Le Mercredi 18 Avril 2012 par Lupin
La finale de la Coupe de la Ligue n'aura donc été qu'un sursaut sans lendemain. L'Olympique de Marseille réussit la performance, extraordinaire, d'aligner un onzième match consécutif sans victoire en L1. Le maintien n'est toujours pas acquis et la fin de saison va être interminable, ennuyeuse et triste.
Diawara étant blessé et Amalfitano suspendu, Deschamps aligne une compo sans surprise : Mandanda – Fanni – Nkoulou – Mbia – Azpi – Kaboré – Cheyrou – Rémy – Valbuena – A. Ayew – Brandao. Alou Diarra est sur le banc.
Si les premières minutes sont Caennaises, l'OM semble réagir avec un Valbuena remuant.
Mais cette fausse impression est balayée dès la 12ème minute de jeu avec une énorme erreur de Nkoulou. Si l'un des meilleurs olympiens cette saison s'y met... Le Camerounais relance directement dans les pieds Caennais. Niang (pas Mamadou, l'autre), profite de l'aubaine pour déborder à droite et centrer. Bulot reprend, bien aidé par le marquage trop lâche de Mbia. Mandanda repousse mais Bulot finit le travail et ouvre le score 0-1. Que faisaient les défenseurs olympiens au moment de cette reprise ? Mystère.
L'OM est près d'égaliser par André Ayew. Le Ghanéen reprend de... la poitrine un corner de Valbuena et bat le gardien Caennais. Hélas, le ballon ne rentre pas dans les buts.
Devant la pauvreté du « spectacle » proposé on se dit que, pour marquer actuellement, les phocéens ne peuvent compter que sur un but improbable de Brandao ou sur un peno. A vot bon cœur Messieurs les arbitres.
Message entendu par Monsieur Kalt ! Il désigne logiquement le point de penalty suite à une main de Raineau dans sa propre surface de réparation. Rémy ne tremble pas, prend Thébeau à contre-pied et remet les deux équipes à égalité à la 27ème (1-1).
Les Marseillais sont un peu moins mauvais et commencent à dominer. Mbia adresse un bon centre qui profite à Ayew. La belle tête du fils d'Abedi Pelé est bien captée par le gardien de Caen.
On assiste même à quelques belles combinaisons, notamment côté gauche entre Azpi, Ayew et Valbuena. Rien de transcendant néanmoins et la mi-temps est atteinte sur ce score de 1-1.
L'OM revient des vestiaires bien déterminé à forcer la décision. Les Caennais campent dans leur camp, subissent et multiplient les fautes.
A la 56ème on croit au deuxième but des hommes de Deschamps : Rémy se débarrasse de son garde du corps et se retrouve seul face au gardien Caennais. L'international Français a la mauvaise idée de trop croiser son tir. Rémy loupe ainsi une énorme occase. Rageant ! (ouais on fait comme si le match, passionnant, avait un enjeu énormeuh...).
A 30 minutes du coup de sifflet final Deschamps procède à un double changement : Brandao (ovationné par le versatile public du Vélodrome) et Rémy cèdent leurs places à Gignac (accueilli par une bordée de sifflets) et Jordan Ayew.
Dans la foulée Caen est tout près de glacer le Vélodrome : lancé en profondeur, et profitant de la naïveté, du manque de concentration et/ou du mauvais placement de la défense olympienne (rayez les mentions inutiles, s'il y en a), Pierre Alain Frau se présente face à Mandanda et frappe. Monsieur Mandanda sauve la patrie et repousse le ballon avec sa jambe droite tel un Thierry Omeyer des grands soirs.
Les Olympiens sont volontaires mais brouillons et beaucoup trop imprécis techniquement pour espérer quelques choses. Les passes ratées, tirs non cadrés et autres mauvais choix se multiplient...
A la 80ème c'est Morel qui fait son entrée (aussi chaleureusement applaudi par le public que Gignac) à la place d'Azpi.
Rien ne change en fin de match, les Caennais tiennent courageusement et résiste à la domination désordonnée des phocéens. Score final 1-1 !
Les Marseillais comptent donc ce soir 41 points, il leur manque peut-être un ou deux points pour se maintenir. Le prochain match sera un déplacement à Bordeaux samedi soir. Bordeaux, un adversaire direct dans la palpitante course pour la... 8ème place, objectif le plus élevé de not OM. Bordeaux terre maudite où l'OM ne s'est plus imposé depuis 1978. Encore une invraisemblable série à laquelle il est urgent de mettre fin !
Diawara étant blessé et Amalfitano suspendu, Deschamps aligne une compo sans surprise : Mandanda – Fanni – Nkoulou – Mbia – Azpi – Kaboré – Cheyrou – Rémy – Valbuena – A. Ayew – Brandao. Alou Diarra est sur le banc.
Si les premières minutes sont Caennaises, l'OM semble réagir avec un Valbuena remuant.
Mais cette fausse impression est balayée dès la 12ème minute de jeu avec une énorme erreur de Nkoulou. Si l'un des meilleurs olympiens cette saison s'y met... Le Camerounais relance directement dans les pieds Caennais. Niang (pas Mamadou, l'autre), profite de l'aubaine pour déborder à droite et centrer. Bulot reprend, bien aidé par le marquage trop lâche de Mbia. Mandanda repousse mais Bulot finit le travail et ouvre le score 0-1. Que faisaient les défenseurs olympiens au moment de cette reprise ? Mystère.
L'OM est près d'égaliser par André Ayew. Le Ghanéen reprend de... la poitrine un corner de Valbuena et bat le gardien Caennais. Hélas, le ballon ne rentre pas dans les buts.
Devant la pauvreté du « spectacle » proposé on se dit que, pour marquer actuellement, les phocéens ne peuvent compter que sur un but improbable de Brandao ou sur un peno. A vot bon cœur Messieurs les arbitres.
Message entendu par Monsieur Kalt ! Il désigne logiquement le point de penalty suite à une main de Raineau dans sa propre surface de réparation. Rémy ne tremble pas, prend Thébeau à contre-pied et remet les deux équipes à égalité à la 27ème (1-1).
Les Marseillais sont un peu moins mauvais et commencent à dominer. Mbia adresse un bon centre qui profite à Ayew. La belle tête du fils d'Abedi Pelé est bien captée par le gardien de Caen.
On assiste même à quelques belles combinaisons, notamment côté gauche entre Azpi, Ayew et Valbuena. Rien de transcendant néanmoins et la mi-temps est atteinte sur ce score de 1-1.
L'OM revient des vestiaires bien déterminé à forcer la décision. Les Caennais campent dans leur camp, subissent et multiplient les fautes.
A la 56ème on croit au deuxième but des hommes de Deschamps : Rémy se débarrasse de son garde du corps et se retrouve seul face au gardien Caennais. L'international Français a la mauvaise idée de trop croiser son tir. Rémy loupe ainsi une énorme occase. Rageant ! (ouais on fait comme si le match, passionnant, avait un enjeu énormeuh...).
A 30 minutes du coup de sifflet final Deschamps procède à un double changement : Brandao (ovationné par le versatile public du Vélodrome) et Rémy cèdent leurs places à Gignac (accueilli par une bordée de sifflets) et Jordan Ayew.
Dans la foulée Caen est tout près de glacer le Vélodrome : lancé en profondeur, et profitant de la naïveté, du manque de concentration et/ou du mauvais placement de la défense olympienne (rayez les mentions inutiles, s'il y en a), Pierre Alain Frau se présente face à Mandanda et frappe. Monsieur Mandanda sauve la patrie et repousse le ballon avec sa jambe droite tel un Thierry Omeyer des grands soirs.
Les Olympiens sont volontaires mais brouillons et beaucoup trop imprécis techniquement pour espérer quelques choses. Les passes ratées, tirs non cadrés et autres mauvais choix se multiplient...
A la 80ème c'est Morel qui fait son entrée (aussi chaleureusement applaudi par le public que Gignac) à la place d'Azpi.
Rien ne change en fin de match, les Caennais tiennent courageusement et résiste à la domination désordonnée des phocéens. Score final 1-1 !
Les Marseillais comptent donc ce soir 41 points, il leur manque peut-être un ou deux points pour se maintenir. Le prochain match sera un déplacement à Bordeaux samedi soir. Bordeaux, un adversaire direct dans la palpitante course pour la... 8ème place, objectif le plus élevé de not OM. Bordeaux terre maudite où l'OM ne s'est plus imposé depuis 1978. Encore une invraisemblable série à laquelle il est urgent de mettre fin !