Le Mercredi 27 Décembre 2017 par Casual Mars
Paraît-il que l'Olympique de Marseille obtient moins de penaltys que ses concurrents car il attaque moins et touche moins de ballons dans la surface adverse. C'est totalement faux, nous démontrons le contraire et nous démontons cet argument bidon sorti de son chapeau par le père Aulas.
Alors comme ça, si l'OM n'a obtenu qu'un seul penalty accordé depuis la fin de saison dernière c'est parce que les joueurs olympiens touchent moins la balle dans la surface de réparation adverse ? Vraiment ? Voici la preuve du contraire.
Sur le graphique ci-dessus, on peut voir que l'OM touche en moyenne plus de 20 ballons dans la surface adverse par match. Et seulement 5 penaltys obtenus, alors que Monaco, qui touche en moyenne à peine plus de ballons dans la surface adverse que les olympiens, ont obtenus eux, 11 penaltys supplémentaires. Par ailleurs, le 27 novembre dernier, David Wall, statisticien chez Opta, démontait déjà l'argument de JMA, dans un tweet sans équivoque.
Il faudra désormais que Jean-Michel Aulas trouve d'autres arguments pour tenter de justifier le nombre famélique de penaltys obtenus par l'Olympique de Marseille, contrairement à son club, qui suscite la suspicion depuis de nombreuses années déjà, concernant l'arbitrage plus que favorable qu'il bénéficie.
Alors comme ça, si l'OM n'a obtenu qu'un seul penalty accordé depuis la fin de saison dernière c'est parce que les joueurs olympiens touchent moins la balle dans la surface de réparation adverse ? Vraiment ? Voici la preuve du contraire.
Sur le graphique ci-dessus, on peut voir que l'OM touche en moyenne plus de 20 ballons dans la surface adverse par match. Et seulement 5 penaltys obtenus, alors que Monaco, qui touche en moyenne à peine plus de ballons dans la surface adverse que les olympiens, ont obtenus eux, 11 penaltys supplémentaires. Par ailleurs, le 27 novembre dernier, David Wall, statisticien chez Opta, démontait déjà l'argument de JMA, dans un tweet sans équivoque.
Il faudra désormais que Jean-Michel Aulas trouve d'autres arguments pour tenter de justifier le nombre famélique de penaltys obtenus par l'Olympique de Marseille, contrairement à son club, qui suscite la suspicion depuis de nombreuses années déjà, concernant l'arbitrage plus que favorable qu'il bénéficie.