Le Jeudi 20 Octobre 2011 par Bab Joo
Quand on tient le point du nul et qu'on est en position d'assurer sa première place, prendre un butàlakon dans les arrêts de jeu, ça s'appelle une faute professionnelle.
Et croyez-moi, pondre un résumé dans ces conditions, c'est pas une partie de plaisir.
Tout avait pourtant plutôt bien commencé : en première mi-temps, on avait deux équipes qui se tiraient la bourre, normal. Les Gunners avaient besoin de rapporter de précieux points pour faire oublier leur entrée en matière ratée face au BvB, les Olympiens entendaient confirmer leur première place : et ça s'est vu sur le terrain : pendant 45 minutes, on a vu du jeu, engagé, brouillon parfois, avec beaucoup trop de déchets techniques sans aucun doute, mais du jeu. De l'envie.
On s'est pris à espérer, au fil des minutes : prendre trois points à Arsenal ? pas nécessairement, mais assurer le point du nul semblait largement à la portée des hOMmes de Didier Deschamps.
Et puis au retour des vestiaires... cracbadaboum, sans passer par la case uhu et sans gagner 20 000 francs : rien ! Nada ! Nib ! Peau d'balle !
On s'est même demandé s'il s'agissait bien des mêmes équipes que celles qui étaient entrées sur la pelouse du stade Vélodrome une heure plus tôt.
D'ailleurs, même le public, derrière ses joueurs durant les 45 premières minutes, s'est endormi avant le dessert.
L'OM nous avait malheureusement accoutumés à cette détestable habitude de jouer une moitié de match, mais on aurait au moins pu espérer des visiteurs qu'ils motivent un peu leurs hôtes... ben non !
On pourrait éventuellement souligner, de ci, de là, quelques timides tentatives individuelles. mais tellement timides, justement, qu'elles ne valent pas tellement la peine d'en parler.
On se doit de noter, en revanche, que les deux équipes se sont montrées fébriles de bout en bout, forçant l'arbitre à sortir par six fois la biscotte - et sans doute l'aurait-il dû encore davantage.
A mesure que les minutes défilent, on finit par se dire : tout ça pour ça ?
C'est alors que l'OM nous sort sa grande scène du II : celle où les mecs sont déjà sous la douche alors que l'arbitre n'a pas encore sifflé la fin de la rencontre.
Et forcément, ça a fait scroblutch.
C'est tout ce que j'ai à dire.
Ah non, j'oubliais : l'OM a perdu sa première place et devra ramer comme des vikings pour espérer une qualification dans ce groupe où la victoire assassine de l'Olympiakos sur le Borussia Dortmund (3-1) a tout relancé.
~~~
Arsenal : 7 pts
OM : 6 pts
Olympiakos : 3 pts
Dortmund : 1 pt
Et croyez-moi, pondre un résumé dans ces conditions, c'est pas une partie de plaisir.
Tout avait pourtant plutôt bien commencé : en première mi-temps, on avait deux équipes qui se tiraient la bourre, normal. Les Gunners avaient besoin de rapporter de précieux points pour faire oublier leur entrée en matière ratée face au BvB, les Olympiens entendaient confirmer leur première place : et ça s'est vu sur le terrain : pendant 45 minutes, on a vu du jeu, engagé, brouillon parfois, avec beaucoup trop de déchets techniques sans aucun doute, mais du jeu. De l'envie.
On s'est pris à espérer, au fil des minutes : prendre trois points à Arsenal ? pas nécessairement, mais assurer le point du nul semblait largement à la portée des hOMmes de Didier Deschamps.
Et puis au retour des vestiaires... cracbadaboum, sans passer par la case uhu et sans gagner 20 000 francs : rien ! Nada ! Nib ! Peau d'balle !
On s'est même demandé s'il s'agissait bien des mêmes équipes que celles qui étaient entrées sur la pelouse du stade Vélodrome une heure plus tôt.
D'ailleurs, même le public, derrière ses joueurs durant les 45 premières minutes, s'est endormi avant le dessert.
L'OM nous avait malheureusement accoutumés à cette détestable habitude de jouer une moitié de match, mais on aurait au moins pu espérer des visiteurs qu'ils motivent un peu leurs hôtes... ben non !
On pourrait éventuellement souligner, de ci, de là, quelques timides tentatives individuelles. mais tellement timides, justement, qu'elles ne valent pas tellement la peine d'en parler.
On se doit de noter, en revanche, que les deux équipes se sont montrées fébriles de bout en bout, forçant l'arbitre à sortir par six fois la biscotte - et sans doute l'aurait-il dû encore davantage.
A mesure que les minutes défilent, on finit par se dire : tout ça pour ça ?
C'est alors que l'OM nous sort sa grande scène du II : celle où les mecs sont déjà sous la douche alors que l'arbitre n'a pas encore sifflé la fin de la rencontre.
Et forcément, ça a fait scroblutch.
C'est tout ce que j'ai à dire.
Ah non, j'oubliais : l'OM a perdu sa première place et devra ramer comme des vikings pour espérer une qualification dans ce groupe où la victoire assassine de l'Olympiakos sur le Borussia Dortmund (3-1) a tout relancé.
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Arsenal : 7 pts
OM : 6 pts
Olympiakos : 3 pts
Dortmund : 1 pt