avec les autres grands clubs européens, ils sont propriétaires ou locataires à long terme. Ils en assurent la gestion jour après jour et ça change tout. C'est une donnée essentielle dans la gestion économique d'un club de football. En démarrant ces discussions, que j'espère voir aboutir dans les semaines ou les mois qui viennent, nous comptons être plus présents dans la gestion du Stade Vélodrome. »
Nous tenons à faire savoir aux différents protagonistes que notre stade est tout autant le notre, celui des marseillais qui payent leurs impôts, celui des supporters de l'OM qui le fréquentent tout au long de l'année. Rien n'empêche la direction olympienne de l'exploiter en diversifiant son rôle premier, mais nous attendons surtout que tous les moyens soit mis en place pour avoir les meilleures conditions pour voir évoluer notre Olympique !
Par ailleurs, nous gardons au fond de nous, cet infime espoir, probablement complètement utopique, de voir la Loi Alliot-Marie abrogée ou remaniée afin d'autoriser à nouveau l'utilisation de fumigènes (torches et pots de fumée) dans les enceintes sportives.
Cependant, pour l'instant aucun n'accord n'a été trouvé avec AREMA, qui, dans un communiqué a rappelé que l'entretien, la maintenance et l'exploitation du stade lui ont été confié par la ville en 2010 dans un contrat courant jusqu'en 2045.
La mairie soutient l'OM dans sa démarche mais une grande partie du chemin reste à faire.
Voici l'interview de JH. Eyraud :
« Nous nous sommes tout d'abord accordés sur le montant du nouveau loyer pour l'Orange Vélodrome. L'OM versera désormais à la ville un loyer composé d'une part fixe de 5M€ par an et une part variable qui prend en compte les recettes de la panneautique, l'ensemble de la billetterie et des hospitalités. Cet accord d'une durée de 3 ans renouvelable est un bon accord pour la ville et pour le club. Le loyer a été fixé de façon cohérente. Il y a des choses plus fondamentales, la façon dont nous nous positionnons vis-à-vis du Stade Vélodrome, le constat est que nous sommes locataire de ce stade, nous arrivons la veille et nous repartons le lendemain, ce n'est pas du tout optimisé. Quand on compare avec les autres grands clubs européens, ils sont propriétaires ou locataires à long terme. Ils en assurent la gestion jour après jour et ça change tout. C'est une donnée essentielle dans la gestion économique d'un club de football. En démarrant ces discussions, que j'espère voir aboutir dans les semaines ou les mois qui viennent, nous comptons être plus présents dans la gestion du Stade Vélodrome. »
Nous tenons à faire savoir aux différents protagonistes que notre stade est tout autant le notre, celui des marseillais qui payent leurs impôts, celui des supporters de l'OM qui le fréquentent tout au long de l'année. Rien n'empêche la direction olympienne de l'exploiter en diversifiant son rôle premier, mais nous attendons surtout que tous les moyens soit mis en place pour avoir les meilleures conditions pour voir évoluer notre Olympique !
Par ailleurs, nous gardons au fond de nous, cet infime espoir, probablement complètement utopique, de voir la Loi Alliot-Marie abrogée ou remaniée afin d'autoriser à nouveau l'utilisation de fumigènes (torches et pots de fumée) dans les enceintes sportives.