Le Mardi 08 Décembre 2009 par Dr Gonzo
Didier Deschamps l'a dit en conférence de presse, « il faudra un brin de folie à l'O.M » pour vaincre l'ogre madrilène dans un premier temps et avec plus de 3 buts d'écart dans un second temps pour continuer à entretenir l'espoir d'une qualification pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Et avec cette surprenante formation olympienne, on peut s'attendre à tout, au meilleur comme au pire.
Mais c'est vrai que les phocéens devront aller au-delà de leur rôle habituel et des schémas classiques pour sortir des sentiers battus afin de surprendre l'armada madrilène. Un Real Madrid qui enregistrera la présence de Cristiano Ronado qui s'était blessé au match aller. Un retour de poids dans cette constellation d'étoiles qu'il faudra faire chuter pour décrocher la lune.
La folie, c'est un mot qui revient souvent lorsqu'on parle du match face au Real, et pour cause. A regarder les effectifs de chaque équipe, même si Marseille possède de grands joueurs, l'addition de stars internationales du Real fait peur. Et c'est pour cette raison qu'il faudra tout donner, aller au-delà des préjugés, pour ne pas nourrir de regrets au coup de sifflet final. Mais pour pouvoir se permettre ses élans de folie, les marseillais devront rester bien concentrés pendant 90 minutes. Au match aller on avait vu que chaque écart à ce niveau-là se payait cash en Champions'League. Ils devront donc être costauds derrière avant de se jeter à corps perdus à l'assaut du but madrilène. Mais l'O.M. en est capable. Premièrement parce que la ville possède en elle cette folie sanguine qui lui permet de déplacer des montagnes lors des grands rendez-vous. Deuxièmement parce que les phocéens n'ont pas le choix. C'est une spécialité française que de se transcender lorsqu'une équipe se trouve au pied du mur. Marseille sera David, le Real sera Goliath. Mais David n'a t'il pas vaincu Goliath ?
C'est cet exemple-là que les Marseillais devront suivre, celui du petit poucet qui à force d'abnégation et de surpassement de soi arrive à triompher de toutes les situations périlleuses. Avec une attaque retrouvée face à Nice, les olympiens auront des arguments à faire valoir pour embraser le vélodrome. Des supporters et toute une ville qui n'attendent qu'une étincelle pour prendre feu comme durant les années glorieuses où l'O.M. faisait vibrer l'Europe entière. Cette étincelle c'est ce soir ou jamais qu'il faudra la produire avec ce soupçon de folie qui fait naître les plus grands exploits. Comme disait Oscar Wilde « Aujourd'hui la plupart des gens se consument dans je ne sais quelle sagesse terre à terre et découvrent, quand il n'en est plus temps, que les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais ». Les Marseillais sont prévenus, ils savent ce qu'il leur reste à faire pour assurer l'essentiel au-delà du score, tout donner pour ne pas avoir de regret.
Mais c'est vrai que les phocéens devront aller au-delà de leur rôle habituel et des schémas classiques pour sortir des sentiers battus afin de surprendre l'armada madrilène. Un Real Madrid qui enregistrera la présence de Cristiano Ronado qui s'était blessé au match aller. Un retour de poids dans cette constellation d'étoiles qu'il faudra faire chuter pour décrocher la lune.
La folie, c'est un mot qui revient souvent lorsqu'on parle du match face au Real, et pour cause. A regarder les effectifs de chaque équipe, même si Marseille possède de grands joueurs, l'addition de stars internationales du Real fait peur. Et c'est pour cette raison qu'il faudra tout donner, aller au-delà des préjugés, pour ne pas nourrir de regrets au coup de sifflet final. Mais pour pouvoir se permettre ses élans de folie, les marseillais devront rester bien concentrés pendant 90 minutes. Au match aller on avait vu que chaque écart à ce niveau-là se payait cash en Champions'League. Ils devront donc être costauds derrière avant de se jeter à corps perdus à l'assaut du but madrilène. Mais l'O.M. en est capable. Premièrement parce que la ville possède en elle cette folie sanguine qui lui permet de déplacer des montagnes lors des grands rendez-vous. Deuxièmement parce que les phocéens n'ont pas le choix. C'est une spécialité française que de se transcender lorsqu'une équipe se trouve au pied du mur. Marseille sera David, le Real sera Goliath. Mais David n'a t'il pas vaincu Goliath ?
C'est cet exemple-là que les Marseillais devront suivre, celui du petit poucet qui à force d'abnégation et de surpassement de soi arrive à triompher de toutes les situations périlleuses. Avec une attaque retrouvée face à Nice, les olympiens auront des arguments à faire valoir pour embraser le vélodrome. Des supporters et toute une ville qui n'attendent qu'une étincelle pour prendre feu comme durant les années glorieuses où l'O.M. faisait vibrer l'Europe entière. Cette étincelle c'est ce soir ou jamais qu'il faudra la produire avec ce soupçon de folie qui fait naître les plus grands exploits. Comme disait Oscar Wilde « Aujourd'hui la plupart des gens se consument dans je ne sais quelle sagesse terre à terre et découvrent, quand il n'en est plus temps, que les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais ». Les Marseillais sont prévenus, ils savent ce qu'il leur reste à faire pour assurer l'essentiel au-delà du score, tout donner pour ne pas avoir de regret.