Le Samedi 20 Janvier 2018 par Casual Mars
L'Olympique de Marseille s'est imposé 0-2 en Normandie et monte provisoirement sur la deuxième marche du podium en attendant la confrontation entre Lyon et Paris. Le coach olympien s'est exprimé aux micros des journalistes après la rencontre face à Caen.
• Rudi, avec cette nouvelle victoire, on n'arrête plus l'OM...
Rudi Garcia : On était venu pour gagner, on l'a fait. On a manqué de rythme en première période, même si la pelouse n'aide pas, mais on a été capables de faire une deuxième période qui nous a permis de gagner. Ça ressemblait un peu au match de Strasbourg. Mais comme je le pensais, on commence à être habitué à jouer tous les trois jours. J'en profite pour saluer le travail fantastique du staff de la préparation physique car on a aussi pris le dessus au plan athlétique sur le Stade Malherbe. On finit très fort, pourvu que ça dure car ça nous aide.
• Votre équipe n'a pas encaissé de but en 2018. Cela vous satisfait-il ?
R.G : Oui, c'est important. Steve (Mandanda) n'a pas eu beaucoup de travail, mais il l'a bien fait. Nous avons été solides, nous savions que Caen avait deux attaquants redoutables avec Rodelin et Santini. Nous avons aussi bien répondu au défi physique sur les longs ballons, nous avions travaillé la hauteur du bloc.
• Troisième penalty en trois matches, à la différence que celui-là est enfin réussi...
R.G : Ah oui ! Mais Dimitri (Payet) n'avait pas de pression, les deux précédents n'avaient pas été convertis. Nous allons les travailler un peu plus.
• L'OM est deuxième avant les autres matches de cette 22e journée. Ça court vite, mais vous aussi...
R.G : Il faut courir vite. Maintenant que nous avons gagné, nous pourrons regarder les autres matches. On verra, on a pris les points. C'est intéressant. Il n'y a pas de lutte pour le titre de champion, mais il y a un combat pour les places en Ligue des champions et une lutte pour la relégation.
• Vous serez derrière le PSG demain soir pour le choc contre Lyon au Groupama Stadium ?
R.G : Joker ! Non, mais quand on gagne, il faut que les neuf autres matches soient des résultats nuls comme ça, on prend des points sur tout le monde !
Source : Recueilli par Jean-Claude Leblois pour La Provence
• Rudi, avec cette nouvelle victoire, on n'arrête plus l'OM...
Rudi Garcia : On était venu pour gagner, on l'a fait. On a manqué de rythme en première période, même si la pelouse n'aide pas, mais on a été capables de faire une deuxième période qui nous a permis de gagner. Ça ressemblait un peu au match de Strasbourg. Mais comme je le pensais, on commence à être habitué à jouer tous les trois jours. J'en profite pour saluer le travail fantastique du staff de la préparation physique car on a aussi pris le dessus au plan athlétique sur le Stade Malherbe. On finit très fort, pourvu que ça dure car ça nous aide.
• Votre équipe n'a pas encaissé de but en 2018. Cela vous satisfait-il ?
R.G : Oui, c'est important. Steve (Mandanda) n'a pas eu beaucoup de travail, mais il l'a bien fait. Nous avons été solides, nous savions que Caen avait deux attaquants redoutables avec Rodelin et Santini. Nous avons aussi bien répondu au défi physique sur les longs ballons, nous avions travaillé la hauteur du bloc.
• Troisième penalty en trois matches, à la différence que celui-là est enfin réussi...
R.G : Ah oui ! Mais Dimitri (Payet) n'avait pas de pression, les deux précédents n'avaient pas été convertis. Nous allons les travailler un peu plus.
• L'OM est deuxième avant les autres matches de cette 22e journée. Ça court vite, mais vous aussi...
R.G : Il faut courir vite. Maintenant que nous avons gagné, nous pourrons regarder les autres matches. On verra, on a pris les points. C'est intéressant. Il n'y a pas de lutte pour le titre de champion, mais il y a un combat pour les places en Ligue des champions et une lutte pour la relégation.
• Vous serez derrière le PSG demain soir pour le choc contre Lyon au Groupama Stadium ?
R.G : Joker ! Non, mais quand on gagne, il faut que les neuf autres matches soient des résultats nuls comme ça, on prend des points sur tout le monde !
Source : Recueilli par Jean-Claude Leblois pour La Provence