Le Samedi 19 Août 2017 par GregMarsiho
Contrairement à notre chère ligue de football professionnel, la Fédération allemande a décidé de mettre fin aux huis clos et aux tribunes fermées afin d'ouvrir le dialogue avec les ultras autour de la sécurité dans les stades.
Avant la reprise de la Bundesliga, la Fédération allemande souhaite renouer le dialogue avec tous les groupes de supporters.
Pour prouver sa bonne volonté, le président de la DFB, Reinhard Grindel, a affirmé mercredi que les clubs ne se verraient plus sanctionner de matches à huis clos (partiel ou total) jusqu'à nouvel ordre afin de ne plus pénaliser les fans qui n'ont rien à voir avec ces incidents.
Il serait bien que notre chère LFP prenne l'exemple de nos voisins allemands et s'inspire un peu de ce mode de fonctionnement. En effet, être supporter n'est pas un crime... Nous ne sommes pas des criminels et pourtant, on est souvent considéré comme tel.
On espère que la ligue de football professionnel entendra ce message et ouvrira le dialogue avec tous les groupes de supporters du football français.
La répression n'est pas une solution, le dialogue en est une.
Alors, messieurs de la LFP, on discute quand?
Avant la reprise de la Bundesliga, la Fédération allemande souhaite renouer le dialogue avec tous les groupes de supporters.
Pour prouver sa bonne volonté, le président de la DFB, Reinhard Grindel, a affirmé mercredi que les clubs ne se verraient plus sanctionner de matches à huis clos (partiel ou total) jusqu'à nouvel ordre afin de ne plus pénaliser les fans qui n'ont rien à voir avec ces incidents.
Il serait bien que notre chère LFP prenne l'exemple de nos voisins allemands et s'inspire un peu de ce mode de fonctionnement. En effet, être supporter n'est pas un crime... Nous ne sommes pas des criminels et pourtant, on est souvent considéré comme tel.
On espère que la ligue de football professionnel entendra ce message et ouvrira le dialogue avec tous les groupes de supporters du football français.
La répression n'est pas une solution, le dialogue en est une.
Alors, messieurs de la LFP, on discute quand?